Arte :
Nous assistons en famille à la soirée inaugurale. Je suis marqué par les deux femmes assises disant «Sur Arte, on est à l'heure». Ce genre de choses donne à la chaîne la réputation d'être très allemande. Ce qu'on ne sait pas, c'est qu'en Allemagne, elle a l'image d'être très française ! Et, encore une fois, contrairement à l'image qu'ont beaucoup de personnes, elle est pionnière dans le domaine technologique : dès 1996, www.arte-tv.com devient un leitmotiv... Mais nous n'en sommes pas encore tout à fait là, elle dispose d'un site minitel pour un paquet d'années, et, en cette soirée du tout début des années 1990, je suis alléché par le pregoramme qui annonce un film asiatique : "Mister Boo". On y voit le héros se battre dans une cuisine avec des saucisses. Je supplie mon père de le mettre en enregistrement, ce qu'il finit par accepter. Il ne le regrettera pas : il découvrira en fait que c'est un film comique, et qui nous fera rire d'une façon incroyable, prenant sa place dans la vidéothèque familiale. Avec un micro placé près du haut-parleur du téléviseur, il m'enregistrera aussi sur cassette audio la chanson finale. FESTIVAL DE CINÉMA GOUEL AR FILMOÙ DOUARNENEZ :
Le Festival du Cinéma de Douarnenez ne connaît
hélas son apogée que une semaine par an, qui, coïncidence troublante, est souvent à des dates proches de celles de la rédaction de la "Déclaration des droits humains" (du 20 au 26 août 1789) et de "Burning Man", incluant le 24 &août, qui, pour des raisons que j'ignore, est souvent le théâtre de drames :
- 24 août 1992 : mort de Catherine Kousmine
. Entre les
séances de cinéma (pour lesquelles il faut toujours
prévoir une tenue légère, il y fait une chaleur
etouffante même quand le temps est mauvais, sans compter qu'au Club, il n'y a aucune insonorisation, on entend le moindre bruit d'une pièce et d'un étage à l'autre), on peut trainer au
village des associations, s'installer au
Salon de thé / librairie. Depuis 2004, le
journal du jour realisé par Canal Ty Zef est
diffusé à 22 heures sous le chapiteau. Mais pour s'y
croire, il suffit depasser un soir devant Arte, ce qui m'arrive
extrémement souvent pendantl'été étant
donné la pauvreté de ceux des autres chaînes.
Dommage, l'ancienne présentation avec l'image qui se
dévoilait par un rectangle qui s'agrandissait
étaitmieux que l'actuelle, enfin bon, on ne va quand
même pas s'arrêtersur de tels détails !
À la pointe de la technologie, la chae travaille en
numérique, sans doute en raison des nombreuses contraintes
qu'elle doit respecter. Hélas ceci occasionne des interruptions
de programmes de temps en temps. Je constate également en
été 2005 une augmentation trés nette du taux de
dégradation numérique. C'est particuliérement
visible sur les documentaires et Metropolis, dont l'image est devenue blafarde. De
là à en conclure que c'est voulu pour faire passer la
scandaleuse mauvaise qualité de la TNT pour
acceptable... J'en suis tenté ! C'était magique de
voir une publicité pour Saage avant la météo, que
mon père déteste. Il faut reconnaître que, bien
que magnifique esthétiquement, elle n'est pas suffisemment
précise pour être utile. Maintenant, je suis
exaspéré par ces parrainages, qui ins&eagrave;rent de la
pub sur cette chaîne qui est censée ne pas en avoir et
qui pourrait s'en passer. Et surtout, la série
d'émissions voyeuristes (promouvant réguliérement le carnivorisme) qui suit est un scandale. Le fait de
passer du théâtre, par exemple, en horaire de forte
audience, n'excuse en rien ce débordement. Pourquoi ne pas
passer plutôt des courts-métrages à cet
horaire ?
Arte Culture est spéciste, dit des bêtises sur ce qu'est le rock west coast, et utilise &171;mp3» pour désigner un baladeur...
Je voudrais que le documentaire
«Le temps est-il devenu fou ?»
repasse.Mon seul regret est dene pas pouvoir les partager
avec Lisa Maze. Je réalise donccette page après
n'avoir pas pu déscocher encore une fois,ce lundi 25 Juillet,
en écoutant la musique MIDI de ma AWE64 que jevient
d'installer sous NT 5 (ces imbéciles rétorquent que cet
OS n'étant pas annoncé comme compatible, ils n'ont
aucune raison de faire le portage. Cela se rajoute aux pilotes
baclés des cartes qui ont suivi, toutes en PCI, bien
sûr... À éviter !). Je me console en chargeant
des banques de sons dans la (faible) ram de meilleure qualité,
encore faut-il que les éditeurs de MIDI les fournissent. Il
est possible d'accèder à la totalité des
activités du festival gratuitement en étant
bénévole, l'hebergement est aussi fourni. Les
différents sites sont accessibles à pied. Un journal
(le kesako) informe chaque jour des activités
proposées, avec des dessins à mourir de rire de Imius
(que je trouve de la trempe de Franquin) et
JF, qui vaut à lui seul de venir !
En CM1, on fait un travail sur des courts-métrages. Notre
classe doit imaginer la suite d'un racontant l'histoire d'un type
dans la forêt qui se fabrique un ami et qui le filme. Ce
dernier prend vie et s'en va. Cela n'est pas sans rappeller le Golem,
que je découvrirais dans Le Grand Chelm pendant la
22éme édition, bénévole aux
entrées. Déjà à l'époque, comme
Bruno Habraham Kremer, je me rends compte que le choix de
s'émanciper implique d'accepter de souffrir. Certains vont
même faire une bande dessinnée de la suite qu'ils ont
imaginée. Ensuite, toutes les classes se sont rendues à
une séance au Club où chaque film était
projeté. Tous m'ont enormément impressionné, je
me rappelle d'1 où c'était l'encre dans une classe qui
prenait vie et rejoignait un oiseau, un autre où des enfants
achetaient des missiles télécommandés et
dévastaient leur immeuble, avec une ambiance et une musique
incroyables. Quand moi et mes camarades avons pris le micro pour
parler de nos travaux, il y avait tellement de boucan dans le
cinéma (comme à chaque fois qu'une classe sort, c'est
lamentable) que seul Erwan a du entendre. J'étais à la fois fier et intimidé d'être interrogé par cette figure locale du cinéma, à la voix très particulière.
Storm Boy : un garçon qui vit sur la plage avec son
père dans une cabane. Le vent dans les dunes, les chasseurs,
l'école m'ont énormèment impressionné.
http://www.mediablog-brest.net/festivaldouarnenez
Édition 1998
Découverte d'Arte par la musique : Aux 60 ans de tatie au centre social des abeilles, il y a une télévision dans un coin qui capte Arte. Je mets à fond le concert de gospel qui est diffusé (peut-être du festival de Montreux ?). Quelques années plus tard, Europe 2 et Arte sont partenaires pour couvrir le Montreux Jazz Festival, ce qui me donne envie de suivre la soirée. Les cassettes audio enregistrent Europe 2 sur ma mini-chaîne alors que je regarde les images sur Arte dans le salon. Je suis particulièrement séduit par un solo de guitare basse hallucinant, le gars jouant toute la gamme possible par l'instrument, et dans tous les sens... La soirée se termine par Nina Simone, commentée par Richard Borhinger, alors que mes parents essayent de dormir malgrè le son...
Le Gone du Chaâba : remarquablement bien joué, on se
croirait vraiment parmi ces pauvres immigrés algériens
dont la vie est d'une tristesse déprimante et
émouvante.
À l'internat de Cornouaille, il arrive que le film projeté le soir soit très violent (façon Tarentino). Mes camarades en raffollent, alors qu'ils me donnent envie de vomir et une vision noire de l'humanité, surtout qu'ils influencent le comportement de ces fameux camarades.
Cycle «2000 vu par» d'Arte : Le Premier jour
21éme édition
Premiers émois de déchirage de tickets sous la chaleur, sous les ordres d'Anne Jardin !
Train de Vie : l'humour Yiddish, c'est comme l'humour allemand,
l'humour en plus ! Ils ont une capacité époustouflante
à se foutre d'eux-même. Le tout en cinémascope,
avec 1 jolie fille, de magnifiques images de train, en Dolby
Stéréo.
dimanche 3 mars 2002 : projection d'un documentaire (non
finalisé) sur le rôle de la musique dans la
résistance Kurde, en présence de Sibel Ceylan
(étudiante à l'INSAS à Bruxelles et
collaboratrice à Medya TV qui émet des programmes dans
leurs différents dialectes), Faruk Doru (du Centre
d'Information du Kurdistan) et Mehmet Aktas (réalisateur
vivant en Allemagne). Il apparaît une fois encore (au cas
où c'était nécessaire) que la logique
d'oppression est la même : une alliance de pays
pétrolier qui utilisent des extrémistes musulmans pour
écrfase le peuple. Dans le cas des Kurdes, ils n'arrivent pas
à s'installer, le peuple étant en majorité
sensible à un Islam modéré.
25éme édition (2002)
Ouvrières du monde : encore un réquisitoire contre
le capitalisme. Dommage qu'il faille que les gens soient dans la
deurm pour se mobiliser. Les conditions inhumaines de travail exigent
un boycott général de levi strauss.
Un hiver à Istanbul : les grèves de la faim en
Turquie contre les prisons. Ce pays est une dictature, et de plus en
plus, contrairement à ce que laisserait croire leur prochaine
entrée dans l'Europe.
La vache a sauté au-dessus de la lune.
Débat "Minorités et environnement". Je prends un
sandwitch au paté bio, le film suivant commençant tout
de suite après :
Dersou Ouzala : Il était déjà passé
une précédente édition.
Bien qu'il fasse nuit, il reste de la nourriture, du coup je prend
une assiette de délicieuse viande-purée.
René Vautier, cinéaste franc-tireur : dommage que ce
soit mal filmé. Il raconte son parcours, nous lit un article
de jean-marie le pen critiquant le festival (ça fait plaisir
d'être détesté de ce monstre). Je suis
dégouté, il a un iMac G3 et un PowerMac G4 avec
écran plat 16/9e !Dis REné, tu me les prète ?
Les passages de ces films me rappellent la 1ére fois que je
les ais vus, pendant la 21éme édition, ils m'avaient
énormèment révolté !
Débat sur l'agriculture.
Boxa de izolare : les gros plans sur la découpe de viande
dans un abattoir sordide m'ont dégouté, j'en
deviendrais presque végétarien !
La délégation : le syndicat Sud chez les laveurs de
trains à Paris. Les employés ont un tel accent qu'il
est difficile de comprendre. Au moins, il y a de jolies images de
trains.
Bloody Sunday : avant première de ce film qui fera sans
doute parler de lui, sur le massacre volontaire des manifestants
pacifistes du mouvement des droits civiques Irlandais à Derry.
Le dessous des cartes sur les territoires de la Palestine + Gaza,
l'enfermement.
La petite cérémonie : magnifique court
métrage breton sur une famille qui vient de perdre leur papa.
Sales gosses : c'est le cas de le dire, mais les parents ne sont
pas mal non plus !
Peau de lapin : zarbi !
Reptil : idem !
L'homme de companie : génial court métrage sur le
regard porté sur un handicapé, qui s'applique aussi
à tout le monde.
Total en Birmanie : avec Stéphane Bergot et Gabrièle
après avoir bu un pot, c'est le 90 minutes de Canal + que
j'avais déjà vu.
Les contes du cimetière : court métrage d'animation
sur la mort dans un cimetière.
L'oeil du loup : magnifique, un enfant et un loup se racontent
leur vie.
La mort d'un bureaucrate : critique hilarante de la bureaucratie.
Une journée dans la vie d'un pneu.
Dessous des cartes Il n'y a pas de choc des civilisations en
avant-première, Des cartes trop simples l'exemple de l'Islam,
la mondialisation
La femme de l'italien : mouais...
lundi 25 juin
2001 :
- A la place du coeur : un super
téléfilm qui montre la force de l'entraide et de
l'amour. Dommage qu'il ne soit pas sous-titré, le
Marseillais est parfois abrupt !
- Adrien et le loup : un court métrage pendant lequel
un jeune homme tente de dire à ses
parents qu'il est séropositif. Format classique, dommage
qu'il ne soit pas plus long, l'auteur était peut-être
à cours d'idées.
- Le voyage de Paul : un joli film familial avec de belles
images de camion devant le ciel et de la super musique.
- Marin : court-métrage auquel je n'ai rien compris.
Mardi 30 octobre 2001 : Court-circuit- «Emmanuel Bourdieu et "Candidature"» : voila un film qui commence bien, dans un bus RATP :-)
- L'Etape d'Éric Pinatel : encore une histoire de sexe, sans intérêt.
- Analyse des clips de Michael Jackson :, je l'ai mis en enregistrement et conservé sur VHS. Par chance, la réception était bonne, aussi bien l'image que le son NICAM.
jeudi 14(rouge)
fevrier(bleu) 2002 :
Théorème : on retrouve un peu le style de Jacques Tati,
mais en beaucoup plus sombre (thème et couleurs). lundi 18(rouge)
fevrier(bleu) 2002 :
Rebecca : bien fidèle au livre même si c'est bien
sûr beaucoup + rapide. Correspond bien aux images que j'avais
imaginées. jeudi 28(rouge) fevrier(bleu) 2002 :
La chasse aux papillons : L'hommage à Jacques Tati est ici
évident, avec des scènes qui en sont clairement
inspirées. Là où Tati s'amusait à
observer la confrotation entre société traditionnelle
et moderne, ce film montre que les 2 peuvent coexister en s'ignorant
en apparence, tout en étant intimement lié dans la
réalité. Le contraste est ainsi saisissant entre ces
vieilles dames vivant comme des miséreuses dans leur enorme
château pendant que d'autres n'ont pas de quoi vivre.
L'attentat contre le train n'est pas tr&eagrave; crédible : la
bombe explosant sous la BB67040 (pauvre cheminot :'-( ), la
dernière voiture n'aurait pas été
complètement détruite (magnifique d'ailleurs, ça
doit être encore mieux que les nouveaux X73000). A propos, ce
genre de film est fantastique pour les modélistes : chaque
plan mériterait une répresentation miniature ! (lien)
dimanche 10
mars 2002 : Un homme parmi les loups :
images magnifiques.
jeudi 14 mars 2002 :
- Familia : drôle, typiquement
espagnol (qu'est-ce que j'aime cette langue ! ). Excellente
musique de Stéphane Grapelli & Sonny Rollins. En plus,
la jeune fille est fort jolie.
- Hacktivites, les agitateurs du Net :
formidable. Comment utiliser le réseau pour faire plier la
société.
- Nom de code : Linux : Exaltant.
L'histoire de cet OS, avec un portrait de Linus, et
évocation de l'avenir (incertain sur certain enjeux ! ).
Bien qu'il mentionne le danger d'utiliser le terme Linux à
la fois pour désigner le noyau et l'OS, ils font
eux-même une confusion encore + grave en utilisant une fois
le terme Linux pour désigner le mode console, qu'ils
opposent au serveur X Gnome, ce qui me rappelle que cette erreur
est tout le temps faite dans le monde Micro$oft aussi, où
MS-DOS est trop souvent utilisé pour dire "mode ligne de
commandes" (par exemple, sous Window$ 3.11, on était encore
sous MS-DOS aussi ! Le premier n'est qu'une interface, le second
restant l'OS ! Au contraire, désigner par MS-DOS le mode
ligne de commandes d'NT n'a pas de sens, car là, il a
totalement disparu, même si NT sait exécuter beaucoup
de programmes conçus pour MS-DOS en émulant
celui-ci. À ce propos, il est amusant de constater que
certains vieux jeux qui ne fonctionnaient plus sous Window$ 4 et
+, fonctionnent sous NT :-) ). Je pense qu'ils ont
également fait l'erreur suivante : la traduction d'un
discours de Linus (fort amusant d'ailleurs) évoque "S.C.U.
Unix". À mon humble avis, Linus faisait plutôt
référence à UNIX SCO, le système
d'exploitation Compaq basé sur le noyau UNIX. J'ai eu la
grande surprise de constater que la chanson de fin était
"The Ballad of Linus Torvald", interprétée par le
groupe Kernel :-D . Il est aussi parfois surprenant de
découvrir le visage de programmeurs dont je ne connaissais
que les noms :-o . Trés didactique, je réflechis
à en faire des projections. J'aimerais aussi faire des
présentations voire des formations à ce
système pour le grand public.
- La Finlande, pays start-up : alors
là, j'ai décroché ! Après les 2 docus
précédents, ça fait tâche ! Surtout
quand Nokia nous fait un topo sur ces cadres très
performants et très mobiles. Ils auraient mieux fait de
soutenir jusqu'au bout leurs normes D2Mac et HDMac (il faut croire
que tout les noms en Mac dérangent :-( )
- Ceci pourra être complété par le A Contre Courant du 5 novembre 2004. La façon dont s'est tourné et scénarisé est vraiment hyper spé, mais le fond est génial : le vilain écoute THE HEART OF ROCK & ROLL de Huey Lewis And The News, et utilise un Apple iBook, les anecdotes scientifiques rappellent les livres de Bernard Werber, et la question des brevets n'est en fait qu'un tremplin pour démontrer le ridicule du capitalisme. Je l'ai regardé le 5 décembre suivant, après un Harry, ami qui vous veut du bien fort banal, mais tout de même angoissant, dès le début car tout était prévisible.
dimanche 17
mars 2002 : Mélodie pour un meurtre : policier dans un New
York de Bret Easton Ellis. Abus de scènes presque
érotiques.
lundi 25 mars 2002 :
- Le Club de la chance : je n'ai pas
reussi a bien visualiser l'histoire de chacun, étant
donné que j'ai du mal à les différencier. Son
fait aux studios Skywalker !
- Premier convoi : confirme l'exactitude
du récit et des dessins dans Maus de Art Spiegleman.
- Hibernation : éclairages
très spés.
- La Jeune Fille et Les Nuages : la
beauté absolue ;-)
mercredi 9 avril 2002 : Missing : une
famille confrontée au fameux problème des "disparus"
sous Pinochet au Chili. Date de son coup d'état ? Le 11
septembre 1973, avec le soutien de la CIA. Étrange que le
rapprochement n'est pas été fait en 2001...
Mercredi 17 juillet 2002, Carlo Giulianni,
Ragazatto : la mère (incroyablement digne) raconte les
derniers instants de son fils, le martyr des manifestations anti-G8
de Gènes, assassiné, torturé, broyé,
ignoré, brulé. C'est bouleversant. J'étais
déjà horrifié début 2001 quand j'avais lu
dans Télérama que la dictature fasciste italienne dirigée
par berlusconi prévoyait un état de guerre dans la
ville et la livraison de 200 cercueils... Ce documentaire montre bien
que Carlo n'était en rien le personnage
dégénéré que les médias ont
présenté. De toute façon, des pacifistes n'ont
aucune chance de calmer des CRS complètement
conditionnés, idiots, instinctifs, deversant la haine et le
complexe d'inferiorité qui leur ont été
gravés dans le cerveau. Les manifestants font une grande
erreur en les frappant quand ils s'en vont, car c'est justement ce
qu'ils recherchent. Leur fuite est déjà une
énorme victoire, il ne faut surtout pas les re-provoquer ! En
tout cas, que ces états qui se prétendent
démocratiques ne s'étonnent pas si 2 mois plus tard,
des avions s'écrasent sur des bâtiments etats-uniens. Un
an après, lors de la commémoration de
l'événement, les médias continue à
considérer les manifestants comme des trublions et ne
reviennent pas sur le fond de l'affaire, se plaçant
plutôt du coté de la police. Le lendemain, ils osent
faire des reportages sur la rafle du Vel-d'hiv... En gros, le
fachisme du passé, c'est pas bien, mais l'actuel, il est
nécessaire...
Et Si José Bové avait tors ? :
particulièrement surprenant de la part d'Arte de diffuser ce
documentaire de propagande de Mosanto. Le type ce cette entreprise
utilise les excés de certains militants pour discrediter les
craintes envers les OGM dans leur globalité. Les
séquences sur les test sur animaux sont
particulièrement chocantes.
- lundi 21 octobre 2002/dt>
- Je vais à Quimper en voiture sous le beau temps pour que le garage installe mon autoradio définitif. Ensuite, je comprends pourquoi certains autocars n'étaient pas peints l'année dernière : ils sont passés en QUB à présent. Comme il y a des travaux à Manoir, il y a des embouteillages monstres. Et évidemment, aucune indication pour dévier les gens. Heureusement que j'avais pris la bretelle «
centre-ville
tout à l'heure. Je vais ensuite jusqu'à Brest pour y voir Chaos de Coline Serreau, qui est projeté gratuitement au Mac Orlan. À Brest, la circulation est infernale, en plus il y a des travaux partout dans le coin du port de commerce. Circuler parmi ces Bibus sur ces boulevards font remonter d'un coup et par surprise mes rêves d'enfants, ce qui ne m'aide pas vraiment à me faufiler parmi le nombre impressionnant de voitures tout en surveillant les panneaux indicateurs de direction. Je suis vraiment impressionné de laisser ma voiture dans un coin sinistre de Recouvrance, face au port et au pont, et d'aller enfin, pour la première fois, dans ce fameux Mac Orlan. J'ai le temps d'aller m'acheter une brioche en face avant que le film ne commence. Ça y est, je suis avec des Brestois dans la salle, des habitants de cette ville dont j'ai tant révé, à la fois proche et inaccessible. Le film me renverse complétement, il y est dit et dénoncé tellement de choses qui me tiennent à coeur !
26 éme édition : Jacques nous a prété son ancien vélo de course, ce qui va me rendre bien des services.
vendredi 22 aout : on a rendez-vous à 14 h pour installer le matériel pour le Kezako? et préparer le 1er numé. Comme je le pensais, les infographistes sont les mêmes, ce qui explique que mon ami Damien ait été refusé. Par contre, la plupart des plumes de l'il électrique manquent à l'appel (Eric et Morvandiau) :-( . Par contre, le festival a acheté 2 eMacs :-) et a loué une photocopieuse réseau conformément au souhait de Fabrice et moi. Les 2 eMacs sont reliés ensemble par un cable qui est donc, logiquement, croisé. Par contre les 2 compatibles IBM PC sont toujours sur le vieux hub. Le 3éme, le plus vieux, n'est plus là L'ordinateur de Fabrice sera donc le serveur de fichiers. On passe donc des cables cat5 (encore un bon achat du Festival) partout qu'on fixe avec du ruban adhésif au sol, que l'on fait passer sous les portes, les tables, entre les meubles... Le but est de mettre tout le monde sur le hub, qui a 5 ports + un port série. Ils sont donc tous pris : le compatible PC de Fabrice, celui de Eric, la photocopieuse, l'eMac de Erwan que j'ai déplacé, l'eMac de Caroline et enfin le compatible IBM PC 1. L'autre est caché sous un bureau, et celui de Jean-François qui arrive plus tard partagera le cable cat5 de l'eMac Erwan. On arrive assez rapidement à mettre en place les partages Samba, et à partager la connexion Internet du PC1 grace à WinRoute (non enregistré). En parrallèle, l'équipe du Festival continue à déménager et utiliser les postes tant bien que mal, que d'animation ! Par contre la photocopieuse nous pose énormément de soucis jusqu'à la soiré. Fabrice finit par réussir à la faire reconnaître par le gestionnaire d'impression de son XP Pro, mais ensuite c'est le bac A3 qui n'est pas reconnu, puis des bourrages...
samedi 23 : il faut que j'explique le fonctionnement des lecteurs réseau aux rédacteurs, puis je fonce voir Leyla Zana en cours. Mais c'est en début d'après-midi que j'aurais mon plus grand choc de cette édition avec Rabbit Proof Fence de Philipp Noyce (voir article) :'-( . J'enchaîne ensuite avec Un Ticket Pour Jérusalem. Je trouve l'inauguration assez banale, malgrès la présence de la maire de Derik avec sa jolie traductrice, et celui de la capitale du Kurdistan, elle est suivie d'une projection identique à celle du matin : Le dessous des cartes + Leyla Zana. J'y vais pour voir l'émission de Jean-Christophe Victor et le début de Leyla. Pour se remonter le moral, je vais voir Vive la mariée... et la libération du Kurdistan.
dimanche 17 : Comme chaque année, il n'y a plus de toner dans la photocopieuse. Voyage En Afghanistan, très interressant :-) . In An Out Belfast :-( Ca me fait penser à BELFAST CHILD des Simple Minds, mais c'est affreusement mal fait :-( .
lundi 18 : Quand Le Chant S'En Va-t-En Guerre passe, on l'a vu pendant l'anné en présence de la magnifique Sybel Ceylan. Mais cette fois, la chanteuse est présente ! Baraque Blues de Brigitte Chevet : les baraques de Brest, chose que j'ignorais. Voyage en Gallésie : des personnes parlant le Gallo témoignent :-) Un Autre Jour Sur La Plage, dont la projection est faite par mon père. Douche Froide, Horizontalement, La Bouée, Mon Papa À Moi, Nue Comme Un Verre, Quand Je Serais P'Tit : courts-métrages forts amusants :-))) Ensuite, je dine à coté de l'actrice enfant qui apparaît à la fin de ce dernier. Le soir, Francis Zégut dit que THE POWER OF LOVE était n1 en 1985.
Mardi 19 : Je Reviens D'Un Pays Qui N'Existe Pas : zut :-(, je l'avais déjà vu lors d'une précèdente édition. Des Épines Dans Le Cur : Eren Keskin : une avocate essaie de défendre les femmes Kurdes victimes des viols turques et rejetées par leur famille :'-( Keep Shooting : documentaire sur le tournage de Ticket To Jerusalem, ça donne une dimension supérieure au film (les militaires ne jouent pas !). Séance intermittents du spectacle : très bon reportage, émouvant, suivi d'un débat. Je trouve que ça dépasse même le cadre de ce statut, que ça amène à remettre en question la reconnaissance de tous les travails à fort investissement personnel. The Wind Will Comb Your Tresses + Le Tableau Noir en famille.
Mercredi 20 : La Voix Du Kurdistan. Je rejoins ensuite maman, Elise, sa meilleure amie et Christine sur la place. On va voir Les Peshmergas + Un Temps Pour l'Ivresse Des Chevaux. Demokratia (déjà vu sur Arte) + Decibled + Territoires : trop lent et décousu.
Vendredi 22 : Films d'animation Pierre Trudeau ( :-| Se termine par Bahador sous-titré anglais, que j'avais vu sans ce dernier au Festival de Brest et qui m'avait époustouflé.) Pour Une Poignée d'herbe :'-( Le Tracteur D'Orgueil.
samedi 23 : réception en l'honne de Danielle MITTERRAND à la mairie, je ne m'attarde pas, ce n'est pas vraiment mon truc le blabla... :-|
dimanche 24 : je débranche les ordinateurs des infographistes qui sont partis vendredi soir, remet l'eMac d'Erwan et son imprimante dans son bureau, et met le tout en réseau avec de nombreux partages. Mais le cable qui reliait les 2 eMac, curieusement, ne semble pas être croisé vu qu'il ne fonctionne pas sur le port série du hub. Lisa est surprise que l'on puisse mettre PC&Mac en réseau. Cela me vaut bien sûr des félicitations, mais Christine Motte, vu la chaleur, ne rève que d'aller à la plage. Je la retiens pour que l'on mette le compatible IBM PC caché en place, puis pour tester le vieux qui est dans un carton. Je propose d'en faire un routeur / serveur GNU/Linux. Je demande à l'attachée de presse ce qu'est devenu son Powerbook 5300, elle me dit qu'il est enterré, vu qu'elle a eu autant de frais dessus que le prix d'un Ibook. C'est bizarre, je sais exactement ce qu'elle veut dire... :'-( Je cherche justement un cable video interne Y pour la matrice active du mien, qui n'a pas encore été réellement utilisable... :-(
samedi 24 janvier 2004 : journée pour la défense du Club. Hélas je ne peux voir que le dernier film, Smoothie, travaillant auparavant. On suit Maurice Culaz qui est adulpar nombre de musiciens noirs (Etta James, Nina Simone, que des pointures...). Liz McComb vient me jouer I'M IN THE MOOD chez lui :-)
dimanche 2 mars 2003 : Dona Flore et ses
deux maris.
Climat : on nous cache tout on nous dit
rien. Dominique Voynet y reconnaît la pression subie par les
lobbies et le quai d'Orsay concernant le nucléaire. Les
incertitudes concernant l'effet de serre sont colossales, mais il est
insupportable de voir les US utiliser celle-ci pour ne rien
faire.
Le dernier jour, ça discute fort autour des
différences entre Katakana, Hiragana et Kanji.18eme
festival de Brest
- samedi 8 novembre 2003
- J'y
vais en vélo+train, et commence par "Ces animaux qui bougent"
au Mac Orlan : L'Éléphant et l'escargot de CHRISTA
MOESKER, concert pour une tarte aux carottes de HEIKI ERNITS &
JANNO POLDMA, FLATWORLD de DANIEL GREAVES, Le chien qui était
un chat à l'intérieur de SIRI MELCHIOR, NOSFERATU TANGO
de ZOLTAN HORVATH et La cigogne de KLAUS MORSCHHEUSER. C'est la
première de cette année, les bénévoles
sont fébriles. Ensuite, direction la FNAC dans laquelle
Gérald Hustache-Matthieu re-montre son film La Chatte
Andalouse. MORE THAN THIS de Peter Gabriel passe, je me
précipite vers l'écran plat montrant la vidéo du
GUT. J'approuve entièrement la position de Gérald sur la
problématique des intermittents du spectacle : "l'argent est
une chose, mais ça n'est pas le principal. Le plus important,
c'est l'émotion, le rêve". J'achète des minidiscs
pour la Saga Bob Dylan, je regarde le PowerMac G5. Lorsque je sors, il
fait nuit, ça sent la soirée d'automne, les gens vont et
viennent des magasins éclairés, ça me rappelle
quand j'étais enfant et que cette ambiance me faisait
réver (` l'époque il n'y avait pas la FNAC, mais
C&A :-( , McDo :-( , flunch :-( , TANDY :-) ...).
- lundi
10
- "Demain je fais du cinéma" : LIGNE DE VIE de
SERGE AVEDIKIAN (magnifique évocation des camps nazis,
ça me rappelle MAUS), LE MARIAGE EN PAPIER de STÉPHIE
DUVIVIER (magnifique CÉCILE DE FRANCE), POULET COCOTTE de
MARTIAL VALLANCHON ET VINCENT SOLIGNAC (excellent), CLUTCH de CAROL
STEVENS (pas tout compris). Ensuite, je remonte chez Magalie voir ce
qu'il y a à manger (et oui, je dors chez elle). Je trouve
absolument magique de vivre dans cette ville bourrée de monde,
de magasins, d'artisans, de transports
collectifs... Conformément à ce à quoi je
m'attendais, il n'y a pas grand chose. Je file à la Biocoop qui
est à quelques centaines de mètres, ça me
rappelle notre dernier séjour familial à Paris (bon
d'accord, il manque l'ambiance caractéristique du métro,
mais bon). Et qui est-ce que je vois en sortir ? Éric, son
petit-ami, qui vient diner avec nous ! Elle a bien de la chance
d'avoir 2 cuisiniers à domicile, pendant qu'elle est à
la FAC ! Ensuite, "IL OU ELLE" : LE BAISER de PASCALE FERRAN, LES
VEUVES DE QUINZE ANS de JEAN ROUCH (j'y apprends que l'attitude futile
des jeunes était déjà la règle), FAIM
D'AIMER d'ORAZIO MASSARO (magnifique histoire d'amour), LES
MAINS. Hélas les rues sont envahies de gens bourrés, de
voitures tentant des records de vitesses sur les rues pietonnes :'-(
Je me crois dans le 1985 de Retour Vers Le Futur 2.
- mardi
11
- Ça fait comme à Paris de se réveiller
dans une grande ville (d'ailleurs, au niveau de l'assechement des
cheveux aussi)... Brest est pourtant rapidement déprimante sous
le ciel gris. "DES ROIS QUI VOULAIENT PLUS QU'UNE COURONNE" :
ARTHUR de GUIONNE LEROY (très joli, dommage qu'il soit un peu
idiot et fasse preuve de violence déplacé), LES
SORCIÈRES de ELISABETH HOBBS, LE ROI QUI VOULAIT PLUS QU'UNE
COURONNE de RANDALL MEYERS ET ANITA KILLI. Une thématique
typiquement Douarneniste pour "ICI OU LÀ" : L'homme de nulle
part de HOHANNES STJÄRNE NILSSON (hilarant, mais pas compris le
pourquoi), L'ARPENTEUR de SARAH PETIT ET MICHEL KLEIN, BETWEEN THE
WARS de EMILY WOOF, MUNO de BOULI LANNERS, INTOLÉRANCE de PHIL
MULLOY. Un camarade de Magalie est chez elle à travailler. Il
n'a pas l'air franchement interressant.
Un petit tour à la
nuit des télés associatives me permet de voir un
passionnant decorticage des mensonges de chirac :'-( face à
d'arvor :-( , et devant des millions de téléspectateurs,
sans que ce dernier ne réplique quoi que ce soit. Dommage que
le son était à la limite du compréhensible. Un
formidable court métrage sur les intermittents du
spectacle :chaque tâche n'est progressivement plus
effectuée, jusqu'à ce que le film disparaisse.
Traces de Futur de Marie Hélia : Le choc ! Voir le
Douarnenez (enfin, Terre de l'Île, Couetteville, Davidbourg,
bourgcoquet) contemporain sur grand écran :'-) et une analyse
très juste des problèmes et des espoirs. Les rêves
des habitants (tiens, ça me rappelle un réseau
d'associations de quartier) font presque tous référence
à un retour des relations humaines, du respect de la
nature. Certains parlent de sortie du nucléaire,
d'anarchisme... :'-)
"Humour" : DIES IRAE de ALEXANDRE
ASTIER (une comédie hillarante sans prétention), DOLORES
de PHIL SFEZZYWAN, BLOODY CHRISTMAS de MICHEL LERAY (ça fait
plutôt peur que rire, ça me rappelle les premiers courts
que j'ai vu enfant, voir en haut), PACOTILLE (pour ceux qui cherchent
une cruche, en voilà une !), JE SUIS LUNE de BRUNO ROMY
(diffusé par erreur, nul et idiot) - mercredi
12
- Leçon de cinéma Bunuel par J. Douchet
à la FAC autour du "Chien Andalou". Une fille habillée
en hippie passe. Le temps de faire un signe à Magalie qui est
à la BU, elle se renseigne à l'accueil, je la suis,
tablant sur la forte probabilité qu'elle aille à la
conférence. Effectivement, c'est le cas, il y a plein
d'étudiants qui toussent et qui, pour certains,
s'écrivent des mots ou discutent dans les rangs. J'avais
oublié que j'étais passé par là... Le
vision purement anthropologique de Bunuel ne correspond pas à
ma vision de l'art. Je quitte l'amphi pour aller à "Gauche ou
droite" au grand théâtre. Et là, quelle surprise
de retrouver la jolie hippie exactement en face de moi en rentrant
dans la salle :-) Décidément, que de points
communs... CINQ DOIGTS POUR EL PUEBLO de BRUCE KREBS, LE GRAND SOIR de
STÉPHANE BRISSET (un mec de 16 ans le 10 mai 1981 roulant en
Peugeot 103 et écoutant The Cure dans sa chambre pour fuir ses
parents, une fille qui croit au grand soir... Ça me rappelle
certaines choses :-) Digne d'antologie : "S'il est élu, il
va nationaliser les pharmacies !" Dommage que ce père de
famille aisé se soit trompé, ça aurait
été le rêve), LA SIXIÈME FACE DU PENTAGONE
de CHRIS MARKER/FRANÇOIS REICHENBACH (incroyable, le film de la
manifestation "Action Directe" contre le Pentagone en 1967, je ne
savais pas qu'un tel document existait, et pourquoi ont-ils
décidé de le diffuser dans ce festival ? :'-) ),
TOUS À LA MANIF de LAURENT CANTET. La belle hippie sort alors
du cinéma après avoir consulté le
catalogue. Lorsque CORPS À CORPS de NICOLAS DUCHÊNE et
BRUNO REILAND commence, je comprends que nous avons décidement
une sensibilité commune. Partagé entre l'envie de la
rejoindre et celle de me forcer à ne pas faire preuve de
fermeture d'esprit, je reste un peu. Mais quand le taureau commence
à saigner de partout, je trouve la force de trouver mes
affaires et me lever dans le noir (c'était ça ou hurler
avant de vomir). Hélas je ne la retrouve pas à
l'extérieur.
"La décennie prodigieuse" a du retard,
je discute avec Magalie Letty, qui se plaint du manque de spectateurs
sur la thématique espagnole, et me conseille les films de
Javier Rebollo, que je n'avais pas prévu d'aller voir. HUNTZA
(LA HIERDA) de ANTONIO CONESA, VIS À VIS de ANTONIO CANO,
ENTREVÌAS de JUAN VICENTE CÒRDOBA (des jeunes forts
sympathiques, dont une fille canon, près d'une gare Madrilene,
dans laquelle on voit un TGV Alsthom passer, même en
décoration espagnole, il est unique et un obsédé
plus vrai que nature), BANCOS de ALBERTO RODRIGUEZ ET SANTIAGO AMADEO,
ANIMAL. Dommage que la mécanique du matériel de
projection scintille.
Compétition 9 : WERNER de
RÉMI BÉNICHOU (sublime), MELLEM OS de LAURITS
MUNCH-PETERSEN (sympatique, la fille qui invite est absolument
à tomber, et sa cuisine est immense, j'aimerais bien avoir
autant de place à disposition pour cuisiner), SPIN de CATH LE
COUTEUR, KONTROLER de PETER VOGT (je ne suis pas d'accord avec la
personne du Version Ouest qui traite le personnage d'inhumain, je
trouve son comportement intègre et juste), REDD BARNA de TERJE
RANGNES. Après ces deux intenses journées, je n'ai
qu'une envie : dormir ! Je ressens encore de l'ivresse quand j'y
repense, ne sachant plus ou je suis et avec qui. - jeudi
13
- Le matin, je vais à une initiation au programme
libre SPIP programmée depuis longtemps, et je rentre à
Landerneau dans la foulé pour renouveler mes réserves
d'habits et de nourriture et commencer l'écriture de ce compte
rendu (vive les importantes fréquences, bien qu'encore
insuffisantes, des Landerneau/Brest ! ). Je rempile avec la
"Compétition 6" :FRIN de SIGMUND STEINER, DREMANO OKO de
VLADIMIR PERISIC, FREEDUB 1 de STÉPHANE ELMADJIAN (à
part la maxime "L'animal est un homme doué de raison",
j'approuve le discours et l'attitude risqués. Etonnament, il a
le droit une ovation. ANTYCHRYST de ADAM GUZINSKI (jeunesse
dépravée) et DORTOKA UHARTEA de MARU SOLORES (pas
compris grand chose)
"Javier Rebollo, un auteur" :
¡HOLA, DESCONOCIDO! (adorable petite espagnole et monsieur qui
prend l'autorail à longueur de temps duquel il a une vue
sublime), EL EQUIPAJE ABIERTO, EN CAMAS SEPARADAS (quel homme
cruel). Ensuite on peut poser quelques questions à Javier,
certaines le font en espagnol. Je lui demande pourquoi
l'omniprésence du voyage, des déplacements dans ses
films. Le soir, je trouve une camarade trop maquillée avec
Magalie. Elle me fait à moitié de l'oeil. Je m'endort
sur ma lecture. - vendredi 14
- Voila, entre les courses
et la préparation du repas, je suis à la bourre pour
aller voir Juan Vicente Cordoba, qui donne une conférence
à l'Ecole Sup d'Art (anciens beaux-arts, il m'a fallu un bout
de temps la veille pour le découvrir). Du coup je prends le
bus, et le temps de trouver l'entré (aucune indication, en plus
il n'est pas facile de distinguer l'école du musée, je
suis Magalie Letty qui vient de se renseigner). En plus, l'heure de
départ a été avancée d'une
demi-heure. Quand on entre dans la salle de classe portant
pompeusement le nom d'amphi, ENTREVÌas est en cours. Ça
ne sera que la troisième fois que je le vois en 9 jours (ce qui
fait une tous les 3 jours, moyenne respectable)... Il parle un peu du
cinoche espagnol, m'enfin c'est moins passionnant que la beauté
des étudiantes en arts qui grouillent de
partout. "Estran" : COMPTES POUR ENFANTS de GAËL NAIZET, UN
TRAIN PEUT EN CACHER UN AUTRE de KRISTEN PETITHORY, CHUTE LIBRE de
FRANÇOIS CHRÉTIEN (il faudrait le diffuser dans les
écoles), AU FOND, SUR LE PARAPET DES PONTS de CHRISTOPHE GORET,
TERESA (un exemple de plus de connerie maternelle bouzillant une
vie). J'aperçois la hippie en sortant. Grr... Arriverais-je
à l'aborder un jour ? Magalie s'en va au mariage du
frère d'Eric. Chic, je vais pouvoir dormir dans son lit en
re-lisant Betelgeuse de Leo au lieu de l'inconfortable matelas. Dans
les salles, les jeunes commencent à délirer de plus en
plus sur la bande annonce du Festival, criant les paroles et autres
commentaires, faisant "aïe" à la fin... Quelle
satisfaction pour les artistes et les organisateurs j'imagine !
"Compétition 5" :LA FIANCÉE de NATHALIE NAJEM, THE
WATER FIGHT, HISTOIRE NATURELLE de LAURENT PERREAU (une histoire
follement romantique dans ce cher jardin des plantes de Paris :'-)
&CCedil;a me rappelle celle que j'ai vécue
avec Lisa Maze), JOHN OG MIA de CHRISTIAN BJARKE DYEKJAER
(normallement le A et le E sont collés, mais je ne connais pas
le code HTML pour le faire), ALICIA RETRATADA de PABLO
GARCIÌA.wbr />"Films de genre" : DAS VERRÄTERISCHE
HERZ de MARC MALZE, PHIL&BETH de MARCUS C.HAMBSCH (plein de trains
dans un monde coloré futuriste, mais inhumain, je me demande ce
qui met la femme sur la bonne voie, l'heure peut-être ?),
EXTN 21 de LIZZIE OXBY (plutôt ardu, j'avais été
attiré par son coté Cosmos 1999), DEADLINE de MASSIMO
COGLITORE (comme le dit un auteur de VO, ça ferait un excellent
spot pour la prévention routière), THE HONOURABLE
SCAFFOLDER de BRENDAN MULDONNEY.
- samedi 15
<- "C'est des
vraies histoires" :surprise, une classe présente les films
qu'elle a fait avec sa prof de français. Ça n'est pas
merveilleusement bien joué, mais c'est déjà
très bien. FLY de CANDIDA SCOTT KNIGHT, LA MÈCHE de
DANIEL CANTY, L'OISEAU de DAMIEN DORSAZ, HING SEES de RHIO UNT, UN
ENFANT SANS TÊTE de MALIKA SACI ET OLIVIER HÉMON
(effectivement, il est grave)
"Cocotte minute" : J'ATTENDRAI
LE SUIVANT (que c'est cruel :-o ), TOPEKA, ONE SMALL LEAP, LE COLLIER
de MICHEL MONIOT (pas compris la fin), LOVEGAME de GAUTE HESTHAGEN
(bien vu :-) ), ÉCLATS D'ORPHÉE de PATRICK BOKANOWSKI
(je ne suis pas rentré dedans), MEHR LICHT de DIETRICH
BRÜGGERMANN, LES NATTES ENCHANTÉES de CHARLES GUERINI (ne
comprenant rien, je me suis concentré sur le très
complexe jeu de batterie), AND THE RED MAN WENT GREEN de RUTH MEEHAN,
MÉPRISE de ÉRIC LE ROUX, STAGNATE de MIRANDA BOWEN, CES
ALÉAS-LÀ de EMMANUEL BROUSSOULOUX, THE MOST BEAUTIFUL
MAN IN THE WORLD de ALICIA DUFFY (pas compris la fin), ROADKILL de
JEROEN ANNOKKÉE (décidement, les réalisateurs de
courts devraient être mis à contribution par les
publicitaires de la prévention routière), DANGEL de PHIL
TRAILL (même un adulte peut faire de très grosse
bétises... même si ça ne tient pas
debout). J'entrevois la hippie avec des copines au rez-de
chaussée du Quartz
La compétition 4 est pleine, je
vais acheter une carte postale pour mamie Yvette et l'écris au
bar. Je parle avec Mr Lecoursonnais qui a perdu Mr Marziale. "Remise
des prix", avec lancer d'oranges : je n'approuve pas tellement
les choix, comme d'habitude... Le karaoké sur la bande annonce
atteint son sommet. Diffusion du magnifique film réalisé
par les jeunes européens sur la pollution maritime. "Qui as
tué Bambi ? de GILLES MARCHAND (long métrage de
clotûre, avec l'actrice qui m'avait ouvert la semaine, Sophie
Quinton. C'est typiquement le genre de film qui gagne à Cannes
et que je n'aime pas. On sait dés le début qui est le
méchant et quel est son problème, et
l'hérhoïne se laisse faire sans réagir suffisemment
ni de façon appropriée) - dimanche
16
- Films primés : Revolucion de Martin Rosete, Le
pays des ours de Jean-Baptiste Léonetti (plut&ocric;t tordu),
Anolit de Stefan Faldbekken, Terminal de Aramalo Altzoi (pas bien
compris la chute), FAçADE, je suis dégouté, ils
n'ont pas passé Torzija de Stefan Arsenijevic et Love me or
leave me alone de Duane Hopkins, et en plus, la SNCF a supprimé
le train de 23h... et voilou, c'est la fin, on se fait canarder
d'oranges, et la reprise va être dure :-( J'ai même
oublié que j'avais une voiture !
Les Années Tony Blair : Bien que mon manque de culture en politique anglaise m'ai empéché de tout comprendre, j'ai vraiment été passionné et révolté par les faits dénoncés, qui ne sont sans doute pas loin de ceux qui ont eu lieu au sein du gouvernement jospin et de tant d'autres...
Thema énergies
renouvelables juillet 2004 : avec l'importante collaboration
de ZDF, c'est hélas moins long qu'avec l'ancienne
formule.- Énergies propres : l'utopie concrète :
absolument génial, prouve bien que c'est possible, une des
personnes dit qu'il est vraiment ridicule d'utiliser des energies
fossiles chez soi alors que l'on a tout à disposition sur son
toit ou dans
sonjardin.
- Energie made in China : un peu
endormant, mais heureusement les quelques extraits de Ovo qui
passent en musique de fond me reveillent, ainsi que le train
magnétique japonais.
27éme Festival
Il
y a plein de monde à la gare de Landerneau et sur la route. Le
beau temps vient d'arriver, alors que j'ai chargé la voiture et
rendu Ca&ieml;na sous des trombes d'eau il y a quelques
minutes. Ça faisait 7 mois que je n'avais pas pris
Chateaulin-Douarnenez, que de souvenirs me reviennent (les
premières fois, quand je venais d'emménager à
Landerneau... Par contre le bitume est enfin refait !) Que les
éoliennes et les paysages sont beaux (pendant que
Caroline Troin est interrogé sur Breizh Izel,
la baie de Douarnenez est sublime sous ce beau temps ! C'est
quand même autre chose que Brest, n'est-ce pas Tanja ? Le
cirque gruss est ici, il était à Landerneau il y a
2 jours ! La rénion des bénévoles aux
entrées (pas de Kezako cette année) me rappelle mes
impressions de ma première fois il y a 5 ans. Mais
maintenant, je connais tout, je suis déjà un
habitué ! Je rejoins ensuite le reste de la famille sortant
du troisième volet sur le Blues au Club.
Mardi 17 : Les fous du roi,
Remember Marvin Gaye : le son affreux ne permet
pas de profiter de ces deux documentaires, alors que je voulais voir
le deuxième depuis que je l'avais raté il y a presque
2 ans au Festival de Brest.
Les p'tits belges :
SORTIE DE BAIN (hélas je ne le voie pas
car retenu aux entrées), FRAGILE (excellent, mais
je pense encore trop à Tanja, je ne suis pas dans un
état suffisamment insousciant pour bien profiter),
BAYAN BANA BAK BAYAN, 6 HAIKU,
BZZ (heureusement, le massacreur de mouches est puni
à la fin, j'ai eu peur...),
LA DULCINEE DU TOBOSO (cruel),
LE PETIT THÉÂTRE MÉCANIQUE (mortel !),
MARIE, LA TRAVIATA
A l'inauguration,
après une introduction musicale surprenante par
Fanchon Daemers, les discours de Monique Prevost,
Pierre Maille, Christian Guyonvarc'h et Caroline (qui
fait venir René Vautier, que j'avais déjà
aperçu l'après-midi, sur scène, pour lui rendre
hommage, puis Lydia Buyens, venue malgrès la mort
récente de son mari Frans) sont forts.
Mercredi 18 : La Maison Des Fous :
exceptionnel. Hélas, la scandaleuse absence de transports en
commun nous fait nous ramasser une monumentale saucée sur le
chemin du retour.
Jeudi 19 :
Une république devenue folle : Rwanda :comme
je m'en doutais, Olivier est là. On reste discuter
après, nottamment de protection animale, puis il prend les
rondis qui sont tombés avec la tempète de cette nuit.
Les triplettes de Belleville : Je
m'endors pendant la course-poursuite, qui n'est pourtant pas sans
rappeller celle des 101 dalmatiens qui m'avait fait mourir
de rire enfant.
9 court-métrages Bretagne 2004 :
des gens du public sont surpris lorsque je dis qu'il faut attendre la
fin de la séance précédente, je leur dis qu'il y
a des séances en continu dans les trois salles de projection de
11 h à 23 h. PÛR FANTÔME,
ARVO,
CHEVALIERS The rythm of the knights ,
TA MORT EST MA VIE (bizarre, j'ai
l'impression d'avoir déjà vu la fin),
Une partie de pétanque,
TEMPS VARIABLE,
QUAND LES BAZUS S'AMUSENT,
VALSE-HÉSITATION,
Misère des crieurs de Cornouaille
Gestes du repas +
Les amis du plaisir +
Quand j'étais Belge (hélas en
VHS, manque un peu de cartes et de respirations). Lorsque
je sors, Mr Lecoursonnais crie «Encore toi, mais tu es
l'homme incontournable !»
La mémoire du tueur
Vendredi 20 :
Demo : Les coulisses de l'Animation :
la réalisation d'un court-métrage d'animation devant nos
yeux, puis Caméra Enfants Admis qui en est le
prolongement, puisque y est fait référence à la
faculté des enfants à avoir compris les manipulations,
et nous voyions les réalisations de certains d'entre
eux !
Buongiorno notte : beaucoup de
longueurs, et dans la voiture, Magalie dit qu'elle n'a mangé
qu'une saucisse au travail, alors qu'elle est censée être
végetarienne ! Je la gronde sérieusement, mais elle
reste persuadée d'avoir raison. N'empèche que je me pose
de sériseuses questions sur ses motivations, car si c'est pour
les animaux, elle ne devrait être
dégoutée !
Samedi 21 : enfin du beau
temps, comme c'est agréable pour descendre à
vélo ! 9 films
d'animation Raoul Servais :
CHROMOPHOBIA (un peu comme YELLOW SUBMARINE,
d'ailleurs c'est de la même époque),
SIRÈNE, GOLDFRAME (en anglais uniquement,
pas compris),
TO SPEAK OR NOT TO SPEAK,
OPÉRATION X-70 (en anglais aussi, pas tout
compris), PEGASUS, HARPYA (quelle horreur !),
PAPILLONS DE NUIT
Rêves d'habitants : on m'y aperçoit,
que de souvenirs d'enfance qui remontent ! Avec Mak29.
Beneath The Clouds : absolument magnifique,
bien qu'un peu prévisible me rappelle les premiers films que
j'ai vu au festival enfant. On va ensuite manger une crè et de
délicieux biscuits bio V sur la place avec
Brigitte Levrel. L'ambiance est un peu mouvementée, ce que
je vérifierais quelques instants plus tard en faisant les
entrées du Club. Plein de personnes réussissent à
rentrer sans ticket, avec des bouteilles, sans compter que le
réalisateur lui-même est dans un sacré
état. Il faut absolument être trois pour les
séances du samedi soir, et que les personnes pouvant rentrer
sans payer soient tous munies du justificatif nécessaire.
De Witte Van Sichem
Vodka Lemon (magnifique, avec Sybel Ceylan
dans les crédits)
Lundi 23 : je me rends compte,
en allant voir les expositions, que le
Village des associations est déjà
terminé et que je n'y suis même pas allé.
Carte blanche au cinéma Le Nova :
J'ARRIVE, JE PRENDS LE BUS,
L'AUTOBUS, S8OFPLEINOPENAIR01, PRIVÉ,
LES FÈCES DE L'ARCHITECTE (excellent,
il faudrait faire ça, ça défoule),
ROOKGORIJN BOVEN BRUSSEL
DAENS (après m'être pris une sacrée
saucée à vélo, mais je ne suis pas le seul !
de quoi ne plus croire en l'humanité, être convaincu que
nous ne sommes pas en démocratie et révolté par
la religion, le capitalisme et devenir communiste si on ne l'est pas
déjà).
Mardi 24 : La dernière
journée est aussi la plus forte. Elle commence tôt, par
la conférence
Tchétchénie, agir, réagir ?.
La délégation tchétchène comprend l'acteur
de La maison des fous. Caroline propose qu'au
lieu de donner les chiffres de fréquentation du Festival ce
soir, on se regroupe autour d'une banderole. Cette dernière
sera confectionnée par Olivier et maman l'après-midi,
avec qui je finis mon déjeuner entamé avec Magalie (avec
qui j'ai regardé Le dessous des cartes)
et Jean-François quelques minutes plus tôt. Au
débat, moi et Magalie nous retrouvons encerclés des
Tchétchènes, auprès desquels j'étais
quelques instants plus tôt tenant la banderole ! Je
constate qu'un certain nombre d'élus ont miraculeusement fait
leur apparition à cette occasion... Le rêve, depuis le
temps que je suis sensibilisé à leur situation... Le
débat est en fait principalement constitué de la
projection d'un petit recueil d'images concernant le massacre d'un
village fait par Mylène Sauloy, que nous cotoyons
également depuis le début de la journée. Toute la
salle est soufflée, une dame tchétchène juste
à coté de nous fond en larmes, reconnaissant une des
personnes sur les images. Ensuite tout le monde se sépare,
Olivier nous donne sa carte, Jean-Louis, ...
Fait d'hiver
antenne de CFM le 22 Octobre 2020 sont à écouter absolument, et si possible à diffuser autour de soi, même si je ne suis pas forcément d'accord avec ses propos sur la drogue et que ça ne va pas aider à résoudre le problème de saturation du festival de cinéma minoritaire de Douarnenez !
- Les raisons pour lesquelles elle dit ne pas être féministes sont pour moi un bout de définition de l'anti-sexisme et donne tort aux propos de Steve dans la planche 7B du septième album de la saga de Leo "les mondes d'Aldebaran" ;
- Le municipalisme est le vrai anarco-communisme en fait !
- Rappelle qu'il est scandaleux que tant de propriétaires d'oeuvres préfèrent les laisser dormir que de permettre étres consultées.
Manneken Pis : c'est
la très jolie actrice de Daens,
ANTJE DE BOECK... Je me trouve pas mal de points communs
avec le héros, à part qu'il passe ses journées
à cuisiner des cadavres d'animaux... Et j'espère ne pas
connaître le même épilogue, fort glauque... Ce qui
n'est pas forcément très bien barré, la fin de la
semaine ne m'apportera pas tellement ce que
j'espérais...Festival du film court de
Brest 19
- samedi 6
- J'ai l'impression
d'être l'année
dernière ! Aah, l'ambiance prometteuse de début de festival !
- Maison Pour Tueur
- Sans toi de
LIRIA BÉGÉJA
- Ces jours heureux de
ÉRIC TOLEDANO ET
OLIVIER NAKACHE
- L'inventaire fantôme de
FRANCK DION
- C'était pas la guerre
de
ALEXANDRINE BRISSON
- Tous les i de Paris s'illuminent
de
GUILLAUME CASSET
L'aîné de mes soucis
de CARINE TARDIEU (fin
sympathique)
- Le château des autres de
PIERRE-LUC GRANJON
- Bonhommes de
CECILIA MARREIROS MARUM (jolis dessins mais il est
consternant de voir comme un gamin peut ignorer la vie pour
défendre un objet
futile)
- La montagne aux bijoux de
ABDOLLAH ALIMORAD (la fin semble avoir été
baclée, elle est ridicule et sa morale est plutôt
discutable)
- C'est l'histoire d'un belge de
RODRIGO LITORRIAGA (décidément, la
Belgique ! , bravo au grand frère)
- Lucia
de FELIX GÖNNERT
- Bookashky de
MIKAIL ALDASHIN (un dessin animé
anti-spéciste :-) )
- lundi 8 novembre 2004 :
- Reci,
reci, reci de
Michaela Pavlatová :épatant !
- Meteorològ
de Viktor Kubal
- Diskjockey de
Jíri Barta : dommage que l'on entende pas le disque
ABBEY ROAD
- Inspirace de
Karel Zeman
- Houslový Koncert de
Pavel Koutsky
- Milenci bez siat de
Katarína Urbanová
- Ked nie,
tak nie de Vladimir Král
- Ruka de
Jiri Trnka : symbolise la
dictature ?
- Romance z temnot de
Bretislav Pojar
- Pád de
Aurel Klimt
- mardi 8
- Lullaby / The Cure
de TIM POPE : sans comprendre les paroles, c'est
plutôt obscur.
- Bachelorette / Björk de
MICHEL GONDRY : idem, mais quel choc, encore une fois,
qu'est-ce qu'elle est belle et m'évoque
L... !
- Da Funk / Daft Punk de
SPIKE JONZE : décidément, les souvenirs de
1997... :-(
- Ashes to Ashes / David Bowie
de DAVID MALLET : là encore, rien
compris.
- Take on me / A-ha de
STEVE BARRON : oh là là ! Les
années 1980 états-uniennes
colorées !
- Libertine / Mylène Farmer
de LAURENT BOUTONNAT : pas tout compris, d'ailleurs
l'intérêt semble limité, mais ce ne sont pas les
tribulations des pauvres starlettes actuelles qui feront concurrence
à une telle provocation, presque un film
érotique !
- Thriller / Michael Jackson
de JOHN LANDIS :apparemment celui que tous les jeunes
attendaient. Pas moi, le connaissant par coeur.
- V Kocke
de Michal Struss
- Staccato de
Martin Sulik
- Plávanié de
Martin Repka
- Dnes mám prvé randevú
de
Boris Sima
- Sen predstava fantázia Bendy Kristovej
de Robert Sveda
- Konina de
Mário Homolka : depuis le temps que je dis que les
chevaux de course sont maltraités, j'en ai enfin la preuve. La
scène finale est insoutenable, montrant que l'humain
contrôle les moindres faits et gestes des chevaux, jusqu'aux
plus intimes.
- Il me semble aussi avoir vu un film dans lequel un mec massacre des scarabées avec des clous en écoutant la radio française qu'il ne comprend pas.
, mais pas moyen d'en retrouver le titre.- mercredi 10
- Komaneko de
TSUNEO GODA : adorable, dommage qu'il massacre des
insectes
- Les voltigeurs de
ISABELLE FAVEZ
- Contes en terre : Minio et Sandra au zoo
de KOLOMAN LESSO : comme j'aimerais avoir le talent de ce
modéliste ! Hélas l'action est très
confuse.
- Circuit Marine de ISABELLE FAVEZ ce
massacrage d'animaux n'est pas du tout amusant.
- Porgand de
PÄRTEL TALL
- Pantoffelhelden de
SUSANNE SEIDEL
- Jan Svankmajer :
Moznosty dialogu
Jaberwocky : rien compris
Tma, svelto, tma : pourquoi la vision d'un pénis fait-elle toujours rire les filles ? Vu la jeunesse du public, principalement constitué de lycéens, je ne suis pas sûr que beaucoup aient compris le pourquoi du lancer de seau d'eau, il m'a d'ailleurs, moi même, fallu quelques instants. - Rencontre avec
Stéphane Elmadjian et René Vautier :
génial ! Le nouveau film de René, T3 le petit phoque de Cancale est réalisé un peu maladroitement par des enfants de sixième. Mais René montre qu'il n'a rien perdu de sa verve pour défendre l'adorable phoque, et la diffusion du film, quitte à encourager les gamins à entrer en rebellion. La censure existe encore, mais elle utilise désormais l'excuse économique (c'est ce que je ressens depuis bien longtemps, et c'est aussi illusté par Le remord, qui met en scène un jeune René Vautier !). Et les problèmes de licences et de droits sont les mêmes que dans l'informatique...
- Projection des vidéos des
étudiants d'écoles d'arts. Elles sont à la
hauteur de la réputation de ces établissements, trop
zarbs. Aurais mieux fait d'aller voir
FAMU.
- jeudi 11
Je retrouve
Stéphane Almadjian, cette fois sur invitation du
Festival Longueur d'ondes, pour parler de
Je m'appelle.- Vendredi 12
- Obras de
HENDRICK DUSOLLIER
- Le fils du caméléon
de RONAN LE PAGE
- L'origine du monde de
ÉRICK MALABRY
- Egzistencija de
Giedré Beinorïté
- Il y a quatre
Apple Macintosh en accès libre, dont deux PowerMac G5
époustouflants. Hélas on ne peut pas surfer vu qu'il n'y
a pas de serveur DNS fourni par DHCP. Je
règle rapidement le problème, grâce au fait qu'ils sont
en admin (sans commentaire...), et vais participer au site des Echos, incomplet et peu fréquenté, mais dont j'approuve la plupart des commentaires.
- Rawal Recycle de
MARC GIRALT
- Dans l'ombre de
OLIVIER MASSET-DEPASSE :un peu de mal à comprendre la
chronologie. En tout cas, c'est une illustration supplémentaire
des méfaits de l'alcool.
- Chora de
LORENZO ADORISIO
- Girls and Cars in a Colored New World
de THOMAS WOSCHITZ
- Le loup de
JÉRÉMIE LELOUP
- Les premières communions
de JEAN-BAPTISTE DE LAUBIER : pas tout compris, vu
qu'une grande partie des dialogues est incompréhensible car
chuchotés et couverts par un
hélicoptère.
- annaottoanna de
CLEMENS PICHLER
- Blonde et Brune de
CHRISTINE DORY : rien compris
- Guernica de
Emir Kusturica : adorable gamin !
- Ropáci
de Jan Svérák : ambiance des films de
Spielberg de la fin des années 1970.
- Stace de
Sasa Gedeon
- Tes de Václav Svankmajer :
mais c'est que ça fout les jetons mine de
rien !
- samedi 13
- Remise des prix :
Dès que Jean-Luc Hees, toujours amateur de rock, ouvre la
bouche, ce sont des tonnes de souvenirs qui remontent en une fraction
de seconde...
- A Boire de MARION VERNOUX : voir
trois personnes se saoûler pendant 90 minutes n'est pas
bien passionnant... Surtout que dehors, c'est la même chose,
dans les rues désertes, comme d'habitude, de Brest, cette ville
morte en dehors des bars et des appartements. Je
suis un peu déboussolé, je viens de passer une
journée intense (voir
mon histoire) !
- dimanche 16
- oh La La !
de CÉLINE NOVEL
- Diffusion de quelques films
primés. Il se passe alors quelque chose de dingue, les jeunes
excit parlent en même temps que la bande annonce de cette
année, puis embrayent sur celle de l'année
dernière :-)))
- FRENCH KISS
d'Antonin Peretjako : une jolie actrice, un adorable chat,
un Apple Macintosh et des militants, le tout à Paris. Tout
pour me plaire, mais le scario, bien qu'amusant, est un peu
léger
- CASHBACK de Sean Ellis : hilarant, mais
les scènes érotiques avec des nanas imberbes en
cinémascope, cassent un peu l'ambiance et réservent le
film à un public très
adulte.
- EN DEL AV MITT HJÂRTA de
Johan Brisinger : un des rares films en
cinémascope. Très beau, ceci pourrait difficilement se
passer en france.
- GREEN OAKS de
Ruxandra Zenide : révoltant, une preuve
supplémentaire que les parents ne veulent des
enfants (touchants et adorables, dans l'adversité dans le
cas présent) que par
égoïsme.
- MEINE ELTERN de
Neele Leana Vollmar : bien que le scénario soit
hyper prévisible dans ses moindres détails, c'est
l'humour familial allemand que j'adore et qui me met de bonne humeur
depuis des années.
- DAHUCAPRA RUPIDAHU de
Thibault bérard, Vincent Gautier,
Frédérique Gyuran
- E-motion capture de
ALEX FEIL
- Jan Svankmajer : Byt
Jídlo : en plus de la dénonciation de la faim et
du gaspillage, n'y aurait-il pas une critique de
carnivorisme ? - 2 décembre 2004 :
Evidemment, je ne pouvais recevoir ma première
télé qu'en cette date (commandé trois jours
avant, motivé, entre autres, par la réception
exceptionnelle de deux Telerama, qui espèrent toujours que je
m'abonne) ... Et qu'elle est la première chose que je
regarde ? Non, tout faux, pas Arte, mais
Envoyé Spécial sur la filiére bio, puis
sur tarik ramadan, dans lequel on voit beaucoup
d'ordinateurs Apple :-) Puis un
Piéces àConvictions sur les
essais nucléaires. On ne se refait
pas...
- Samedi 4 décembre 2004 :
point de cinéma ce soir, mais de la radio-théâtre,
comme l'année derniè. Mais celle-ci est eclipsée
par la performance de la première partie : un spectacle en
QSound, fonctionnant parfaitement avec de simples (mais haut de
gamme tout de même, senheiser) écouteurs
stéréo. Surtout que l'organisation est moins bonne que
la dernière fois, il n'y a pas de générique, un
problème technique empêchant l'orchestre virtuel de
démarrer avec le batteur et le bassiste, qui en plus ratent
leur final. On entend aussi beaucoup les chuchotements et buits de
feuilles, cela s'entendra t-il lors de la retransmission ? La
date de cette dernière n'a d'ailleurs pas été
donnée.
- Lundi 6 décembre : avant
de prendre mon premier déjeuner solitaire avec des baguettes,
offertes la veille par Eric et Magalie qui reviennent du VietNam,
j'installe le câble me permettant d'écouter la TV sur ma
chaîne Hi-Fi donné par mon père, et teste le rendu
avec les dessins animés de France 5. Le résultat
est très décevant. Celle-ci n'emet pas en NICAM sur
l'émetteur de Landerneau vers lequel pointe l'antenne de mon
bâtiment, ce dont j'ai la confirmation en consultant le
teletexte de la chaîne. Seuls les emetteurs principaux sont
équipés. Au passage, j'obtiens une confirmation
supplémentaire que le numérique est une arnaque :
sans D2Mac, en Pal ou Secam, le NICAM propose bien deux canaux
sonores, et le teletexte fonctionne très bien pour le
sous-titrage. En plus, le son est vraiment mauvais, sans doute en
raison des contraintes liées à la multidistribution du
signal en collectivité, ce qui a tendance à
sur-amplifier l'image également. Le soir, après avoir
renoué avec le
Journal de la culture (découvrant encore un
nouvel habillage pour Arte, et que la qualité de l'image lui
enlève un peu de son coté subversif. Mais le plaisir
d'entendre et lire de l'Allemand est toujours là, que de
souvenirs ! Moments de rêves anti-conformistes du soir),
j'hésite entre le film de France 2 et
La Vie rêvée des anges. Je penche finalement
pour ce dernier, m'installant avec un bon
velouté de pois cassés devant, pestant
conte le son insupportable, malgrès l'activation du
filtre hautes-fréquences de mon ampli, se rajoutant
à l'atténuation permanente des aigus par
potentiomètre (en raison du caractère agressif dans
ce domaine de mes enceintes). Et j'aimerais tant que Lisa soit
là pour partager avec moi un tel spectacle... Le lendemain, ma
mère me dit qu'elle, ainsi que Eric et Magalie, ont
hésité comme moi, et que ces derniers ont fait le
même choix que
moi !
- Mercredi 8 décembre 2004 :
après un après-midi de travail éprouvant, en cet
anniversaire terrible de la mort de John, je regarde
La Pianiste. Je manque de m'endormir, il n'est pas si captivant
que ça, j'avais hésité à aller le voir
lors de sa sortie, surtout que le son est toujours aussi horrible, et
la fin est particuliérement machiste. Ensuite,
Court-circuit !
- Desalinada. Là, j'ai vraiment
commencé à tomber d'épuisement, surtout que
KDE a commencé à me faire un truc bizarre,
grandir sans fin jusqu'à saturation de la
mémoire. Vivement que je change de distribution (et que je
m'améliore en
GNU)
- lundi 13 décembre 2004 :
En cette journée d'un gris étonnamment intense,
j'enrageais tellement d'être limité à ma
minichaîne frôlant les 12 ans pour écouter So de
Peter Gabriel et Debut de Björk tout en faisant de la résistance
non-violente contre EDF, que, avant que commence Là-Bas Si J'Y
Suis et son cortège de messages hilarants ou
révoltés à propos d'un certain serge dassault
qui a déblatéré des inepties issues de son
cerveau meurtrier de vieillard sénile, au point qu'il ne sait
même pas que la france est le deuxième pays le plus
productif au monde gràce aux 35 heures, que je suis
allé faire ma revue de presse àvélo
traditionnelle. Les nouveaux horaires TER ne les font pas sortir de la
pre-histoire, par contre bonne nouvelle, les élus brestois vont
défendre le projet de tram fer jusqu'au bout
(hélas, la date de réalisation est maintenant 2011, mais
j'avais toujours trouvé 2007 irréaliste), et surtout,
envisageraient une seconde ligne desservant la gare !
Après un film avec la magnifique Emmanuelle Béart
soumise à un mari pathologiquement jaloux, et un
Complément d'enquête sur la protection animale
hélas spéciste, La Leçon de piano. Et
re-jalousie masculine, de la part d'un colonialiste sans coeur... Je
suis privés de certains des plus importants moments, lorsque la
lecture du film plante. Un aperçu de la
TNT... Pendant une longue coupure, je zappe sur
M6, et comme par hasard, quelle surprise, c'est le clip
de BIG TIME SENSUALITY ! Ça ne doit pourtant
plus arriver très souvent. Dire que ça fait presque
11 ans que j'ai découvert la belle islandaise sur cette
même chaîne, qui en faisait du matraquage... Puis
rediffusion de Kontact sur Rineke Dijkstra, et une pub pour
Le Dessous Des Cartes, me permettant de connaître
le nouvel horaire :-) Je m'endors ensuite à coté du
portrait de Björk
- Ghost In The Shell,
amorçant une soiré sur la japananimation, avec un
passionnant documentaire sur les merveilleux Miyazaki et Takahata, du
studio Ghibli qui a eu beaucoup d'influence sur moi (sans parler
de Thoei), via Le Tombeau des lucioles, Astro Boy,
Le Royaume des chats. Je découvre ensuite
Jin-Roh, la brigade des loups, qui me scotche et
que je re-regarderais lors des deux diffusions suivantes. Surtout
qu'en VO, les voix japonaises, c'est
quelque chose ! Le reveil sera difficile le lendemain... A
cette époque passe aussi une série sur la
BD, dont un sur les
mangas
- Jeudi 6 janvier 2005 : Le
lauréat : Enfin je découvre ce film mythique
dont le 45-tours de la BO a bercé mon enfance!
Très bizarre, je pense qu'il a mal vieilli, des moments un peu
ennuyeux, mais une fin hilarante.
- Semaine du 17 au
21 janvier 2005 : La série voyeuriste de la
semaine est consacrée au Conservatoire de la pop. On y voit des
jeunes qui ont une dévotion et un talent
impressionnants (surtout le jeune batteur) pour la musique. Et
leur recherche d'appartements et installation me rappellent bien des
souvenirs... Interview de Theo Van Gogh : l'attrait de
l'actrice n'empêche pas un certain ennui et exaspération
devant un tel dialogue de
sourd.
France-Allemagne : des ondes parallèles :
très émouvante, l'histoire de cette amitié qui,
dans cette société guerrière, m'épate
depuis toujours, et dont ARTE est l'un des meilleurs
résultats !
Les enfants de la manette : un docu
très moyen sur les dangers du jeu vidéo. Ça fait
bizarre de voir Peter Molyneux. Plus de dix ans que j'ai
découvert ses jeux... Qui étaient alors bien
différents !
- Jeudi 31 mars 2005 :
Peau d'Âne : Voici la preuve que même Arte passe
d'insupportables navets ! Quelle gaspillage de rénover un
film aussi ininterressant !
- Princess Bride le
dimanche 3 avril 2005 : après que
même Arte, à ma grande déception, ai
participé à la pratique de la déprogrammation
sauvage suite à la mort du pape, me privant de Karambolage,
c'est un choc inattendu qui s'abat sur moi. Cela faisait de nombreuses
années que je n'avais pas revu ce film qui a bercé mon
enfance. Je l'ai découvert en classe de 6éme,
grâce à l'opération Collège au
cinéma, puis je l'ai fait découvrir à ma soeur
dès que je l'ai repéré à la
télévision. Mais cette fois, je remarque que la musique
de Mark Knopfler et Guy Fletcher accompagne toutes les
scènes bucoliques, dans ces paysages qui me faisaient penser
à la Bretagne... Peut-être que ma sensibilité
à à ce jeu de guitare viendrait de là,
inconsciemment ?
- No Man's Land le
lundi 4 avril 2005, alors que la lumièvient
superbe après une journée déprimante sous la
pluie, en cette date mythique pour moi, et après une
présentation démagogique de la TNT : Je l'avais vu
au Club de Douarnenez lors de sa sortie, il m'avait
profondément
déprimé.
Jeudi 14 avril ;2005 :
Riz Amer, suivi d'une présentation d'une
présentation du documentaire de Rithy-Panh sur le
Cambodge. Avec la diffusion récente de
Drôle de Genre de Jean-Michel Carré, Arte
est très Festival !Et on continue le
25 avril avec
Atarnajuat, la légende de l'homme rapide,
suivi de
La Dernière Lettre.Mercredi 27 avril :
Dans le cadre de Court-circuit (qui est passé à
Safari ;-) ),
Le Marin acéphale (aussi spécial que
le documentaire sur son réalisateur Lorenzo Recio qui
suit), Kings of fools de Olaf Encke (magnifique
film d'animation sur le désir d'un crapaud polymorphe),
Le Bonheur en passant de
Christel Guibert (dont je n'ai pas pu profiter de la fin,
apparemment l'ordre d'arrêt PDC a été
envoyé beaucoup trop
tôt)Jeudi 28 avril : Spartacus, encore
un de ces films qui passaient sur les chaînes commerciales quand
j'étais enfant... Il est diffile à croire que ce film
spéciste et commercial, peu fidèle au roman, ait tant
choqué les
états-uniensJeudi 19 mai : Underground
d'Emir Kusturica. Encore un film dont je ne comprends pas les
remous qu'il a créé. C'est confus et ni interressant, ni
crédible.Mardi 24 mai 2005 : Pas
sympa d'avoir changen dernière minute l'ordre des diffusions
de cette théma sur le TCE. Du coup j'ai
regardé
De l'influence des textes sur le poulet.Mercredi 25 mai 2005 :
Le paysan et le millionnaire, puis, pendant que
Radio France : 24 heures sur 24
s'enregistre : La peur, petit chasseur,
Quintessence, La dernière ferme (pas trop
compris). Je découvre que
Mes Voisins Les Yamada va
passer ! :-)Mercredi 18 mai 2005 :
Cannes, journal filmé de Joseph Morder,
Le Bus.Samedi 28 mai 2005 :
Le véritable Indiana JonesNuit du
mercredi 22 au jeudi 23 juin 2005 :
Un été à rien faire,
Le vent rouge (quelle horreur),
Trikk 17 (je ne savais pas que l'on pouvait faire des
courts-métrages avec un
appareil photo reflex numérique, dans le cadre
de Court-circuit(le magazine), qui fait un surprenant retour
à MacInternet Explorer. En plus, les prises de vue sont
des captures d'écran au lieu d'être
filmées. Ça va trop vite, ça rend nul, ça
ne fait plus le même effet que celui qui avait cours
jusqu'à présent et qui avait pourtant déjà
du mal à me maintenir
eveillé.vendredi 24 juin 2005, quelques
jours avant les attentats de Londres :
L'Affaire David Kelly : ce réquisitoire
contre l'invasion de l'Irak est hélas difficile à suivre
du fait des sauts dans le temps, la traduction (comme
d'habitude) imprécise, et les connaissances requises des
différentes personnalités, événements
impliqués et groupes de pressions anglais. Il retrace plusieurs
épisodes de la vie de cet homme omnubilé par la
découverte de ces fameuses armes de destruction massive
irakiennes.Dimanche 3 juillet 2005 :
Une vie pour le Tibet avec des
interventions de Harry Wu ! Je reste partagé
concernant ce personnage du dalaï-lama dont la logique de
compassion me semble exagérée envers mao, attitude
facile quand on est à l'abri quand le peuple souffre en
martyre.Mardi 6 juillet 2005 : Théma
Le Brésil de Lula, montrant nottamment à
quel point la production de soja destinée à
l'alimentation du bétail dont les occidentaux mangent les corps
détruit la structure sociale bresilienne, puis L'Amie,
qui m'accroche de façon imprévue, bien que ça
ressemble à une redite de la bande dessinnée de
Tito
Les yeux de Leila...Mercredi 6 juillet 2005 :
En cette journée riche en bonnes nouvelles (nomination de
Patrick de Carolis à la tête de
France Télévision, qui, bien que chiraquien, pourra
difficilement faire pire que son prédecesseur, la
non-nomination de Paris pour les Jeux Olympiques, et le rejet de
la directive sur les brevets logiciels), mais veille de malheurs,
Arte nous propose de continuer à résister :
Albert Richter, le champion qui a dit non,
suivi de Arte reportage sur la guerre des criquets en
Mauritanie. Jean Ziegler, invité à s'exprimer sur
le sujet, fait un plaidoyer pour un changement de
société. Comme quoi, Arte reste encore un peu
différente des
autres...Lundi 1er août : Z,
déjà vu mais j'avais pas mal oublié. Ça
correspond beaucoup à ce qui est décrit dans Un Homme.Samedi 6 août : Metropolis consacré à Yoko Ono et Wikipedia :-)Jeudi 11 août 2005 : Plui noire : l'alchimie japonaise magique mélangeant tradition sensibilité. C'est aussi le premier film que je regarde avec ma propre antenne, offrant image superbe et son NICAM.Dimanche 14 août 2005 : Bandits, bandits : plutôt poussif ! En plus, contrairement à ce qui est indiqué, je n'ai pas ressenti de stereo pour le son. La jetée : le court-métrage de Chris Marker qui a inspiré l'armée Des Douze Singes. Heureusement, j'avais oublié l'histoire !Les Ailes du désir lundi 15 août 2005 : Quel son, enfin de la bonne stéréo :-) Mais quelle ambiance sombre et déprimante, y compris de Nick Cave que je ne connaissais pas sous cet angle :-(Remorques jeudi 18 août 2005 28' Gouel ar filmoù Festival de
ciné
samedi 20
Le sel de la terre
Comme
souvent, on commence la semaine avec un film social et
féministe rare. L'obtention de la copie a d'ailleurs
couté très cher.Ponpon le chien +
Ruzz et Ben
Première séance que j'ouvre
cette année. J'ai récemment vu Ruzz et Ben sur
Arte, après
Mes Voisins Les Yamada.Bajo California
Salut les vieux frères
Le
son à la
Maison des Jeunes et de la Culture est
meilleur qu'auparavant, ce qui permet de profiter des arrangements
vocaux magiques du trio Delahaye-Ewen-Favennec.
Avant Alambrista
que j'ouvre, une foule sort de Se&numl;orita extraviada. Les
invités discutent, un trouve que les films étaient de la
propagande. Ils apprennent avec Erwann la différence entre
P'tit dèj et débat Mairie, en Espagnol :-) Comme
d'habitude, je fais presque la permanence
au Club !dimanche 21
Avant
Raíces de sangre, Caroline explique à quel
point l'équipe avait ét&ecute; crevée
l'année dernière dés le début à
cause de la tempête qui avait imposé démontage et
re-montage du
chapiteau.Le petit cirque et autres contes
A day without a mexican
Fait
le plein, on doit refuser du
monde.Lundi 22
Spy Kids 2
nullité états-unienne, mais
précédée de la Bande annonce de la
Cité dans le ciel de
Myasaki :-) C'est tellement superficiel, que quand ça
commence, je crois encore que c'est de la pub. Un couple de clavier/souris futuriste est Apple.Aaltra
Encore une fois, foule pour cette
farce. Dommage que ce soit mal filmé, bien qu'en
cinemascope. Le passage d'une ZTER 21500 est
suggérré comme étant celui d'un TGV.Plier
Un
homme, à Brest, entre Liberté et Recouvrance, remet tout
en cause après que sa compagne et lui se soient
séparés. Ça me rappelle beaucoup de
choses...Le baiser
Lundi avec mardi
Un
court léger avec des N'Guyen, et à Landerneau, dans les
environs du marché ! Ça fait
bizarre !Les princesses de la piste
Retour
à Brest, c'est le cas de le dire !Ana
Une foule
monstre. Les bénévoles ne peuvent pas entrer, du coup,
je vais compter les places restantes. Michou a eu, enfin, la bonne
idée de faire un guichet séparé pour les
cartes. Patrice Goyat est là avec ses filles qui ont bien changé ! J'arrive quand même a rentrer et à regarder le
film assis dans une allée. J'entends le chien qui aboie dans
l'appartement à coté. Tous les ordinateurs sont Apple. J'ai
reconnu la voix de Manu Chao dans l'une des chansons. Ensuite,
des gens regardent la grille du festival dans une Peugeot 305,
voyants rouges allumés et autoradio récent sur
France Inter !Mardi 23
Soy diferente, La adopción, El último elote, El rescte
Films
en pâte à modeler et fonds coloriés aux
crayons (que de souvenirs). Presque sans paroles, ils ne
transmettent pas bien l'histoire de façon
claire.La historia de todos
La flûte de Bartolo
Je
ne pense pas que les enfants aient compris quoi que ce soit. Les
premiers dessins ressemblent à de
l'Amstrad CPC, ou Atari, puis de l'Amiga ou
Silicons Graphics du début des
années 1990.Jiburo
Why cybraceros
Je
l'avais deviné d'après le titre, ça parle
ordinateurs : un Commodore C64 règle les
problèmes sociaux ! Décidément, 2005 est
l'année des
vieux ordis !Farmingville
Débat Peintures murales chicanas :les murs de la dignité
La
chaleur et les sièges inconfortables empèchent d'en
profiter dans de bonnes conditions. J'y retrouve enfin Flo !
Après avoir diné ensemble en famille sur la place comme
au bon vieux temps, je suis hélas refoulé à
l'entrée de A Day Without A Mexican pour la
seconde fois. Je n'ai plus qu'à me rattraper avec
Le Jaguar sur TF1,
avec un son bien meilleur qu'il y a 6 ans sur le petit televiseur
de l'internat, quelques mois avant mon premier festival en tant que
bénévole !L'amour d'une femme de
Jean Grémillon
Précisément alors que que
Remorques vient de passer sur
Arte !Mercredi 24
Magalie est épaté
que étant parti après elle, je sois à
l'entrée de Ponpon le chien +
Ruzz et Ben avant elle. Je ne comprends pas pourquoi,
dès qu'il pleut, il y a tant de voitures. Je n'ai pas
l'impression qu'il y ait tant de gens à pied ou à
vélo quand il fait beau. Et en plus, au lieu d'ecirc;tre plus
prudents, il roulent encore plus follement que
d'habitude. Breizh Izel fait un bulletin sur le festival à
18 h 10. On y entend Caroline,
Ishtar Cardona...Welcome + Performing the border
Des
propos déprimants, ratés sur la forme. Le premier n'est
pas sous-titré et parle dans un anglais
incompréhensible, le second va très vite et est trop
brouillon. Les sous-titres sont
baclés.The great mojado invasion
Je
crois que l'humour chicano est encore pire que le
belge.Jeudi 25
Aujoud'hui, Breizh Izel retransmet
patrick le lay déclarant qu'il ne regrettait pas
l'abandon du breton sur TV Breizh. Quelle ironie, en plein
festival ! Puis un jeune raconte qu'il était intervenu
dans la boîte à rêves de
Marie Hélia... Puis la chanson de Manu Chao de Ana
passe !Police frontière
The Border, en
cinascope, mais hélas la copie est lamentable. Avec
Jack Nicholson (méconnaissable), Harvey Keitel,
Warren Oates... Et la musique de Ry Cooder :-)
Heureusement, mon moral remonte quand avec mes parents, Magalie et
Eric, nous comparons nos emplois du temps du lendemain en rigolant,
Christine Quelennec devant revenir dès le
p'tit dèj, ma soeur travaillant à la Biocoop le
matin...Vendredi 26
Hélas, en cet été de catastrophes (au moins deux incidents sur les voies ferrées finistériennes, six ou sept accidents d'avions, des hectares de terres innondées ou en feu, incendies d'immeubles (c'est curieux, mais le deuxiéme, je l'avais prédit après que des questionnements aient eu lieu sur RTL suite au premier) les choses ne se passent
pas comme prévu, ce matin, puisque je fait une chute cycliste
en quittant notre impasse. Du coup, impossible de voir
Paroles de femmes Koursk, séance qui de
toute façon est pleine à rabord. On déjeune tous
ensemble avec Christine. Eric fait des
galettes.Débat Géopolitique militante
Avec
Magalie et Eric, Philippe Doray nous présente Zapito, un
journal alternatif, indépendant. Il lit un passage de
Noir Chirac, que mon père avait repéré
à la librairie, écrit par le gars de SURVIE. Farouk,
présent il y a deux ans, nous donne des nouvelles du Kurdistan,
pui le comité de soutien aux Zapatistes intervient. Tout
ça alors que je viens de lire
GARDUNO, EN TEMPS DE PAIX de
PHILIPPE SQUARZONI ! Je croise Pierre Maille.The Sixth Section
Hélas
en numérique trop dégradé, sans doute à
cause de Pixel-Hypermédia Vannes qui a
réalisé le sous-titrage. L'air de guitare qui sert de
musique ressemble à du
The Edge.Samedi 27
Je croise au autocar Le Coeur en direction de la Pointe Du Raz, et il y a plein de monde à la gare routière Edouard Vaillant. À ta santé René + Fragments d'une rencontre
Je
n'ai rien appris sur Vautier, à part que j'avais oublié
qu'il avait couvert les massacres du
17 octobre 1961. Voilà un festival qui se termine en
queue de poisson, rien à voir avec la flamboyance de
l'anné
dernière...
:-(Dimanche 28 août 2005
La vie privée de Sherlock HolmesPlutôt gamin,
l'humour anglais !Lundi 29 août
Un nouveau Russe
Une
sorte de polar états-unien avec des russes qui picolent. Les
titres dépassent de l'écran, pas trés pratique,
dé,jà que c'est difficile à
comprendre...Mercredi 31 août 2005
L'État des choses
Le
début représentant Les Survivants me
plaisait bien, dommage que ça s'arrête :-( Enfin,
l'image et le son sont exceptionnels, les mal-entendants ne pouvant
pas suivre, les passages en français n'étant pas
sous-titrés. On y voit une démonstration des
capacités de l'Apple 2 :-D Dommage qu'il en
brûle la magnifique
impression.Jeudi 1 septembre 2005
Le Salaire de la peur
Dimanche 4 septembre 2005
Le Schpountz
Mercredi 7 septembre 2005
Bob Kennedy
Voilà
un bon documentaire sur l'histoire états-unienne, avec la mort
de Martin Luther qui me met la larme à l'oeil. Il
évite de s'attarder sur John, il vaut mieux donc bien
connaître son histoire. Une démonstration
éclatante de l'écart qui existe entre les politiques et
le peuple. Qu'aurait été l'histoire si ce personnage, un
peu plus sensible que les autres, avait accédé aux
fonctions ?Samedi 17 septembre 2005
Les Mines d'Héphaïstos
360 », le reportage GEOLa maman des bonobos
Adorable !Mardi 20 septembre
Apprendre, un curieux phénomène
Passionnant,
montrant bien que l'Éducation Nationale est
complétement rétrograde et innéfficace. Dommage
qu'ils aient besoin de tests sur animaux pour montrer cela. Des
plantages lors de la diffusion m'ont privé de quelques
passages.Mercredi 21 septembre 2005>J'ai besoin d'air
Le
fait que le film est tourné en lumière naturelle saute
immédiatement aux yeux, ainsi que la rare tendresse de la
scène d'amour sur le
balcon.Vendredi 23 septembre 2005
Monsieur Zucker joue son va-tout
Dimanche 25 septembre
À l'est d'Eden
Enfin
j'aurais vu un film de James Dean ! Avec un
train :-)Lundi 26 septembre 2005
La ville est tranquille
Chef d'oeuvre
de Robert Guédiguian, fort d'actualité de par les
désillusions qu'il montre, en plein conflit à l'occasion
de la privatisation de la
SNCM.Mardi 27 septembre
Le procès de Saddam Hussein
Jeudi 29 septembre 2005
Le Canardeur
Un
film de gangsters
classique.Mercredi 5 septembre
La prise du pouvoir par Vladimir Poutine
Mercredi 12 octobre 2005
Berlin, politique et bohème
Lundi 17 octobre 2005
Chat noir, chat blanc
À
cette époque repasse aussi le fade
Au coeur du mensonge de Claude Chabrol. Vraiment
morose, la télé depuis cet
été.Mercredi 19 octobre 2005
Les Derniers Jours du sénateur McCarthy
Le dessous des cartes Spécial 15 ans
Ah
là là, Arte à ses débuts... Il est
particuliérement ironique de diffuser cela alors que chaque
émission, ce soir, a été sponsorisée par
des marques à clientèle huppée... Je ne reconnais
plus ma chaîne adorée, qui se met à furieusement
ressembler à Planète et que je regarde de moins en
moins... Une sorte de déversoir à émissions
ressemblant à des clips sur des thèmes sérieux,
mais ne devant surtout pas enlever l'envie de consommer aux riches qui
la regardent. En plus elle s'est dotée de nouveaux graphismes,
qui contribuent toujours plus à enlever ce grain de folie et
d'humanité que j'aimais tant. Ça me fait plus de temps
pour
lire...
Court-circuit (le magazine)
A l'arrière
Deux
marginaux en ancienne Peugeot 505 s'apprêtent à
faire une grosse bétise... Dommage que tout soit
prévisible.Une autre guerre
Pas vraiment tout
compris la
fin.Jeudi 20 octobre 2005
Pourquoi pas !
Une
fois de plus, une panne numérique m'a privé d'un bout de
film. Contrairement à ce qu'en disent les critiques, je trouve
que la patte de Coline Serreau, mettant en scène ce
fantasme de la vie en communauté libertine, ne rattrape pas le
coup de vieux que ce film a pris.20e festival européen du film court de Brest
Je
ne suis pas fan de ces éditions "souvenir", ce n'est à
mon avis pas un grand
cruSamedi 5
Europe en courts
On ne
change pas les bonnes vieilles habitudes, on commence par les courts
jeune public du Mac OrlanKolme Pukkia
Fait
beaucoup rire les
enfants.Le trop petit prince
Porgand !
Encore...Ernst i Svommehallen
Hochbetrieb
Bizgeci : Cesnje
LUNDI 5
Mille morceaux
Les vacances
La puce
Encore
une fois, la vue d'un petit bout de gland provoque des fous-rires
d'adolescentes....La nuit de noces
La faute au vent
Mardi 8
Bizarre,
je crois entendre parler d'un certain Ralph Arista dans
EclectikCompetition 8
00h17
Très
joli...Mille soleils
Suzanne
Schijn Van de Maan
Europe en courts Pays de l'est
Kapsapea
Vonaton
Sympathique,
j'ai l'impression que ça n'a été filmé que
dans des gares
françaises.Desimt Minuciu pries Ikaro Skrydi
Korytarz
Exposition Ruzz et Ben
Ça
casse un peu la magie de connaître les trucs... Je ne pensais
pas, en voyant le reportage dans Court-circuit, voir quelques mois
plus tard quelques él&ecute;ments du décor en
vrai !Cinéma Turc
Séance qui m'est
revenue à cher, vu que j'ai pris une nuit d'hôtel,
étant donné qu'il n'y a pas de RER pour Landerneau
après 20 h 5Koza
Rien
compris....Lastik
En DV, c'est affreux et
insupportableKoltuk Degneklerinden Kanat Yapmak
idemMarlis
Les
couleurs acidulées de ce film contrastent avec celles des
précédents... Un film qui fait quand même trop
"spot pour la
sécurité routière"Bench
Complétement
idiotMutlak Dogru et
11 Eylül
Mercredi 9
Étincelles amoureuses
Oszukac Blekit
Rien compris...Geisha
Le tramway d'Andréa
Alright Love
Paris-Dakar
Je
n'ai pas tout suivi, dommage, il faudra que je le
revoieLe temps des cerises
Le début, qui
explique le titre, fait vibrer mes cordes sociales... Hélas la
suite est gâchée par des gloussements d'adolescents qui
ont peur, sans doute, de la beauté des
sentiments.Fenêtres sur le monde
Flatlife
Bizarre,
je croyais l'avoir déjà vu, et j'y ai pourtant
découvert beaucoup de choses... Peut-être n'en avais-je
vu que le début. En tout cas, les enfants se bidonnent grave,
et applaudissent comme des
malades.A travers mes grosses lunettes
Àh là,
toute de suite, c'est plus grave...L'âge de raison
Porte
plutôt mal son titre, car cet àge provoque plutôt
un éloignement de la
raison...Tadeo Jones
Évidemment, ce pastiche
d'Indiana Jones déchaîne les foules, alors qu'il
n'est pas exceptionnel.imago/Déjà vu dans
Court-Circuit, difficilement
compréhensibleLe manie-tout
Ça me rappelle
mes premières émotions cinématographiques au
Club de Douarnenez...Émotions documentaires
Ten Minutes Older
Dérangeant !Acouphènes
Beta
particuliérement
mauvaiseHong Kong (HKG)
Là, j'ai dormi... Mon
aller retour Brest-Landerneau de t&ocric;t ce matin se fait
sentirIlha das flores
Copie particulièrement
dégradée :-(Comme un seul homme
Je
ne suis pas le seul dans les rang à trouver ça
affligeant... Dommage que ce ne soit pas maintenant que je
m'endorme...Volta
Grandes causes et petits boulots
La conductrice
Ce
genre de faux-documentaires blagues ne me fait pas rire du
tout.The Census Taker
Slavek the Shit
Vache-qui-rit
C'est
drôle, et pourtant ça se passe dans un lieu que je
déteste, avec des gens au
raz des paquerettes...Special People
D'un
goût très
douteux.Pépins noirs
Étrange, du
début à la fin, la femme en question m'a fait penser
à Tanja. Encore un film montrant un jeune
idiot.Jeudi 10
Cocotte minute
The United Nations
Je
ne pensais pas entendre un jour la voix de Huey Lewis
résonner dans ce festival. Les gens ne se rendent sans doute
pas compte àq uel point ce film est
d'actualité.Le baiser
Déjà vuManez
Rien compris.Out of Sight
Gefangenechor
Ester
Heavy Pockets
Leo e Sandra
J'ai
encore dormi...Ligne verte
Magnifique, dommage que le
catalogue dévoile la fin.Stong
Apparemment, beaucoup de
gens ont aimé cette blague de mauvais
goûtCtrl Alt Fly
Idem.Hodet Mitt
Kiallitas
Hélas
j'ai encore dormi... Que m'arrive t-il? C'est
enrageant.Luka
Galiléo
Rien
compris.Empire
Mouais... Véridique, mais pas
très
original.Lightening Bolts & Man Hands
City Paradise
Déjà vu
dans Court-circuit. Je n'ai pas plus
compris.L'homme aux bras ballants
Je
m'attendais à mieux vu sa réputation (j'ai toujours
en tête Erwan en parlant lors de la mort de Laurent en plein
festival de
Douarn)Une femme dans la rue
Je reconnais
immédiatement Les Plomarc'h ! Mon quartier ! Des
tonnes de souvenirs ! Incroyable, un film tourné à
Douarnenez que je ne connaissais pas ! Même si, le
thème du film et ses auteurs auraient dû me mettre la
puce à l'oreille. Il est amusant de constater à quel
point les mouvements de caméra sont étudiés pour
éviter que se voit la ville tout proche, et au contraire, comme
les personnages passent en un instant de Douarnenez à une autre
ville que je ne reconnais
pas !Comptes pour enfants
Déjà vuDouche froide
Déjà vu deux fois...La petite cérémonie
Déjà vuLes filles du 12
Hélas
j'ai dû partir avant, pour avoir le dernier
RER...Arte
Marie-Antoinette
dimanche 6 novembre 2005
Je n'ai pas tout suivi, il
faut dire qu'ils ne rentrent pas toujours autant qu'il le faudrait
dans les détails.Dogville
lundi 7 novembre 2005
La mise en scène et le
jeu ressemblent de façon troublante à ceux de
Dancer In The Dark. Un film difficillement soutenable,
surtout la passivité et le manque de clairvoyance de
Grace. Quelques bonnes dénonciations sont faites à la
fin, à coté de d'autres que j'aprouve moins ou que j'ai
du mal à
saisir.Mardi 15 novembre 2005 : Théma Main basse sur la nature
Dénonciation
implacable de la façon dont les entreprises et les étas
menacent l'agriculture mondiale en se comportant comme les
propriétaires de la nature. Ceux qui résistent,
intégres, sont fortement
menacés...Cet hiver-là, en Ardenne... mercredi 16 novembre 2005
Déjà vu
en début d'anné, pendant les commémorations de la
Shoa.Adieu poulet jeudi 17 novembre 2005
Un
bon vieux film policier des années 1970 comme mes parents
m'en ont
abreuvéMercredi 23 novembre
Franco et Salazar
Pas
tout suivi, c'est
compliqué !Un chant d'amour
Décidémment,
le court-métrage a toujours flirté avec la pornographie
sans qu'il soit étiqueté comme
tel...La Dette
Déjà vu, c'est
censé se passer en 1977, mais le logo SNCF, les
signaux visuels et sonores en gare sont actuels ! Je suis tordu
de rire et de
pitié !Mercredi 30 novembre
L'homme qui tua John Lennon
Met
bien en avant qu'il est devenu végétarien, et ses
contradictions. Mais à chaque fois, j'ai quand même une
boule dans la gorge quand la mobilisation et l'incompréhension
éclatent immédiatement après la triste
nouvelle.Court-circuit (le magazine)
Déluge
Rien
compris.Michel Ocelot
Très bon
reportage.Le monde selon bébé samedi 3 décembre
Hélas
en mauvais numérique. C'est vraiment impressionnant comme
l'attitude de la mè durant la vie intra-utérine
influence la suite, même si ce n'est pas inexorable. On voit
bien à quel point la naissance en milieu hospitalier (et
sur le dos) est inadaptée. Des enfants regardent
Wallace & Grommit The Wrong Trousers !
Une fois de plus, il y a eu mauvaise information concernant le
programmation de Metropolis. J'ai attendu le reportage sur Battersea,
désespérément et pour rien
:-(La véritable&nbsi;histoire de la cité de la joie mardi 6 décembre
Hélas
en affreux numérique :-( Le personnage est sage,
dynamique et émouvant ce Gaston Grandjean, ainsi que
Dominique "dada" Lapierre. Son
mari "didi" Lapierre est plutôt conformiste, mais au
moins il donne tout l'argent de ses livres à la cause. La
musique est géniale, et couvre hélas les
paroles.Les déserteurs du Viêtnam mercredi 17 décembre
Vendredi 9 d´cembre
Téléphone rose
Avec
un Apple Powerbook bien en
évidence :-)Astérix and co
J'ai
appris quelques petites choses sur cette série que je
n'aime pas.Le secret perdu de Catherine la Grande samedi 10 décembre
L'Étrange Noël de monsieur Jack
lundi 12 décembre
L'Effraie vendredi 16 16 d&eaute;cembre
Casablanca
lundi 19 décembre
Court-circuit du
mercredi 28 décembre
Les Voiliers du Luxembourg
Chef-d'oeuvre !
Surtout avec les commentaires du réalisateur qui n'a rien fait
par hasard.City Paradise
Ce n'est que la
troisième fois que je le vois, et je ne comprends toujours
pas...Madame porte la culotte jeudi 29 décembre
Vendredi 30 décembre 2005
Clip Story
C'est
dingue, je connais tout ! Mais pourquoi peuvent-ils encore passer
GHOSTBUSTER, et non I WANT A NEW DRUG qu'elle
plagie ? Le propos est, comme il fallait s'y attendre, bien trop
complaisant envers ce mange-fric qu'est le
clip.Freddie Mercury, the Untold Story
samedi 31 décembre
Quelle joie de revoir un bon
documentaire dans la lignée des
Music Planet Pop Gallerie d'il y a justement
10 ans ! Je n'ai rien contre ses moeurs par principe, mais
ce gâchis d'argent, d'energie et de ressources, qui aurait pu
être mieux utilisés, me
répugne.La&nbps;Mort aux trousses jeudi 5 janvier 2006
Ah,
enfin un bon
film !Mémoires en fuite vendredi 6 janvier
Les Patriotes lundi 9 janvier 2006
L'ambiance
de chaque époque est bien retranscrite, avec un trafic autobus
étonnant devant le siège du Mossad. Hélas,
quelques fausses notes avec la présence de Peugeot 405 en
1984, et des Agoras
parisiens !Au bled mardi 17 janvier
Black Deutschland
mardi 24 janvier
Sur les traces de la momie
samedi 4 février
Sur les traces de la momie samedi 4 février
Decazeville,
vivre après la casse
mardi 7 février 
Gilda vendredi 10 février
J'ai
rarement vu une telle daube déprimante.Mission
dimanche 12 février
Bloody Sunday
lundi 13 février
Blind Shaft lundi 20 février
Court-circuit (le magazine)
mercredi 22 févrierMatin calme,
Light is Calling de
Bill Morrison (plutôt ésothérique),
Le mont chef (encore ! Ça devient vraiment
nul cet
émission)Jeudi 23 février 2006
Rendez-vous
Commence
avec l'arrivé à la gare d'Austerlitz par Ivry !
Ça a bien changé depuis ! Mais ça devient
rapidement un drame noir à la Téchiné, avec une
délicieuse Juliette Binoche, dans le style de
Nelly Le Tellec, mais cruche comme c'est inimaginable. En
trois mois passés à Paris, elle aligne les partenaires
mais ne connait toujours pas la ville.Calais, la
dernière frontière
Une saison Sibelius
vendredi 24 février
Le ciel dans un jardin
samedi 25 février
lundi 27 février 2006
Madame Brouette
Magnifique
film, une énorme surprise ! C'est bien l'ambiance
musicale, festive et désorganisée du
Sénégal, avec un
commissaire-agent de la circulation... Les sous-titres
sont indispensables.
Prisonniers de Beckett
Un peu
ésotérique, manque des
explications.
Court-circuit du
mercredi 1er mars
Green Bush
Typiquement
aborigène.La Langue bleue
Rien
compris.Les Mystérieuses Explorations de Jasper Morello
Spécial,
mais pas mauvais.Pavillon 13
Fandard
:-)Déluge
Rien
compris.Certains l'aiment chaud
jeudi 2 mars
Je ne l'avais toujours pas vu... Une farce
qui change les idées :-) Même si rien ne tient
debout...Samedi 18 mars 2006
Christoph von Dohnányi
Il
magnifie Mozart et Bethoven (quelles émotions
délicates) et me ferait presque aimer Strauss, une
sacrée
performance !Metropolis
L'équipe Pixar
Dirty Dancing
Lovely Rita
mercredi 22 mars
On dirait que c'est filmér; avec
un camescope... Encore un drame lié au manque de
communication. Par contre, la série voyeuriste de la semaine,
Un enfant d'ailleurs, montre une famille ayant
6 enfants, dont 5 adoptés, vivant de façon
communautaire. Sans doute la seule façon de concilier
désir d'enfant et vie durable. Il faut hélas prendre
l'avion. La plupart ont l'air tendrement unis, le garçon s'est
tout de même habitué au confort excessif de l'aspirateur
et a le même baladeur que
moinbsp;!La biochimie du coup de foudre dimanche 2 avril
Ne
rentre pas assez dans les détails scientifiques, s'attardant
trop sur des scènes érotiques exprimant le désir
et non
l'Amour.Samedi 8 avril 2006
Les Nabatéens
Du Shtetl à Broadway
Me
rappelle le
Festival Yiddishland :-)African Queen dimanche 9 avril
Goliath, le gé ant de la Bible samedi 15 avril
Les
images en extérieur sont en un
affreux numérique.samedi 22 avril 2006.
Venise, 1575
Metropolis
L'Ours rouge
Incroyable
comme le son de ce film peut claquer, seulement 13 ans
après Retour vers le futur II que je viens
de re-regarder (et du coup, retournant en
enfance !). L'actrice féminine est
superbe :-)Mercredi 26 avril 2006
Arte reportage Slavoutich
Court-circuit (le magazine)
Light Cone
Une
entreprise de préservation cinématographique avec des
Macintosh.Bombes sur Berlin
Jolie
adolescente (preque autant que Linh Dan Pham) dans une
ambiance
grise.Tatyou
Vendredi 28 avril 2006.
Capitaines des ténèbres
Une
démonstration supplémentaire de
l'horreur coloniale.Un écran nommé désir
Les
liens entre psychanalyse et cinéma présentés
d'une
façon abrupte.Tan de repente mercredi 3 mai
Plutot
spécial...Dimanche 7 mai
La Guerre des mondes
Ça
a plut&ocric;t mal vieilli... Attribuer des émissions de
radioactivité aux envahisseurs, chose à laquelle je
m'attendais (tout comme la tentative finale), était
plutôt osé pour
l'époque. La Bombe
Celui-ci, par contre,
traite le problème de la radioactivité d'une
façon (hélas) bien plus réaliste, et devrait
être largement
diffusé.Tirez sur le pianiste jeudi 11
Pas
grand intérêt...Glenn Gould,
au-delà du temps samedi 13
Sweet Sixteen lundi 15
Les Routes du coton mardi 16
Mercredi 17
Paragraphe 175
Japón
Abandonné
dés le
début...Court-circuit (le magazine)
Qui a mangé la soupe cosmique ?
Rien compris.Opération Rienzi
Marottes
In the mood for love lundi 22 mai
Superbe...
De l'émotion passionnelle dans la plus grande
délicatesse (à part pour les animaux dont ils se
délectent).Papillon noir, danse Dunhuang et ballet classique 27 mai
On
continue avec la beauté asiatique qui rend zen,
hélas en mauvais numérique. On y remarque le ridicule
des
vidéo-conférences Internet.Mardi 30 mai 2006
Irak, quand les soldats meurent
Pas en notre nom
Ils
ne mâchent pas leurs mots :-) Aussi bien concernant bush
que l'Europe ! Et la façon dont le communisme a
été dénaturé, je ne m'y
attendais pas ! Ça redonne de
l'energie !Nationale 7
J'avais oublié
à quel point c'est bien ! On y entend France Inter
avec son tout nouveau générique
d'alors :-oMercredi 7 juin 2006
L'histoire du jour le plus&nbps;long
Court-circuit
Excellent cru !Conte de quartier
La Sacoche perdue
Histoire tragique avec fin heureuse
The Moon and the Son : an imagined Conversation
The Aroma of Tea
J'accroche
moins, mais son auteur est un fidèle des nuits de l'animation,
que de
souvenirs !La Mémoire des chiens
Éclosion
Palettes,
Paul Cézanne (1839-1906) 9 juin
La mémoire perdue de l'île de Pâques 10 juin
Déjà
vu cette allégorie de ce qui va également nous
arriver. Quels sont nos moaï, les stars: les politiciens, la
consommations ?Indira Gandhi mercredi 14 juin
La Femme au portrait jeudi 22 juin
Dimanche 25 juin 2006
Une
théma joliment décorée
«La nature a du talent»Microcosmos, le peuple de l'herbe
Alice au pays des cafards
C'est
un peu long à démarrer, ce qui s'explique par le fait
que le résultat n'est pas très spectaculaire. Du coup,
pendant tout ce temps, j'ai pu deviner les applications terribles que
ces technologies permettront, et dont le dévoilement final m'a
de ce fait désolé, et non
surpris.Ariane jeudi 29 juin
Un peu curieux,
ces acteurs parlant anglais en plein centre huppé de
Paris (Maurice Chevalier avec un accent
terrible)Jeudi 13 juillet
Les Cavaliers
Mouarf...Le chien noir
Rencontre au sommet vendredi 14 juillet 2006
Sympathique,
avec Bill Nighy en exclave (comment fait-il pour vivre
comme ça, surtout pour que ses travaux soit noyés
dans l'éclatante hypocrisie des dirigeants)
typiquement anglais et une Kelly Macdonald à la fois
spontanée et réservé, me faisant penser à
Annaïck Cabon (mais
beaucoup moins mignonne). J'ai l'impression que l'un des
acteurs joue aussi dans
Les Années Tony Blair. Hélas c'est quand
même très anglais, du point de vue de l'humour et de
l'excentricité... et le fait d'assimiler un changement du monde
à une aide envers les pauvres, aussi généreuse
soit elle, n'est pas le
top...Fiesta dimanche 16 juillet
Vraiment sans
espoir sur
l'humanité.Mardi 18 juillet 2006 :
Un matin de bonne heure
Décid&eacurte;ment,
j'aime les films africains, même quand ils sont noirs
à ce point (sans
jeu de mots).Le Nécrophile
Mercredi 26 juillet 2006
Zagaroff, faiseur de guerres
Extra&numl;o
Bof...Les Deux Cavaliers 27 juillet
Surprenante
irruption de thèses favorables aux amérindiens et aux
femmes dans un
western...Il était une fois Saint-Tropez
le
30 juillet
Jeudi 3 août 2006
M le Maudit (version restaurée)
Je
serais curieux de savoir quelles scènes ont dû
êtres remises.Les enracinés
Portraits de
vieillards carnivores. La première est ancienne
garde-barrière, et on ne voit ni ce qu'était exactement
son métier, ni le moindre train. J'ai alors coupé ce
documentaire
ininterressant.Mercredi 9 août 2006
Aventuriers du ciel La traque aux sous-marins
J'avais
déjà tilté sur le Lynx militaire que l'on
voyait dans la présentation, me demandant si... Et OUI !
Je reconnais immédiatement les Lynx de la base de
Lanvéoc, musicalement accompagnés de
Björk :-). C'est encore une coincidence troublante que le
cycle ferroviaire soit suivi d'un sur les
hélicoptères... Je n'ai pas souvenir que Eric m'ai dit
qu'ils avaient étés filmés
récemment ! Avec Björk en fond musical :-) Hélas je ne peux voir la suite, ma
S-VHS arrivant justement en fin de
bande.Court-circuit (le magazine)
Il était temps
que je
rentre !Casa
Quercus
Masters of horror en DVD
Je
n'aime pas l'horreur mais ils font envie avec ces
courts extraits...Le Chevalier des sables
jeudi 10 août
Gorilles dans la brume dimanche 13 août
Aventuriers&nbpsp;du ciel Un hôpital à réaction jeudi 17 août :
L'implication de ces personnes fait plaisir, en même temps que la souffrance de ces peuples est révoltante. Comment feraient-il si cette association ne s'occupait pas d'eux ?29e Gouel ar Filmú
Les identités au pied du mur le samedi :
Un
reportage un peu répétitif sur la préparation du
28ème festival. En chemin je passe sous le nez du chauffeur moustachu aux commandes d'un Douarnenez-Quimper, avant de passer près de la gare routière bien fréquentée.Dimanche 20 aouût
42 1/2.
Au feu.
Lundi 21 août 2006 :
Serbie, année zéro
Ce
documentaire sur la vie d'un réalisateur par rapport à
la situation politique manque de pédagogie et se fait un peu
trop
mélodramatique. Avec l'insupportable bernard henry-lévy.Le Cercle parfait.
Mardi 22 :
Kosovo, mission inachevée
Il
est révoltant de constater que la mission des
Nations Unies après les bombardements de 1999 qui
m'avaient tant révoltés n'était que d'installer
le capitalisme ultra-libéral, demandant à privatiser des
usines qui tombent en ruine, au milieu d'un pays ravagé, dont
la population vit dans les restes des bâtiments détruits
avec nos impôts. La radinerie et les propos ridicules, voire
risibles des politiques provoquent des gloussements rageurs dans
l'assistance. Strauss-kahn a refusé de donner les moyens
nécessaires pour un début de reconstruction, alors que
les énormes sommes engagées n'ont de toute façon
pas été vues par la population. Peut-être que si
elles avaient été utilisées pour lancer une
filière énergies renouvelables, on aurait avancé
sur tous les
plans.Qu'avez-vous vu de Sarajevo ?
Étonnant
de voir comme Sarajevo était une grande ville avec les
infrastructures que cela suppose, comme des trolleybus. Hélas, comme souvent, il
n'est pas toujours aisé de différencier les
différentes époques
représentées.Sarajevo, mon amour
En
avant-première. Hélas Arte en avait trop dit lors de sa couverture du festival de Berlin, me privant un peu de suspense. Le journal de la culture en a re-parlé le lendemain soir, à l'occasion du festival de Sarajevo, mais sans dire qu'il est en ce moment à Douarnenez :-(Mercredi 23 :
Etat de teuf :
En construction
La
seule séance, à ma connaissance, à être
relativement
boudée.La dernière journée :
Retard
monstrueux, car bien sûr, les gens qui n'étaient pas
à En construction, ils s'agglutinaient
désespérément à
Papa est en voyage d'affaires, ajoutant au retard
qui de toute façon était
inévitable.Le beau combat :
Belles vues
de
Chigago :-)Jeudi 24 :
En cette date terrible, les nouveaux arrêts de bus sont peints près de Kermarron :-)Le pain dur
Raté le début, vu que je faisais les entrées de Petites Natures au Club. Comme je m'en doutais, on retrouve le même schéma qu'à Saint-Thonan, sans doute commun à tous les villages arriérés.Un peintre
C'est bête,
mais ça fait du bien parfois !Repère
Mine
de rien, derrière l'hilarité, un sacré
réquisitoire
anti-consommation.Poids plume
baah.Le syndrome du carambar
Les
réactions des réalisateurs, intervenant à la fin,
me font enfin esquisser une explication quant à ce qui doit
faire rire dans ce film : faut-il raccourcir le mot
péniche, quand parrallèlement on parle de
centimètres ?Un regard
Déjà vu.Reverzi, flus et reflux
J'ai
immédiatement reconnu un X73500 circulant sur la ligne
Morlaix-Roscoff ! C'est le seul intérêt du
film.Manmuswak
Vendredi 25
Yougoslavie, genèse d'une guerre
Que
c'est
compliqué !Le jardi en marche :
On
dirait du
Super8...Les voyageurs du temps des rêves armorigènes :
Une
oeuvre complète, associant musique/bruitage de
Michel Aumont, capture d'images de nature et d'oeuvres de
Jean-Claude Charbonnel, qui n'arrête pas de parler,
utilisant des mots inhabituels et magiques, mais avec un fond
fortement militant. Oeuvre vraiment unique, qui ne sera hélas
pas primée.Microclimat.
Arte
Une histoire informatique bulgare vendredi 8 septembre
Un couple épatant lundi 11 septembre
La critique est élogieuse, et je trouve ça complétement nul. La saga très difficile à suivre sur un pauvre type sans tripes incapable de se prendre en charge et de s'assumer. Je me demande si l'acteur, François Morel, avant de jouer le triso, n'a pas crée des chansons pour enfants...Mardi 12 septembre 2006
La Russie selon Poutine
C'est bien de critiquer cet odieux dictateur sanguinaire, mais beaucoup de choses pourraient s'appliquer aux états dits démocratiques...Les enfants terribles de Vladimir Vladimirovitch Poutine
Mercredi 13 septembre 2006
Superbe soirée, avec une image magnifique, profitons-en avant que la diffusion analogique soit interdite !Les sous-marins de Pearl Harbor
Arte reportage Les contaminés du 11 septembre
Dommage que le présentateur masculin ne soit plus là.Lumière froide
Ça alors, une diffusion en cinémascope, ça faisait longtemps...Court-circuit (le magazine)
Là, par contre, pas très bon cru, comme presque tout le temps depuis la nouvelle formule...Elli Medeiros
Même en rêveLe seul à être acceptable.Novice
Premier pas sur les nuages
Vendredi 15 septembre 2006
Sous haute protection
Il était une fois Walt Disney
Superbe, hélas peu chronologique et exaustif, et les redimensionnements d'images ne respectent pas le rapport pour s'intégrer obligatoirement dans le décor.Dead Zone dimanche 17 septembre
Aaah, enfin un super bon film ! Je n'ose compter depuis quand ça n'était pas arrivé :-(Après la vie lundi 25 septembre
Ça n'apporte pas toutes les réponses espérées et n'apporte rien de révolutionnaire à cette série vraimant sans intérêt.Kennedy et moi lundi 2 octobre
Quelques scènes jouissives... Simon n'a pas toujours complétement tort.Un crime dans la tête dimanche 8 octobre
Rediffusion en version doublée de ce film qui prédit presque l'assassinat de John Kennedy, évoque mc carthy. Les rapports entre hommes et femmes sont très étranges.lundi 9 octobre 2006
Nettoyage à sec
Miou-Miou toujours aussi séduisante !Nuit du court métrage
Comme le nom ne l'insique pas, Krishna's Dancer - Dog - Allô, ici Calcutta - Le Grand jour - Soyez fous - Embouteillage - Pousse-pousse - M. et Mme Murali - Divine Durga sont des films montrant la vie incroyablement palpitante de Calcutta.Thema Qu'est-ce que l'orgasme ? 10 octobre
Pas beaucoup d'infos vraiment nouvelles, mais quelques idées sont remises en cause...Carmen vendredi 13 octobre
Le début et la fin sont très inférieurs au milieu, en mauvaise qualité numérique. Dans le générique, référence à Hervé Chabalier (!?) et à l'infinimment séduisante Emmanuelle Grundman.Y a-t-il un pilote dans l'avion ? 15 octobre
Qu'est-ce que cette imbécilité fait sur Arte ? Ça ne s'arrange pas...Voyage au centre de la Terre 22 octobre
Un des premiers films que j'ai vu enfant, il a pris un sacré coup de vieux.Mercredi 25 octobre 2006
L'important, c'est d'aimer
La qualité d'image est pourrie, comme si c'était de la vidéo et non de la pelicule, pour ce film d'une noirceur désespérée, submergée dans le manque de communication, que Téchiné ne renierait pas.Court-circuit (le magazine)
Courts métrages et citrouilles
Très interressant et sympathique, dommage qu'il faille supporter la souffrance animale.Le Cabinet
Akumi
Comme dit dans la discussion, c'est plutôt réservé aux amateurs de films de vampires.Monstre
Joli hélicoptère dans cette parodie.Jeudi 2 novembre 2006
Quatre Garçons dans le vent
Voir et entendre les Beatles prendre des trains est le seul intérêt de ce film idiot.Paul McCartney à Abbey Road
Sympathique.Chantage meurtrier vendredi 3 novembre
Morale de cette histoire surprise plutôt discutable.Un été sans soleil samedi 4 novembre
Mardi 7 novembre 2006
Kosovo, mission inachevée
Le poids n'est pas aussi fort qu'en le regardant au cinéma...Deux villages au Kosovo
Les ombres du bagne dimanche 12 novembre
Les pygmées de Carlo mardi 14 novembre.
Tout le monde en prend pour son grade !Le siècle de Verdun mercredi 15 novembre 2006
Jeudi 16 novembre 2006
Le Massacre de Fort Apache
Cinq hommes et un garage.
L'employé noir me ressemble beaucoup.21e FESTIVAL EUROPÉEN DU FILM COURT DE BREST
SAMEDI 11
Tout autour de la terre
Comme c'est bon de pouvoir admirer de l'animation en 35 mm, confortablement installé. C'est un autre monde, intime, faisant oublier les probles de la ville. Je suis accro à cet effet depuis l'adolescence.História trágica con final feliz (Regina Pessoa)
Déjà vu.
Amal (Ali Benkirane)
Idem.Mastro (Géza M Toth)
:-)Hiroshi (Bretislav Pojar)
Une sorte de Jiburo, dans lequel Hiroshi est tellement converti qu'il en devient non-spéciste.Pas les flics, pas les noirs, pas les blancs
Ça commence fort avec ce joyau ! On y voit des trains et bus. Les témoignages des protagonistes sont délicieux. Les policiers parlent de «clients» ! Vraiment un coup de coeur pour ce film d'Ursula Meier, montrant une spectaculaire évolution d'un policier bourrin en dissident social face à son administration.DIMANCHE 12
Cocotte minute
Hélas beaucoup sont en Beta :-(L'Uomo del Meteo (Christina Valentini et Gabriele Fantuzzi)
Film Noir (Osbert Parker)
Cevapcici (Jonas Meier)
Un clip vidéo gore.Coup de foudre (Vincent Primault et Heidi Fillette)
:-)La leçon de danse (Philippe Prouff)
Qui osera danser sur ces affreuses musiques électroniques après ça ?Kwiz (Renaud Callebaut)
Quel intérêt de tourner ça en HD ?Bent Double (Anton Short)
Très émouvant, sur la vieillesse utime.Ten Thousand Pictures of You (Robin King)
Rien compris.Casa (Manuel Sanchez Munoz) :
Une des boîtes de production s'appelle Hill Valley ! C'est en espagnol, sympa !Carlitopolis (Luis Nieto) :
Massacre de souris :-(The Fairies of the Blackheath Woods (Ciaran Foy) :
blackheathfairies.com, va gagner.Deuxième mouvement (Pascal Voisine) :
Encore le procédé de la boucle... Ça devient lassant... Apparemment tourné en un seul plan séquence, comment font-ils pour la métamorphose ? Vanessa Fino a de superbes jambes :-)Ebed (Miklos Solyom) :
J'avais deviné...Kvinna vid Grammofon (Johannes Stjärne Nilsson et Ola Simonsson) :
Destruction d'une platine disque Dual :-(Deface (Lorcan Finnegan)
Clip vidéo qui rappelle furieusement les années 1980.Open (Charlotte Siebenrock) :
Rien compris.Park (Andy Pearson) :
Animation 1 :
The Aroma of Tea (Michaël Dudok de Wit) :
Déjà vu...Ichthys (Marek Skrobecki) :
Une bonne raison de ne pas manger de poisson !Même en rêve (Alice Taylor)
Déjà vu, et toujours pas compris la fin...Morir de Amor (Gil Alkabetz)
Wooden Island (Monica Gallab).
Conte de quartier (Florence&nbqp;Miaihe) :
Me suis endormi devant ce film que j'avais déjà vu...La chute de l'ange (Geoffrey Barbel Massin).
De Sussen en de Geuzen (Dieter Dresselaers).
LUNDI 13 : Carte blanche au Saguenay :
Ryan (Chris Landreth) :
C'est bien, comme je l'esperais, celui qui avait été présenté sur Arte il y a quelques temps.Noël Blank (Jean-François Rivard) :
Terriblement cruel, mais on ne peut s'empêcher d'être amusé !Radio (Patrick Boivin) :
Seule la jolie Marianne C Miron m'a sauvé de l'ennui le plus profond.Les derniers jours (Simon-Olivier Fecteau) :
Fandard... :-)La petite chasse (Pamela Basilish)
Copie catastrophique, rendant les propos québecois définitivement incompréhensibles. Vu le sujet, c'etait sans doute mieux ainsi.Dumb Angel (Deco Dwason) :
:-) Dommage que la qualité soit si pourrie et que la vue s'éloigne, empêchant de profiter de la virtuosité du batteur.Philippe (Guillaume Tremblay) :
Pas compris...MARDI 14 :
Humour au feminin
Een Griekse Tragedi (Nicole Van Goethem).
Merci (Christine Rabette) :
:-) J'ai tout de suite reconnu un pré-metro STIB / MVIB, mais il est bizarre qu'il ne fasse pas beaucoup d'arrêts. Dans le générique ils remercient le Musé du Tram, je me demande bien pourquoi. J'y étais il y a deux semaines !Glenn, the great&nbp;Runner (Anna Erlandsson) :
Déjà vu...
Hoi Maya (Claudia Lorenz) .Angoisse (Blanca Li).
Biyik (Lala Nalpantoglu).
Toy Joy (Bénédicte Maria Orvung).
Hartes Brot (Nathalie Percillier) :
Pas traduit !Out of Place (Ellen A. Lundby) :
Et pan sur la pub !Happy Now (Frederikke Aspöck) :
Déjà vu, dit se passer à Catalina !?Wooly Wolf (Vera Neubauer).
And the Red Man Went Green (Ruth Meehan) :
Déja vu...Hommages et parodies :
Les adorables présentatrices sont déguisées et font semblant de nager en annonçant les films. Hélas, le grand théâtre du Quartz a de sérieux problèmes de son.Kristall (Christoph Girardet, Matthias Mueller) :
Représente l'expression «briser le miroir» ?Starfly (Beryl Koltz).
Zoo (Salla Tykkã) :
Les déguisements des présentatrices ne m'ont pas aidé à comprendre ce film.Szparagus Z Kosmosu (Markus Engel).
Santo Palace (Hélène Cattet et Bruno Forzani) :
Pas compris.In the Mood (Hannah Robinson).
MERCREDI 15
Pitchounes
Comme ils s'obstinent à le diffuser au Petit théâtre, c'était encore une fois plein. J'ai toutefois vu un Van Hool au Relecq-Kerhuon, un GX 327 doubler le Citaro stationné à Palaren, et qui ensuite me dépasse de trop près :-(À tes amours :
Un Agora Line de la ligne 25 prend des jeunes au Rody.La última ágina (César Rodriguez-Moroy) :
Super musique, mais hélas image pourrie, il semble que ce soit un Digital Versatile Disc. Aah, une histoire d'amour en espagnol, toute mon adolescence...L'ultimatum (Rafaël Schneider, Sébastien Lafarge).
Révolution (Xavier Diskeuve).
Sintonía (Jose Mari Goenaga).
Nära Huden (Amanda Adofsson) :
Pourquoi n'est-elle pas sortie plus tôt de la buanderie par la fenëtre ?Animation 2 :
The Runt (Andreas Hykade) :
Cruel ! :-(Vennad Karusüpojad (Riho Unt) :
Ai dormi...Rabbit (Run Wrake) :
Je pense que ce film fait références à des choses, de vieilles illustrations d'écoles anglaises peut-être ?Dreams and Desires - Family Ties (Joanna Quinn) :
Produit par S4C, ce qui ne m'étonne pas vu le style qui me rappelle ceux vus avec Tristan et Véronique à la fin des années 1990... :-(Aldrig som första gangen ! (Jonas&nbso;Odell).
Den Danske Dikteren (Torill Kove) :
J'adore ce style de dessin depuis que je suis gamin :-)Je me demande si c'est vrai, ce n'est pas très crédible (surtout qu'il y a une surprise, la filiation ne suit pas exactement le chemin que l'on imagine) :-)JEUDI 16
Compétition 8 :
Bir damla su (Deniz Gamze Ergüven).
Echo (Yann Gozlan) :
Pas compris.Tricko (Hossein Martin Fazeli).
Dad (Daniel Mulloy) :
Une fois de plus, l'idiotie des jeunes présents dans la salle gâche.Basti (Chris Rubino et Ralf Beckert).
Belle variété d'autobus Place de La Liberté : Van Hool, O405, Citaro Articulés, Setra articulés, il y a même un autocar Lion.Moyens mérages :
Adolfo (Sofi Delaage) :
Aah, l'ambiance cubaine... Toute mon adolescence... Il porte un t-shirt «Sauvez Ilan» et écoute Radio Reloj.Des terres minées (Julien Sicard) :
Cité des Courtillères à Pantin. Curieux, il va être primé alors qu'il est diffusé en «OFF» !?VENDREDI 17 :
Le 17 est un grand chiffre pour moi, et je me demande si ce jour va être remarquable... En tous cas, elle s'annonce super-chargée, mais tout se passe correctement. Je descends dans un GX 327 de la ligne 11 sous des trombes d'eau de pluie.Compétition 7
Dopodomani (Duccio Chiarini).
Summer (Hong Khaou).Aldrig en absolution (Cameron B. Alyasin).
Rapace (Joao Nicolau).
Après un passage à Biocoop (quel confort quand on vit en centre de grande ville), je remonte par la 22, c'est un S215 articulé qui certes offre un moment de nostalgie mais vibre atrocement. En plus, l'arrêt Lagadec est super loin de A.T.S.Roumanie et Bulgarie :
Zhivot sus Sophia (Svetla Isotsarkova).
Cherno na Byalo (Andrey Isvetkv).
Tir (Radoy Nikolov).
Get The Rabbit Back (Kamen Kalev, Dimitar Milovski) :
Pas compris.Poveste la scara « C » (Cristian Nemescu) :
Il faut dire qu'elle est jolie Monica...La Nic (Patricia Radoi) :
Encore deux superbes actrices, dont l'une joue une végane ! :-))) Influence de la co-production britannique ?Trafic (Catalin Mitulescu) :
Pas compris. Là où était Micro(i)media en d'autres temps, le jeune homme que j'avais entre autres vu à I4C me re-demande mes coordonnées, apparemment il les cherchait désespéremment, quelle persévérence ! Il semble qu'il fût marqué par moi et le barbu d'Infini, et travaille à Landerneau ! Je me dit que le monde est vraiment petit en attendant le film suivant, qui a une demi-heure de retard. En effet, je suis presque sû que ce monsieur d'Infini, je le vois avec sa fille rousse depuis que je suis enfant, non seulement dans les festivals, mais aussi au centre nautique de Douarnenez-Tréboul. Si c'est bien le cas, je ne pensais sûrement pas à l'époque que lui aussi venait d'utiliser un ordinateur ! Mais ces supputations ne sont rien comparées à ce qui m'attend...L'anné suivante (Isabelle Czajka) :
En page 98 du catalogue, entre Microclimat et l'exposition «Un homme est mort»... Décidemment, Douarnenez, Brest et leurs habitants respectifs sont condamnés à se croiser... Je me régale d'un mélange de crudités-tofu devant ce film formidablement bien joué, dont la fiche m'évoquait déjà mon «année suivante» personnelle, pendant laquelle Isabelle Czajka (présente) tourne d'ailleurs son premier documentaire (Tout à Inventer). Mais comment décrire ma stupeur finale, comme l'implosion d'un feu intérieur dormant qui se ravive soudainement, lorsque se produit, alors que je ne m'y attendais pas, ce que j'espère secrétement depuis plusieurs années à chaque générique de film, à travers tous ces festivals, toutes ces soirées télévision très avancées dans la nuit... LISA EST CRÉDITÉE comme accessoiriste ! J'avais beau savoir qu'elle l'était sur «Comme Un Boomerang», lire son nom en final d'un (excellent) long métrage par surprise est une expérience unique... euphorisante au plus haut point. Hélas elle ne semble pas être présente à la projection de ce magnifique film tourné de l'été à novembre 2005 dans plusieurs banlieues françaises, sortie prévue février 2007... Sans doute travaille t-elle sur d'autres projets (je n'arrive toujours pas à m'habituer à ce décalage entre tournage et diffusion), elle semble se faire une place de choix, qu'est-ce que je suis heureux, j'ai envie de crier, de chanter, en remontant dans la nuit froide, un de ces rares moments où je suis enveloppé de la sensation que la société n'est pas si horrible, que tout est possible... L'ennui, c'est que je vais re-penser à elle pendant plusieurs jours... préoccupé par le fait que si je le veux vraiment, je peux certainement réussir à la contacter, ou même simplement lui envoyer un message de sympathie via Isabelle... Mais est-ce que je le veux vraiment, justement ? Sans doute que non, le temps semble cette fois le plus fort, mais vais-je devoir me passer de cinéma d'auteur pour que ça ne risque plus d'arriver ? Impensable... Vais-je être condamné à contempler ses futurs succès sans rien pouvoir lui dire ?SAMEDI 18 :
Superbe lumière, le soleil se lève (s'est-il vraiment couché pour moi cette fois ?!) et le ciel alterne entre bleu et nuages foncés, les feuilles sont éclatantes de tous les mélanges possibles de jaune et rouge au premier plan...Et ta famille...
Les deux premiers montrent de sacrés carnivores...Eramos pocos (Borja Cobeaga) :
Pas compris.Mun Lappi (Hanna Bergholm).
Silence is Golden (Chris Shepherd) :
Déja vu. Un morceau de Chapmann / Chinn. Chris est déja venu il y a deux ans.Lluvia de Otoño (Mani Martinez et Joaqui Jara) :
Pas compris.Pandasyndromet (Rune Schjot) :
Les parents, connaissant le problème, auraient pu agir bien plus tôt et éviter ainsi la circoncision. Mais comment a t-il pu naître, vu que le grand-père fait comme moi le choix de l'abstinence (enfin, pour l'instant, car j'ai fini par trouver un forum confirmant l'efficacité des exercices du prépuce) ? Exposition «Un homme est mort» :
Sympa, mais c'est surtout une pub pour la bande dessinnée du même nom (dont hélas la séance de dédicace était une semaine plus tôt, en présence de Kris, Etienne Davodeau et René Vautier, pas très malin) et pour les personnes (que j'apprécie ainsi que leurs oeuvres) tournant autour de la cinémathèque et le mouvement bande dessinée bretonne anti-capitaliste associé, et qui alimente moi et mon entourage en idées de cadeaux !Émois du monde :
Le Cid (Emmanuelle Gorgiard) :
Désolé Emmanuelle, mais j'ai dormi...Suzanne (Mona Achache) :
Je dormais toujours :-] De toute façon, c'est du réchauffé...Delivery (Till Nowak).
Margarita (Erika Haglund) :
Elle monte dans une ZTER 21500 :-) dans une gare qui ressemble à celle de Le Mans. Mais puisqu'elle est censée rentrer à Paris, n'aurait-il pas été plus simple et beaucoup plus rapide de prendre un TGV ?Vos papiers (Claire Fouquet) :
Sacrés messages... d'actualité.Aloe (Sergio Delgado) :
Un militant et un fataliste, trop v&eacure;ridique ! Sous-titrage rempli de fautes. Par ailleurs, il semble que les Sugarcubes se soient re-formés pour un concert... hier !DIMANCHE 19
L'ambiance est plus mystérieuse ce matin, avec de la fumée qui s'évapore de partout. Pour couronner le tout, je rentre par le centre nautique du Moulin Blanc...Pitchounes
Der Propellervogel :
Justement, les oiseaux chantaient superbement ce matin...Le petit Martin (Violaine Bellet) :
Problème de son multi-canal, rendant les paroles inaudibles. Exemple d'une éducation trop stressante, de la part d'une mère divorcée, sans doute dans une logique de compétiotion avec son ex.Teatriporganel (Pärtel Tall) :
Suite du précédent (il y a peut-être erreur dans le titre, la police du catalogue est presque illisible).La tarte aux pommes :
Les dessins me rappellent les maisons en carton. Des chasseurs aussi, il y en avait ce matin :-( La mort et le tranchage des lapins dégoûte les spectateurs, pourtant, ils en mangent sans doute :-(Le génie de la boîte de raviolis (Claude Barras) :
Encore un film d'omnivores.Arte
Mercredi 22 novembre 2006.
La forteresse assiégée.
Après un Journal De La Culture montrant l'insensibilité de jeunes face à des jeux vidéos insoutenables, l'horreur de la guerre est ici expliquée, en faisant hélas des allers-retours dans le temps et les sources. Effets spéciaux irréalistes, avec ralentis pénibles. Coupures fréquentes de son.Voyage en famille
Plaisirs d'amour entre deux âges mardi 28 novembre
L'Âme des guerriers mercredi 29 novembre
Terrible... Je n'étais pas allé le regarder pendant le Festival pour cette raison.Tracks jeudi 30 novembre
Mercredi 6 décembre 2006
Arte Reportage Tchétchénie
Encore une chronique de Mylène sur la résistance belle et digne de ce peuple. Hélas, Arte Reportage sera desormais le samadi à 19 h, horaire fortement mal choisi...Travail d'Arabe
Assez marrant, un type sortant de prison, sérieux dans son travail mais que tout le monde sous-estime, dénonce au grand jour une mafia, presque sans le faire exprès...Les enfants de la manette jeudi 7 décembre
Re-diffusion de ce documentaire inégal sur les drogués de jeux vidéos. Il est vraiment dingue de voir Peter Molyneux répondre sagement alors que son nom et ses frasques ont tant marqué mon enfance.Du Kinder Surprise considéré comme une oeuvre d'art samedi 30 décembre
Aaah... Que de souvenirs... Je me souviens bien de la magie de l'oeuf, bruyant et lisse une fois arrachée l'enveloppe colorée... Mais je me suis surpris à reconnaître certains gadgets, comment faire pour les vendre au prix fort à ces passionnés ? Superbe séquence finale animée à l'aide de gadgets (après les Lego et Playmobil, il ne manquait plus que ça !).Jeudi 11 janvier 2006 :
Le mouton enragé :
Ambiance parisienne dès le début avec vue sur trains depuis un parc :-) . Son affreux, semble déclaé. J'ai l'impression de l'avoir déjà vu.Tracks :
Pour Stewart Copeland, mais aussi de passionnants sujets sur les étudiants rebelles allemands, et Platinum Weird, le premier groupe du fondateur d'Eurythmics. Apparemment, c'est un canular, domage, c'est de la super zique avec une superbe chanteuse !L'Embrasement vendredi 12 janvier.
Sous mes yeux le mardi 6 janvier :
Après une terrible Thema sur l'excision, un film basé sur une bonnie idé mais manquant de surprises. Une fois de plus, j'ai vite deviné la suite.Pepe Carvalho La rose d'Alexandrie vendredi 16 février :
Soirée Arte trè chaude...Panorama mardi 20 février :
Rien compris à ce moyen métrage, bien qu'ayant devancé certaines répliques et la ressemblance avec Maï Lan de BETELGEUSE. Le son est supérieur à la moyenne.Tracks jeudi 1er Mars& :
Dix minutes géniales d'anti-spécisme ! Suivies de John Lennon et des Puppet Mastas (décidément, ils sont dans tous les Tracks végétariens !).Cléo de 5 7 jeudi 8 mars:
Certaines images du début sont en couleur ?! La supertition des personnages est insupportable, mais heureusement, on a le droit à une visite de Paris. Lors de la scène depuis le taxi, je retrouve mes émotions de mes deux premiers séjours, quand mon oncle nous faisait le taxi avec commentaires...Vendredi 9 mars 2007 :
Quand la glace se rompt :
Les nombreux allers-retours le rendent confus, sans compter que c'est un polar de plus sans grande surprise.Aragon, le roman de Matisse.
Un héros très discret dimanche 11 mars :
Un peu difficcile à suivre en raison de nombreux allers-retours, et pas très captivant, mais troublant : comment en étant sûr de lui, cet Albert Dehousse peut s'imposer en s'appuyant sur une totale imposture.Vive la bombe ! vendredi 16 mars.
Opération D-Day vendredi 30 mai :
Malgrè ce titre d&eacuet;sespéremment banal, un documentaire époustouflant sur la préparation, longue et méconnue, du débarquement, avec des moyens techniques incroyables et des héros qui se sont sacrifiés pour amélirer les chances de personnes qu'ils ne connaissent pas.Jeudi 5 avril 2007 :
La traversée :
Un héloge du mixage ethnique ! Sarko ne regarde certainement pas, hélas, il y aurait découvert des propos intelligents (à part leur habituelle ignorance de la géographie...).Tracks :
Impressionnat reportage sur le Punk en indonésie : ça fait plaisir de voir une telle rebellion qui contraste avec l'habituelle résignation généralisée...Les Pirates de la Silicon Valley vendredi 20 avril :
Hélas postsynchronisée, cette histoire des fameux débuts d'Apple est incroyablement réaliste, bien que la scène de la réconciliation entre Steve et Bill ne le soit pas.L'Amour en silence samedi 21 avril :
Hélas postsynchronisé, un film avec la belle Emmanuelle Laborit.Mardi 24 avril 2007 :
Les coulisses du hard discount :
Devrait convaincre tout le monde de boycotter ces hangars de vente.Le Deal :
Les nombreux allers-retours non-signalés rendent la compréhension difficile pour qui n'est pas au fait des subtilité de la politique anglaise, même en ayant vu les autres films de la série.Un été tendre vendredi 27 avril :
Pas très original, mais une superbe jeune fille, et pour une fois, une scè d'amour très forte.Zoom Europa mercredi 30 mai :
Après avoir été m'occuper du vieil iMac des Ramoné, j'arrive à temps pour le reportage sur les trains france-Allemagne, hélas très superficiel.Une terre à gagner vendredi 1er juin .
Jours tranquilles à Corfou :
C'est mal filmé et joué (par des acteurs qui ont tous des têtes à claques), surtout en français, la musique au Botempi, dans le style Henri Dès, est insupportable, faisant encore plus carton-pâte que le reste. Malgrè une critique elogieuse, ce film est l'un des pires que j'ai vu, décidemment, je n'aime vraiment pas l'humour anglais (enfin, j'imagine que c'est censé en être, sinon ça craint encore plus !).Long Way Home mercredi&bnsp;13 juin.
Mardi 19 juin :
Thema Tous fichés !
Total&bnsp;contrôle :
Vraiment déprimant et effrayant.Resistants.com :
Avec une apparition de Richard Stallman :-)Big Brother City.
Local Hero :
J'avais tout de suite reconnu la guitare de Mark Knopfler dans ce film typiquement années 1980.Loin mercredi 27 juin.
Battaglia, une femme contre la mafia Dimanche 8 juillet .
Saint-Germain ou la Négociation Vendredi 13 juillet :
Déjà vu ce numéro magistral montrant comment les puissants arrivent à garder leur contrôle sur le monde.Metropolis Samedi 14 juillet :
Björk et Sjón. Elle est toujours aussi belle, hélas omnivore...Mardi 17 juillet 2007 :
Gimme Shelter :
Tout bonnemment incroyable...Jimi Plays Monterey :
Idem, avec un meilleur son.Shake ! Otis at Monterey.
L'Horloger de Saint-Paul Jeudi 19 juillet :
Superbe...Mercredi 25 juillet 2007 :
L'homme qui tua John Lennon.
Court-circuit :
Le truc :
Sur les formats, je savais déjà presque tout, mais un utile récapitulatif, confirmant hélas l'abandon progressif du cinémascope.Deweneti.
Mi-temps.
L'élève.
Jeudi 26 juillet 2007 :
Que la fête commence :
Pas évident de tout comprendre, mais suffisamment pour être révolté.Magic radio :
Génial ! Vive l'afrique ! Dommage que cet documentaire nous immergeant dans la société africaine soit en mauvais numérique.La Maison haute.
Dissonances vendredi 27 juillet :
Surprenante reconstitution des années 1980. Malgrè les ellipses et la construction particulière, justifiant le titre, aucune surprise scenaristique.Mercredi 1er août 2007 :
Simon :
Une version hollandaise de "Les invasions barbares", avec l'impression qu'ils exagèrent dans la provocation. Un végétarien qui a une philosophie de vie incohérente !Court-circuit :
Tyger.
L'enfant borne .
Coup de torchon jeudi 2 août.
Mercredi 8 août 2007 :
Après avoir eu le plaisir de voir Emmanuelle Grundman entourée de singes dans "La Terre&nbps;Vue Du Ciel" aux rencontres du réseau Sortir Du Nucléaire et un double TGV (le premier étant vide) superbe dans la pénombre,Les Clefs de la maison .
Court-circuit :
Sophie.
Un simple amour.
Candy boy.
Dad :
Dé vu.Casse noisettes.
Je t'aime, moi non plus.
Le sous-marin vert de M. Pilipenko lundi 13 .
Café Europa en uniforme jeudi 16 :
Quel scandale de le passer en version française ! Quel est alors l'intérêt ?Le Grand Silence lundi 29 octobre :
Que c'est long... Je me suis endormi devant.Trotsky mercredi 31 octobre .
Lascaux, le ciel des premiers hommes samedi 3 novembre :
Incroyable d'avoir pu tourner ça sur les lieux, ça me rappelle mon émerveillement au planétarium de Lannion et à l'utilisation de progiciels libres d'astronomie. Hélas des saccades numériques.
25éme Festival :
Encore un programme
exceptionnel, avec la possibilité de voir des films de propagande que
les gens de l'époque allaient voir comme des
divertissements !Samedi 18 :
Fort Bloqué :
Deux idiots (ce
qui n'empêche pas la nana d'être top)
volent une Fuego et roulent en écoutant Bruce Springsteen. Plein
de super trains arrivent comme des cheveux sur la soupe, y compris un rapide
d'Aquitaine en Bretagne ! Toute jeune Juliette Binoche. Projection
dans le nouvel auditorium, confortable, mais en matériaux
pourris et
en projection vidéo uniquement :-(Afrique 50 + Les statues meurent aussi + L'Indonésie appelle :
Trois attaques
contre le colonialisme fort impressionnantes pour
l'époque !Inauguration :
Retrouvailles avec Fabrice
et Katell (cette dernière étant à l'honneur cette
année).Babel Caucase :
Seul quelques minuscules
extraits en était passés sur Arte. Séance de projection
du documentaire entier complète ! À la maison, discussion
philosophique autour de
Pas les flics, pas les noirs , pas les blancs
que Magalie et Eric sont allés voir sur mes conseils. Je n'imaginais
pas cela en le voyant au dernier festival de Brest ! Je dois partir
avant la fin pour le film suivant...Les galettes de Pont-Aven :
Ça
fait bizarre de voir les villages bretons et les vieilles voitures en
cinémascope... Et °Marie poupé» est superbe
à en mourir !Dimanche 19
Pestant contre les
rues inadaptées au vélo, je me rends au vernissage de
l'exposition de photos où on trouve la plupart des grandes pontes de
la ville. Anna-Vari me demande de passer au
Kezako.Le p'tit blanc à la caméra rouge :
Eric
sort son équipement de dessin pour saisir René Vautier
qui nous fait chanter
°Erwan, tu dors !»People's War :
Vraiment
pas génial, ça sent la propagande pour
Ho Chi Min !Point de départ :
C'est
long, moche et incompréhensible. Quel dommage d'aller jusqu'au
Vietnam pour en revenir avec ça ! Et la remise en question
promise n'est pas du tout là!Babel Caucase :
Nouvel
tentative, cette fois remplie de succès. Presque 2 heures non
montées sur ce périple, en 16/9 anamorphique, mais que
d'émotion ! La salle comble a longuement acclamé et n'a
pas caché sa révolte lors de la discussion qui
suivit.Programme TiZef du soir :
On
aperçoit mon vélo aux Halles, ils ont donc filmé leur
chien pendant le verissage. Impossible d'être incognito !
Séance d'explication dans la cabine du club sur les formats et
supports.L'évangile selon les papous :
Peut-on
rire de cette
catastrophe ?Lundi 20 :
Eric doit venir
numériser à la maison. Marrant qu'il soit à son tour
sous l'égide de Stefan Moal, alors que ma soeur l'a eu comme
prof
d'anglais ! Insérer dessin
canibales ?Zoo humains :
Depuis le temps que j'en
entends parler avec les anti-spécistes...Débat France-Afrique, france-à-fric :
Le
fait que l'exploitation de l'uranium nigérien est la base du
développement du nucléaire français est
dénoncé. Tous ceux qui essayent de s'y interresser sont
menacés. L'Australie profite également de cet
esclavage (tiens, ça me rappelle les
rencontres Sortir du nucléaire il y a quelques
jours !). Les ex-colonies n'ont jamais été
réellement indépendantes, leur monnaie est gérée
par le trésor français. Odile Biyidi-Tobner ne condamne pas
l'action chinoise, ce sur quoi je ne suis pas d'accord. Les africains
financent ainsi l'esclavage des chinois. Tiécoura Traoré
est un peu anxieux avant d'intervenir. Des remous se produisent à
10mn de la fin quand un spectateur fait la promotion su système de
concessions pour assurer des services publics, faisant
référence au cas de la distribution de l'eau, qui selon lui
serait un succés, de façon contre-productive, puisque c'est
justement le plus gros exemple d'échec ! Réprobation forte de la salle.
Curieux retour des choses de voir ce militant malien expliquer quels
désastres sont produits dans son pays devant
René Vautier, assis comme simple spectateur, aprés sa
carrière bien connue ! L'absence d'autobus à cette heure
m'oblige à remonter dans le grand vent (les tentes de la place
ont même dû être démontées), ce qui me
permet tout de même de renseigner une dame qui me suivait depuis un
moment, qui voulait justement y aller et me demandait si elle était
dans la bonne direction ! Pas
vraiment !Les filles du 12 :
Moins bien que
ce que j'esperais, finalement une éternelle ritournelle de
célibataires malheureuses.Lune froide :
J'ai dormi
devant cette copie
catastrophique, superbe actrice jouant incroyablement la morte,
malgré quelques signes de vie tout de
même.Mardi 21 :Visite de l'expo Becassine/Banania
à la MJC par son auteur qui ne peut s'empêcher de faire
allusion à sarko à la fin, dont le discours de Dakar n'a pas
provoqué suffisemment de
réactions.Laissez-les grandir ici !
Déja
vu, et heureusement, car la projection s'est faite sans
son !Surya :
Sympathique alternance de différentes
techniques
d'animation.Pas les flics, pas les noirs, pas les blancs :
Ambiance
explosive dans la salle comble (dans laquelle mes parents et les
Quelennec) pour cette merveille que je revois avec
plaisir ! Ensuite, mes parents et leurs amis boivent un coup avec
Tiécoura Traoré pendant
que je m'occupe de
Avoir 20 ans dans les Aurès. Dans la salle
se trouvent Mylène, l'actrice qui joue la fille de la rue dans
Microclimat... 9 h30-->2 h, c'est un vrai travail être
bénévole au
festival !Mercredi 22 :
De Torr-e-Benn àl'ACAV :
Nous irons jusqu'au bout Les Kaolins de Plémet.
Bretonneries pour Kodachrome.
Clito va bien :
Son
incompréhensible pour ce discours très soixante-huitard et "plannig familial", pour certaines c'est la première vision d'un
accouchement !Pleine Lune :
Compilation
d'animation de marionettes par Vivement Lundi ! Le son
stéréo de l'auditorium du
Port-Musée-médiathèque met bien en valeur la
sonorisation approximative de l'Homme aux Bras ballants.
R.I.P. et Le Jour de gloire sont des exclusivités. Je
me suis encore endormi devant Le Cid, qui differe volontairement de
l'histoire originale, dixit Emmanuelle Gorgiart, présente dans
la
salle.Débat La concurrence des mémoires :
Le
sujet n'est pas traité, mais remplacé par un délire
d'historien ! Il y a foule pour Half Moon, et Catherine sort du
travail.Loin du Vietnam :
Plutôt foutraque,
mais pas mal d'images interressantes. Copie catastrophique : rouge en
16 images/seconde (comme Que la bête meure
juste
avant) !Jeudi 23 :
Chronique coloniale, Mother Dao :
Je
me suis endormi tellement c'est chiant ! Je tente de photogrophier les
autobus alors qu'Eric les prendra un peu plus tard. En attendant le nouveau
passage de «Le petit blanc à la caméra rouge»,
je constate que Violette est là et que Yves Jardin parle le
Breton avec un naturel incroyable. Une jeune fille l'interroge sur l'arabe,
la Palestine. Et alors arrive la superbe jeune journaliste que je voyais
interroger des gens sur la terrasse ensoleillée du Rex avec son
MiniDiscman lors de mes premières comme bénévole !
Elle parle breton avec Yves et lui présente celui qui semble
être son petit ami. Je suis presque jaloux, elle est toujours aussi
mignonne ! Yves critique la mise en scène sarkozyenne de
l'enterrement du pêcheur. Nous restons écouter René et
le réalisateur à la fin, Tiécoura Traoré
est dans la salle aussi et je pose deux questions qui me brûlent les
lèvres depuis ma première vision du
film.Lumumba :
J'arrive en cours, la copie est correcte, en 1,85
semble t'il, le son multi-canal mais compressé.
Super fort : le Steven Biko du
Congo !Vendredi 24 :
J'apprends qu'il y avait foule à
Western hier soir, plus de dix ans après sa diffusion en
exclusivité au Festival (c'était aussi le cas de
Des Bretons, Des Bretagnes).Pitchounes .
Dancing
Nul
et lent, en son
compressé.Rosalie s'en va +Cid + Le chant de la baleine :
Encore
des exclusivités, la mère dans le dernier est la voix de la
série Ma Sorcière Bien Aimée. Il est
filmé en numérique et le transfert sur 35mm laisse à
désirer. Après Vivement lundi !, c'est à
Paris-Brest d'avoir sa séance ! Je prends en photo la jeune
Lecoursonnais et Miette Strullu.Bamako :
Film
très africain aussi bien dans sa lenteur, sa construction
étrange que sa révélation de la beauté de ce
peuple ! Ça fait bizarre de voir
Tiécoura Traor´ dans le film après l'avoir vu en
vrai ! La discussion se poursuit avec lui jusque dans la cour du Rex,
avec les Griveau, Tanguy, ... où il dit que billou finance les OGM via ses prétendues
actions de générosité, je lui montre
Connaissances du Rail, ce qui le ravit et n'en revient pas de ne
pas l'avoir connu avant. Je jette ensuite quelques coups d'oeils à la
fin
d'Indigènes.Samedi 25 :
Bzh, des Bretons, des Bretagnes :
Intérêt
limité, sans compter que cette idéalisation de la Bretagne me
semble bien en décalage avec les vrais problèmes, comme les
transports. À Douarnenez, mes patins de freins fondent à vue
d'oeil ! Après un gouter brioché avec les parents et
Christine, débat
passionnant :De la loi du 23 février 2005 au ministère de l'identité nationale...
Avec
Olivier Le Cour Grandmaison (historien) et
Mehdi Lallaoui (réalisateur des
Massacres de Setif) nous transmettent leur verve tout en traitant
en même temps à la fois du thème de la concurrence des
mémoires si peu traité précédemment. Les
interventions d'une personne ex-FN de l'assistance sont largement
contre-balancées par celles, émouvantes, de d'autres
personnes, donnant au tout une puissance qui mériterait d'être
diffusées au delà du public comblant la salle du conseil en
configuration longue, dont Mylène, des élus de la
ville (y compris Mme Le Maire), des gens de toutes
couleurs... Albert Billon boit un coup sur la
place.Concert de cloture:
Comme à chaque fois, la
tristesse est un peu atténuée en voyant tous ses
habitués dansant, accompagnés de gens venant d'ailleurs. Maman
me présente Nadine, des gens de Gironde nous abordent, conquis par
l'ambiance. Benoit Mayano est là et vient me voir !
Christine Mottay est avec son ami, ils attendent un bébé.
Et hélas, pas de possibilité de poursuivre le plaisir au
festival de Brest cette année, et peut-être plus avant
longtemps.Metropolis Samedi 2 février :
Supression de la publicité à
São Paulo : quelle métamorphose ! Comme d'habitude, le publicitaire interrogé a des
arguments ridicules. Puis un étonnant bunker de 19 km près de Bonn, qui a hélas
été démantelé. Et Cory Doctorow a une vision très juste des risques de la
société Internet qui s'installe, même si je ne suis pas d'accord avec tout.
Pink Floyd à Pompéi mardi 5 aout .
Emmanuelle mercredi 6 août
Ridicule déplorable. Je ne peux comprendre comment il a pu devenir aussi mythique. Les filles du botaniste chinois, juste après sur France 2, m'a vite fait oublier ce navet !Le péril jeune mar 12 :
En fait j'avais déjà vu ce film mythique, mais je ne me souvenais que de quelques scènes, comme si elles faisaient partie de mon inconscient, telle ces prises de drogue sur du Pink Floyd... Certaines choses me rappellent mes années scolaires, mais dans l'ensemble, si c'était vraiment comme ça, ça devait être quelque chose d'être lycéen à Paris à cette époque.Concert for Bangladesh :
C'est le concert en intégralité, et non l'espèce de documentaire.31E GOUEL AR FILMOÙ :
SAMEDI 16 AOÛT :
Le petit étranger :
Fait penser au néo-réalisme italien, avec une musique pas mal qui m'évoque les films de Tati. Mais la morale est contestable !Rond-point Chatila :
L'image vibre malgré les efforts de Liza :-( Je sors avant de m'endormir. Des gens gras et gros se marient sous la pluie. Dire que ça ne fait qu'une semaine que c'étaient Magalie et Eric ! Ce dernier est l'auteur d'un dessin figurant sur un t-shirt distribué à tous les équipages de la Jeanne il y a quelques années !Le mystère Hezbollah :
Va un peu trop vite, donne un aperçu de la puissance des mouvements islamistes comme le Hezbollah. Ne donne hélas pas de points de vue critiques sur ce dernier.Inauguration :
La circulation automobile dans les rues de Douarnenez est démente, il y a plein d'autobus aussi !Voir photos. Les discours font une large place au manque de soutien du festival par la nouvelle municipalité douarneniste, totalement absente pour la première fois, devant les locaux de cette dernière ! Le fondateur de natur ayur fait partie des 154 spectateurs de la séance inaugurale (qu'il faudrait plutôt programmer à 19 h 30, puisque c'est sa réelle heure de départ chaque anné), où Mme Jardin et Rolland se cherchent, alors qu'Erwann et Mr Lecoursonnais ont une discussion tendue concernant l'absence de la municipalité.Il était une fois Beyrouth, histoire d'une star :
Le son affreux et le coté assomant des extraits passés à un rythme trépidant sont oubliés grâce à l'actrice principale Myrna Makaron.DIMANCHE 17 :
Maël Velly est à la MJC, je l'ai vu aussi dans le journal filmé de CanalTiZef d'hier soir montrant le montage du chapiteau. Un mec ressemblant à Vincent Le Quellec descend vers le port-musée quand je remonte vers les halles, où je vois Sébastien et sa jolie compagne. On parle concours et Base élèves premier degré. Toujours personne de la municipalité à l'inauguration des l'expositions photographiques, ce qui est encore une fois abondamment souligné. Le buffet libanais végétarien est pris d'assaut.LUNDI 18 :
Chroniques de Beyrouth : vérités et mensonges :
Erreur de bande vidéo ! Liza va chercher la Beta à l'auditorium de la médiathè qui remplace finalement la DV insérée par erreur. L'assistance se montre hyper-compréhensive, pourtant certains sont clients habituels de salles parisiennes comme le Max Linder ! Faute de sous-titrages dans ce film en mauvais numérique (semble t-il), les oppositions des intervenants sont difficiles à comprendre quand on est pas spécialiste, surtout que la documentation que j'avais sur la guerre civile a fut jetée par ma mère il y a dix ans :'-(La nación Mapuche :
Malgré les adorables gamins, moi et ma mère nous sommes endormis devant cette image en mauvais numérique. Qu'est-ce que Florent Pagny attend pour les aider ? Bruno Quénéa me filme pour CanalTiZef alors que j'ouvre la séance Résister n'est pas un crime !MARDI 19 :
Le Liban dans la tourmente.
Evel pesked en dour ? :
Un peu rapide, sur la polémique concernant la ponction d'eau de l'Elorn. Bien que pointant le problème des camps de la mort, ne les remet pas complétement en cause.Questions d'images (voir photo).
Route One USA :
Je regarde un morceau de ce curieux documentaire, long, lent, dont la traduction est incomplète, qui pointe le doigt sur la dédence états-unienne de façon prémonitoire.MERCREDI 20 :
Jacques + La femme-serpent :
Pas mal d'animation, la plupart des gens ne viennent que pour le second film. Panique d'Olivier Bourbeillon quand les sous-titres des deux dernières bobines de ce dernier disparaissent. Un an après les embrassades avec René Vautier, on fête l'anniversaire de Christine Quelennec sur la place (photos).Massaker
C'est de la radio filmée. Un des insoutenables témoignages pourrait être utilisé pour lutter contre le spécisme.JEUDI 21 :
Jean-Michel Carré parle du régime russe sur France Inter.Le jour où j'ai vu l'homme blanc :Les spectateurs sortent en ayant honte d'être blancs. En remontant déjeuner, papa m'annonce la mauvaise nouvelle : Christine a eu un accident de voiture en allant rejoindre Paolig pour manger dans une créperie après nous avoir quitté hier.La vie commence demain :
Mylène dit qu'on dort mieux au Club qu'au Rex. C'est ce que j'ai fait pendant la séquence Picasso, après avoir fermé les yeux face aux images médicales.Programme INA Atlantique :
En allant ouvrir le Programme INA Atlantique, je croise Stéphane Nolo, où Bruno filme Sarah qui est à la caisse. La mauvaise qualité de la projection à l'auditorium ne permet pas de se faire un avis sur la numérisation faite par l'INA. En tout cas, il y a un décalage entre le son et l'image.La Bretagne sans télévision :
Dans un Douarnenez d'il y a 35 ans, faisant terriblement dépassé, l'accoutumance à la télévision est éclatante.Falafel :
Toujours ces foutus sous-titres blanc sur blanc ... pour une histoire, s'il y en a une, pas vraiment passionnante.VENDREDI :
Un Celtic Déménagements avec échelle élévatrice intervient à Kermarron.Harlan County USA : J'ouvre la séance avec la jolie Enora et toujours Sarah à la caisse. Le couple Le Garrec, adh&eacutre;rent au festival, fait partie de l'assistance. Une dame sort car elle se sent mal, comme mon père à chaque fois dans cette salle.Diwan, 30 vloza, 30 dremm
Voir photos de l'assistance et du collectif de réalisateurs. Mauvais son, sous-titres français incomplets et bourrés de fautes, les bretons sont trop brefs.Beyrouth fantôme :
Conflit entre Jacques, l'opérateur du Rex depuis 30 ans qui a réglé en 1,85 et le réalisateur qui dit que c'est du 1,66. Avant le lancement, la tenancière du Rex demande désespérément si Katell Chantreau est dans la salle. Je lui dis que je suis sur que non, vu que j'étais ouvreur. Elle a du mal à me croire. Image toute petite en raison de l'absence de lentille adaptée, et alternant entre blancheur et jaunisse.Caramel.SAMEDI 23 :
Inauguration du centre de ressources :
Isabelle Vaudeleau est émue (voir photos).Waltz with Bashir :
Introduit par Erwann et une co-programmatrice du festival Travelling. Le son n'est pas très multicanal :-o Les photos des invités de la semaine sont assemblées par Kristel Gary. Pendant que je tente de photographier le Van-Hool qui se montre enfin, Jean-François me donne l'exemplaire du Kezako que j'avais manqué :-) Au Rex, les gens sortant de Massaker sont attérés, continuant la discussion devant (photo). En effet, il n'y a pas eu de débat contrairement à la fois précédente. La réalisatrice rentre pour Le dernier homme. J'embête encore Oliver Bourbeillon pour qu'il prenne un ticket. Le réalisateur me dit que c'est celui-ci qui est en 1,85, Beyrouth fantôme étant bien en 1,66.Pas de festival de Brest pour moi cette année...
Dommage... et pourquoi ?Arte 2009 :
Court-circuit 31 janvier 2009 :
Mauvaise route, Le thé de l'oubli, Mai Ling, La route du nord,La fonte des neiges :
Séjour surréaliste dans un camp nudiste, pourtant partiellement autobiographique, avec une superbe adolescente pleine de désir comme j'aurais aimé en connaître. Dommage qu'il ait été censuré par la DDASS.Samedi 31 janvier 2009 :
Metropolis.
One Shot Not :
Supers improvisations entre Manu Katché à la batterie et Marcus Miller à la basse puis au saxophone, avec claviers :-) Dommage que le son ne soit pas meilleur et l'image saturée d'effets esthétiques :-( Pascale Picard vient même faire du Middle of the Road&nbps;punkisant !Mardi 3 février 2009 :
Demain, j'irai mieux .
Le dessous des cartes
La Republique Tchèque à la présidence de l'UE.Radio Free Europe 4 février :En faire une émission radiphonique aurait largement suffi...Court-circuit 6 février :
Traverser :
Plutôt ésothérique !6 a.m :
L'équivalent new-yorkais de IL EST CINQ HEURES PARIS S'EVEILLE. Mais à la place de musique yéyé, du Sigur Ros, cliché incontournable pour accompagner le ballet des avions devant le ciel rose. On pourrait presque être aussi bien à Cergy... De la vie de la ville façon Bret Easton Ellis, aucune trace, si ce n'est, hélas, l'activité des criées Bref, s'il n'y avait les immeubles filmés en mauvais numérique, on pourrait être dans n'importe quelle port...La Goyta.
Notre pain quotidien le dimanche 5 avril.
Thema A qui profite la faim mardi 7 avril :
Malheureusement, ce qu'ils appellent maintenant Thema n'a plus rien à voir avec ce que c'était il y a 10 ans, mais une simple succession d'émissions.We feed the world, le marché de la faim.
La Bataille du lait.
Vendredi 10 avril :
Ma vie est un livre vendredi 10 avril.
Court-circuit :
A letter to Coleen :
La nullité de la jeunesse actuelle...Les trésors du peuple&nbp;Himba.
Skhizein.
Vendredi 19 juin 2009 :
Almasty, la dernière expédition :
C'est une farce caricaturant la href="http://groups.google.fr/group/ivcz?hl=fr">cryptozoologie dont le scenario est previsible en tous points, mais qui a le merite de changer les idees. Michel RAYNAL : [...]De nombreux clins d'oeil à qui connaît le sujet : mention du prochain conférencier Benoit Grison (un authentique cryptozoologue !), homme velu dans un congélateur et exhibé comme attraction foraine dans un camion (qui rappelle évidemment l'homme congelé &eaute;tudié par Bernard Heuvelmans aux USA en 1968), dessin de reconstitution de l'almasty fortement inspiré de la reconstitution de l'homme congelé en question par Alika Lindbergh, etc., sans parler de la ressemblance de certains coins des Pyrénées avec le Caucase ! En revanche, on peut regretter que des Géorgiens utilisent le nom "almasty" qui ne fait pas partie de leur vocabulaire (je suis loin de mes dossiers, mais je crois me souvenir que le nom de l'homme sauvage en géorgien est "agach-kichi" ou quelque chose comme ça)[...]Court-circuit
Présentation de Torpedo.
Dish.
Les relations sont tellement plus simples chez les homosexuels... sauf avec le héros, Israel (drôle de nom, mais il est super mignon).Bâmiyân.
La Guerre des mondes :
Recyclage de «Thema»...h2Dernier Domicile connu lundi 3 août/h2h2Docteur Prince & Mister Jackson mardi 4 ::/h2Entièrement d'accord avec la critique de T&eacteu;lérama. Je découvre le phénomène que fut Prince et à quel point il a discrétement marqué ma jeunesse. Et on voit Huey Lewis :-)h2Jeudi 6 août 2009 :/h2h3Le Monde de Peter Gabriel :/h3La ressemblance avec le «Music Planet Pop Gallerie» diffusé il y a une quinzaine d'années est époustouflante : presque le même discours dans les mêmes endroits, devant les mêmes appareils... Il y a juste que le bonhomme a vieilli :-) Formidable phrase sur le lien entre degré d'évolution et capacit&eaucte; d'empathie ! Mais dommage que ce végétarien n'aille pas jusqu'agrave; évoquer les non-humains dans les cercles.h3Pop Galerie Reloaded Bryan Adams/h3Pas grandes différences avec celui passé il y a une quinzaine d'années.h2Court-circuit vendredi 7 :/h2h3Mon cher ami./h3h3Les songes d'Edmée :/h3Le plus drôcle et interressant est le reportage sur le rélisateur.h3Masques./h3
a href="http://www.arte.tv/fr/Tchetchenie---briser-le-silence/2840098.html"32e Gouel ar filmoù / Festival de cinéma de Douarnenez 2009/a :
Vendredi 21
Inauguration :
Dommage qu'Erwan ne nous fasse pas un descriptif complet des films programmées cette fois à la réunion des ouvreurs, sans doute en raison de l'imminenscence de l'inauguration. Cette dernière est gâchée par la prestation pitoyable du maire. Son discours de beauf laisse même entendre qu'il ne connaissait pas le festival avant. Et il applaudit quand un des intervenants appelle à ouvrir les frontières à l'immigration...Walter, retour en résistance :
Cinématographiquement bricolé, mais remet quelques pendules à l'heure !Samedi 22 :
Les 3 chambres de la mélancolie :
J'ai dormi et me suis juste réveillé devant une scène d'égorgement d'un mouton :-(Le génocide arménien :
J'ai encore dormi...Regardez-moi, je vousa regarde + Sourds àl'image :
J'ai dû partir avant la fin pour assurer l'ouverture de «Bonjour, c'est moi» au Rex, ce qui a été fructueux, car j'ai découvert que Caroline, bénévole que je connais depuis ma toute première fois aux entrées il y a 10 ans, est vegane ! C'était cette fois là qu'une autre bénévole m'avait dit qu'elle avait des difficultés à avoir des congés pour venir. Effectivement, je ne crois pas l'avoir revue depuis. À l'époque, ça m'avait dégouté, j'avais peur que ça m'arrive un jour, et voilà que ça a failli être mon cas cette année ! À ce moment là, Jane Birkin passe sur la place du festival pour voir Mylène, Stéphane Hessel et tout... Par contre, la ville et le festival sont déséspéremment déserts :-(Devant la porte close dimanche 23:
Tout n'est pas sous-titré...Lundi 24 :
La journée s'annonce mieux : le gars (Le Doaré ? Celui qui me vendi mon VTT Peugeot bleu d'enfance ?) de «Vélo et Oxygène» est super sympa, rapide et pas trop cher.Greetings from Grosny :
Il y a foule. Des gens disent qu'Arte a parlé du festival hier soir. Le gars d'Arte Reportage est justement dans la salle, avec de nombreux tchétchénes. Lors du débat, Zulaï Bagalova trouve la ville et ses habitants féériques !Le prisonnier du Caucase :
Les jeunes hommes du film ont de superbes fesses !Itinéraire d'un merle chanteur :
Ça me rappelle bien des choses, ainsi que mon cousin Thierry. La fin était prévisible.La cité des abeilles :
Tiens, la réalisatrice (3 ans de moins que moi) aussi a ses grands-parents à Terre-Neuve ! Dommage que le film se conclue sur l'idée que des quartiers collectifs ne puissent plus voir le jour, ce que la réalité contredit pourtant !Encore énormément de monde, ce thème mobilise ! Le film démarre trop tôt, alors que Monique Prevost était venue, après m'avoir salué, remettre un cadeau à Mylène pour son anniversaire (un livre sur le cinéma en Bretagne) : le sifflet lui est coupé quand la projection démarre ! Le film montre des femmes héroines dans la guerre, joyeuses, comme des versions féminines des hommes de Massoud l'afghan. L'ennemi est le même...Présenté en exclusivité, y compris avant d'être dans Arte Reportage, il a ému Mylène qui le voyait comme spectatrice pour la première fois, entourée de tchétchénes ! Son commentaire sur la bonne interprétation à avoir des choses est merveilleux, il aurait mérité d'être enregistré et associé systématiquement. Le gars d'Arte indique que son champ d'action est limité, le format de l'émission étant très précis. Apr&eagrave;s une référence au reportage (de Mylène aussi) sur le coté mafieu de ramzan kadirov de l'émission, qui avait été repris dans «Arrêt sur images», Aude Milin indique qu'on assiste au laboratoire de la mise en place d'une dictature par la force à un peuple qui la refusait pourtant obstinément.Mardi 25 :
Danse avec les ruines :
Ramzan Akhmalov, en plus d'avoir une superbe fille et de porter un t-shirt rempli de marques françaises dans les ruines de Grosny, est un danseur étoile qui marque le début de l'histoire entre la Tchétchénie et Douarnenez. Après la projection, l'équipe tchétchéne va comme moi à l'exposition de photos, accompagné de Mylène et d'Arte. J'ouvre la séance de «La Maison des fous» avec la superbe Enora (magnifique chevelure) qui m'évoque Patricia Kaas, avant de retrouver Jacques, Alice, Eric, Magalie et les parents sur la place. J'entends Erwan dire à Mr Le Garrec que le jeune animateur des débats est le fils Veron, qu'il est monteur et a récemment travaillé avec Anne Loury. Après un repas non adapté aux végétaliens, on se précipite à l'hommage à Natalia et Rayana. Tout le public n'a bien sur pas pu rentrer dans Le Club.Mercredi 26 :
Source :
Suivi d'un débat. J'y apprends qu'un cameraman douarneniste qui revenait de reportage en Azerbaïdjan pour Nicolas Hulot s'est fait confisquer ses images.Surya, du levant à l'éloquent :
Expérimental !Lormen :
En attendant la séance dans le hall très mal configuré, ça parle Breton à ma gauche (Stéphane et Ana-Vari) et langue des signes à ma droite ! Le film manque d'explications.Témoins sourds, témoins silencieux :
Ma haine du milieu médical ne risque pas de diminuer après ça.La symphonie du silence.
Jeudi 27 :
La fonte + Avril :
Allégorie sur les relations de couple façon «nouvelle vague» et Mikhail Kobakhidzé. À la sortie de «Petit àPetit» au Club, je revois l'espagnole qui était bénévole aux entrées il y a 10 ans. D&ecaute;cidément !Les Montagnes du silence :
Génial, le hall est rempli de signeurs ! Mais certains profitent de leur spécificité pour frauder. En même temps, c'est un peu l'arnaque, car suite à l'absence de sous-titrage, Isabelle fonce chercher un DVD. En projection... super...Débat «Autour de la culture sourde :
J'y retrouve Eric et Magalie. C'est magique d'être entouré de tous ces signeurs ! La situation est pourtant désespérée pour eux. Dommage que leur discours soit toujours le même : refus des implants et du terme «handicap». Il devraient accepter mieux le dialogue avec les entendants, et nous aider sur les luttes que nous avons en commun : le dogme médical (le dogme de la technologie miraculeuse est aussi responsable de l'empoisonnement général de la planète et ses habitants). De nombreuses ressemblances avec la situation des végétariens, comme la réponse du gars de l'International Visual Theatre : «mais ce sont les autres les handicapés» s'applique à merveille pour le V ! Il semble quand même qu'ils aient été touchés par les similitudes entre les luttes sourdes et bretonnes, l'acteur disant même qu'il se sent plus proche des bretons que d'une prétendue identité française. Si seulement les échanges au sujet des écoles Diwann pouvaient leur donner des idées... Ils m'ont rappellé une chose que Magalie m'avait dite mais que j'avais oubliée depuis : beaucoup ne savent pas lire, et les sous-titres ne servent donc à rien pour les enfants et les adultes analphabètes. J'ai eu une idée pour gén´rer un signage dans les émissions TV et radio :- Capturer les mouvements des signes très précisément.
- Coder ces informations dans un flux intégré au signal (même principe que les canaux audio et sous-titrage).
- Le récepteur affiche alors un avatar exécutant les signes ainsi transmis.
Jean-Pierre Thomin est sur la place.Vendredi 28 :
L'enfance sourde :
La très jolie gamine n'est pas très locace, dommage. Et on retrouve cette généralisation excessive concernant les entendants qui auraient tous les maux !Contes en Langue des Signes française :
Dommage qu'ils soient spécistes.Le serrurier + Nue + Love :
«Nue» devrait faire l'objet d'une vision par tous les adolescents (en séparant garçons et filles) pour qu'ils acceptent leur corps, le manque d'estime étant un fléau ayant de dramatiques conséquences sur l'ensemble de la société. Dommage que je ne sois pas intervenu pour le dire.Samedi 29 :/h2h3Depuis qu'Otar est parti&nbps;:/h3Je trouvais justement que le quartier géorgien ressemblait à Montmartre... Et voilà que le fils s'installe au 14, boulevard de la Chapelle !h3Les couleurs lointaines du bonheur :/h3J'ai dormi. Me rappelle je ne sais plus quel film dans lequel un gars se faisait détrousser sur un pont (à Istanbul ?).h3Fin :/h3On finit le festival en famille, devant la vidéo de la conférence a href="http://www.fdn.fr/minitel.avi"Internet ou le minitel/a, qui, une semaine plus tard, sera en plein dans l'actualite pour L214.
h1Arte :h1h2Backstage jeudi 1er octobre 2009 :/h2Je voulais bien sur voir l'accomplissement du duo Emmanuelle Bercot/Isild Le Bescot... Plutôt niais, avec une musique insipide. Heureusement que Mylène Farmer en fait de la meilleure ! L'idiotie du fanatisme est toutefois bien montrée.h2Court-circuit samedi 3 octobre :/h2h3N&oe;uds de cravate :/h3Cette description du monde du travail actuel me rappelle bien des choses...h3Un week-end à la campagne :/h3Agréable film fantastique, bien que le scénario ne soit pas de la plus grande originalité. L'accent québecois, qui empêche de tout comprendre, me rappelle la série Les Intrépides , et l'ambiance les films de genre du festival de Brest...h3Poussière dans la ville :/h3Comment notre société peut détruire une personne et son potentiel... Ce qui nous ramène au premier film de cette édition.L'Affaire Kravchenko 7 octobre 2008.
Court-circuit 9 octobre :
Naïde :
Une fêe aux superbes cheveux roux vit en osmose avec la nature. Étrange plaidoyer contre la vivisection ?Ne tirez pas sur le fil.
Delivrance.
h2Déchets, le&nbps;cauchemar du nucléaire le 13 octobre.
Rahel samedi 31 octobre.
1989, l'Elysée au pied&bsp;du Mur 4 novembre.
Vendredi 6 novembre 2009 :
La Prison de l'amour :
L'ex-agent quitte sa famille d'une façon fort brutale... En tous cas, ça montre que ce n'est pas l'apanage des femmes...Tracks spécial Terry Gilliam :
Dommage que je ne l'ai pas mis en enregistrement, il aurait mérité d'être conservé (si on fait abstraction des coupures dans le son, devenues systématiques sur Arte en NICAM).Court-cicuit :
Babel.
Akumi :
Déjà vu deux fois...Seuls :
Un clip vidéo... C'est vraiment devenu n'importe quoi cette émission...Une femme sous influence lundi 14 décembre :
Peter Falk est déjà dédié à sa femme ! Une réalisation en cadres serrés certes en avance sur son temps et prémonitoire, mais la plus folle n'est surement pas celle qui nous est présentée comme telle.Court-circuit vendredi 18 décembre :
Trois films courts musicaux.Prévention de l'usure :
Très «Dancer In The Dark»Sous un coin de ciel bleu.
Le silence des machines.
Jeudi 19 août 2010 :
Après-avoir déjeuné chez Tudal avec maman et Damien, je vais avec ce dernier aider Stéphane Noleau a construire sa maison. On se croirait dans «autobio» de Cyril Pedrosa ! Ensuite Damien va chercher sa voiture à Plonevez-Porzay, je l'aurais bien accompagné sous ce temps magnifique si j'avais eu mon Brompton (commandé il y a quelques semaines) !Vendredi 20 août 2010 :
Je suis propulsé «placeur des ouvreurs sur l'emploi du temps de la semaine», ce qui me refroidit pas mal, malgrè l'aspect multilingue de la rénion : une italienne, un basque de Bilbao, des signeurs... Il pleut des cordes quand on a fini à 17 heures. Ça s'est calmé pour l'inauguration, pendant laquelle Jean-Michel le Boulanger fait un super discours, ainsi que Daniel Maximin. Les différents invités caribéens disent des choses gentilles et originales pour nous saluer. Ils ont l'air vraiment super humains, dynamiques et rayonnants. Aung Kyaw Oo est entouré de sympathie de la part des haïtiens. Caroline évoque son départ le 24 septembre de l'association (une sacrée page qui se tourne) et on finit avec une chanson de Nolwenn Korbell et un slam du pawoleur Makil Duranty.Samedi 21 août 2010 :
La ultima cena au Club :
C'est un peu le bazar : problèmes d'objectifs de projecteurs, décoration pas encore mise en place dans les cinémas...Edwy Plenel :
Il est encore trop dans le système à mon goût, mais dit bien que le début des problèmes vient quand on n'accepte pas la singularité de l'autre. Du coup, on le simplifie, caricature (ça rejoint le discours d'Alain Badiou sur les relations humaines) et ensuite ça peut aller jusqu'à l'exclure. On crée aussi les phénomènes par la parole : plus on parle de terrorisme, plus celui-ci se déclenchera effectivement. Et enfin quelqu'un qui dit que les propos de cristine lagarde sur la retraite sont scandaleux : ainsi il faudrait être «foutu» pour arrêter le travail imposé ? Après la conférence, maman le voit à la restauration en compagnie de Caroline et Gérard, et fait allusion au fait que ce mécanisme s'applique aussi aux non-humains. Un peu avant, quand c'est moi qui était dans la file pour le repas, le petit ami de la projectioniste Marie propose son aide à sa voisine, qui a des béquilles. Elle travaille dans le cinéma, est habituée des salles de la rive-gauche parisienne, mais ne connaissait pas le festival, qu'elle découvre à l'occasion de sa ré-éducation.Dimanche 23 août 2010 :
Une Si Jeune Paix :
Première diffusion depuis la restauration du film.The Agronomist :
Je brave la pluie pour aller dormir devant.Rangoon :
À l'ouverture avec Djenebou, j'ai le grand plaisir d'être rejoint par la traductrice Anaig qui me permet d'echanger quelques impressions avec la très ouverte et communicative Djenebou. Je n'ai hélas pas l'occasion de parler personnellement avec Anaig, qui doit travailler avec Djenebou au bar pendant le film. Ce dernier est superbe, en cinémascope... mais hélas en version postsynchronisée, la copie présentée étant celle d'un particulier. Phrase tellement vraie : «la souffrance est la seule promesse que la vie tient toujours... Alors quand on connaît du bonheur, l'apprécier comme un cadeau, un moment de répis». Je dois quitter la projection pour ouvrir «Maria Antonia», dont la copie est filmée en DV d'après un DVD.Lundi 23 août 2010 :
Le Voyage à Panama :
Plutôt gamin et prévisible !Le Premier Rasta :
Documentaire non finalisé, son non-mixé. Le fait que la réalisatrice ait improvisé son métier se sent ce n'est pas très captivant, une version radiophonique de son livre aurait suffi. Bruno Bové me donne un compte-rendu qu'il a fait du festival 2005. Maman, papa et moi y sommes en photo. 5 ans déjà...Mardi 24 août 2010 :
Il y a un court métrage d'animation avant «Viva Cuba». Ce dernier semble être filmé en numérique :-( Le style de films que je voyais enfant lors de mes premiers festivals. Puis en allant vers l'auditorium, je vois la banderolle de soutien à Aung San Sou Kyi être déroulée à la mairie. Il est finalement impossible d'entrer dans l'auditorium, les 105 places étant, comme d'habitude, occupées. Maman prend la parole lors du débat sur la Birmanie avec Jane Birkin, Marie Battini, Frédéric Debomy, Aung Ko et Aung Kyaw pour parler de la Nef. Aung Soo Su Kyi n'aurait que 34 ans ! Le soir je suis rejoint par Damien à «Monstre sacré + The cat, the reverend and the slave».Mercredi 25 août 2010 :
J'ai le Van-Hool pour descendre à l'auditorium... pour rien vu que la séance «Birmanie : résistants, business et secret nucléaire était complète 5 minutes avant l'heure de départ. Même le maire, à qui il avait été conseillé d'aller le voir, aurait été repoussé ! Je vais trainer à la médiathèque, comme d'autres festivaliers. Bien qu'elle ne soit pas très achalandée et que les objets soient mal rangés, on s'y perd quand même quand on a pas de recherche précise. En plus, les ordinateurs, qui cette fois fonctionnent, sont tous pris. Rangoon (de nouveau !):
Fred et Linda Chapalain ne sont pas loin de moi. Daniel Le Bigot arrive dans les derniers. Erwan fait la présentation : premier film a avoir attiré le regard sur la Birmanie. Aung Ko, présent, joue dedans sous son propre nom. Patricia Arquette ressemble plus à Sophie Marceau qu'à sa soeur Rosanna. Lorsque son personnage, Lauran rencontre Aung San Suu Kyi, cette dernière n'aurait donc que 12 ans ! Jane se serait-elle trompé? Les interrogations de Laura rejoignent les miennes du moment. Les birmans opprimés sont montrés sous un jour très positif.Chienne d'histoire + Poison violent :
Avec Damien qui n'a même pas mangé... Le premier est plus sympa au cinéma qu'à la télévision !Jeudi 26 août 2010 :
Étant de service au Club pour «La Muestra», j'arrive à la séance «Monde des sourds» de la médiathèque en cours de projection. Du coup je rate «Le p'tit bal» et «La mort du signe». La salle comble apprécie «La clé des étoiles» et «Camille et Isabelle à deux voix» (anti-fourrure ?). L'après-midi, après que le bus conduit par Cyril allant à l'école Laënnec me soit passé sous le nez, un GX 317 de la ligne Tudbus 1 me conduit à la MJC. Malgré une fuite laissant entrer la pluie à l'arrière, il est presque à l'état neuf... bien plus que les GX 317 Euro 3 des TAO ! «Cerro Pelado» et «Now» manquent de contextualisation. «Les descendants de la nuit» a quelques moments interressants, mas pas suffisamment pour faire oublier l'inconfort de mon siège. Puis «Jean Zigler, contre l'ordre du monde» est encore plein. J'arrive quand même à rentrer avec l'accord de Jean-Yves. Le documentaire semble très court et laisse un peu sur ma faim. On y voit un trolleybus suisse. Je vais ensuite à la fin du débat «Monde sourd et monde créole : 2 formes de résistance ?» qui ne m'apprend rien.Birmanie : résistants, business et nucléaire :
C'est un reportage d'investigation de Canal + diffusé en mars dernier, en séance supplémentaire suite au succès de la première, sans doute car il avait été conseillé au débat). Incroyable : le despote est un véritable «Oncle Picsou» avec sa piscine de billets !The Harder They Come :
Ce film mythique ne fait même pas le plein, alors que plein de gens sont sous la pluie au concert de reggae sur la place. Le film, qui contient des elipses, montre un Jimmy Cliff évoquant le jeune Michael Jackson de la même époque.Vendredi 27 août 2010 :
André Cesaire, un nè fondamental :
Sarah Maldoror n'étant pas venue pour raisons de santé avec sa copie de «Un homme une terre, Aimé Cesaire», c'est le «nè fondamental&187; qui est rediffusé à la place, chose qui était visiblement ignorée de pas mal de monde, dont Yves Jardin (qui avait déà quitté ce même auditorium pendant le documentaire sur «Second Life»).Port au Prince ma ville + Chronique d'une catastrophe annoncée :
Le premier documentaire est bati d'après un reportage de 10 minutes fait par des étudiants sur VHS. Difficile de l'apprécier dans cette horrible salle polyvalente de la MJC. Je tente ensuite «Retour en terre Mapuche», persuadé qu'il n'y aura personne... Encore tout faux ! Il y a même Fred Chapalain. L'ouvreur, sourd, est seul. Du coup je vais l'aider, ce qui n'était pas du luxe car la salle se remplit très vite et il y a un bazar monstre à gérer : il y a des places réservées pour les réalisateurs, Claude qui présente la séance, la traductrice LSF... Les toilettes sont hors-service. Suite à l'appel de Jean-Yves, plusieurs personnes laissent leur place pour des sourds qui sont encore à acheter leurs billets. Ça parle dans tous les sens entre les signes, les traductions dans les deux sens, le gardien, Jean-Yves, le caissier qui ne sait pas s'il doit encore vendre... Djenebou arrive finalement. Comme elle a plein de choses à faire, j'accepte de rester à sa place pour garder la salle, ce qui me vaut un bisou de la dame qui l'accompagne, puis d'elle même.Les Karens un génocide à huis clos :
La contextualisation dicté alors que les images défilent est un peu insuffisante, il faudrait des cartes...Ouverture de 71;Por Primavera Vez + Maria Antonia» :
Le fait que Bruno Bové vienne juste pour revoir le premier des deux me pousse à aller le voir...Samedi 28 août 2010 :
Je fais rentrer Damien à l'auditorium à 14 h 30, il y a des sacrifices animaux dans «Divine Horsemen». Je me retrouve tout seul à la suivante, Émilie n'é,tant pas venue.La carte + Le + produit + Rond-Point :
Le premier est en cinémascope, ouah ! Un projet, tourné de Royan à St-Palais sur Mer, qui devait être réalisé par le gars du «Baiser», information qui ne m'a pas du tout surpris. L'image est floue sur le second. Dans le troisième on voit des éluss pro-bagnole, très surs d'eux et de leur rayonnement, bien du terroir, au raz des paquerettes, imbus d'eux-mêmes et de leur village de ploucs, comme j'en connais trop, le GX 317 numéro 001 des TAN au double rond-point près de la place du Commerce où j'aurais voulu prendre des photos. Le réalisateur voit contrairement à moi un peu de poésie en ces lieux lorsqu'ils sont vides, alors que j'y vois l'horrible litière d'une société destructrice, rendus anachroniques. Tourné en un mois en camping-car (qui n'a probablement pas couché sur des lieux adaptés). Les giratoires sont bombés our que les regards ne se croisent pas. Le soir, un hommage est rendu à Caroline sur scène. Paolig me parle de la bourse aux miniatures d'Orléans des 15 et 16 janvier 2011. Je n'étais pas à celle de cette année, et pour cause... On reste ensuite à la soir&eacutge;e de cloture. Hélas le mauvais son gâche la performance des guitaristes de CARLTON RARA, que j'avais entendu peu avant 18 heures en traversant la place pour aller au Club. Le son reverbéré de leurs superbes guitares m'avait alors séduit.25e FESTIVAL EUROPÉEN DU FILM COURT DE BREST :
7 novembre 2010 :
Je prends l'Aqualys de 7 heures 48 pour aller à l'exposition sur les monuments dans le cinéma à la Conciergerie dédiée à Eric Rohmer), histoire de bien commencer ces vacances cinéphiles. Comme il est agréable de longer Notre-Dame qui ressort de grisaille dans les rues quasi-désertes ! Quel bien-être ! C'est quand même quelque chose ! La Conciergerie n'a pas de vestiaires et je ne trouve pas de parc vélo à proximité :-( Par contre, j'ai la bonne surprise de constater que l'entrée est gratuite, et les jeunes femmes de l'accueil très mignonnes. Finalement, heureusement que nous sommes le premier dimanche du mois, car ça ne mérite vraiment pas les 8 Euros du plein tarif : l'exposition est mal éclairée et le contenu un peu superficiel. La visite du peu qui subsiste de la conciergerie est très rapide ! J'en retiens que c'est un Henri qui s'est éloigné du peuple contestataire en se réfugiant au Louvres, transférant ainsi le pouvoir politique rive droite, alors que le peuple serait rive gauche et la justice entre les deux rives... Marie-Antoinette est guillotinée le 16 octobre 1793. Il pleut quand je reprends mon Brompton. Après moultes hésitations, je décide d'aller tout de même pique-niquer dans un parc, le Jardin Yizhak Rabin en l'occurence. Quel sentiment de liberté de passer à travers les gouttes avec sa conduite rigolote dans les rues de Paris, avec les couleurs d'automne en ces lieux chargés de souvenirs ! Sur le chemin, je vois un type, protégé par deux parapluies tenus par autant de filles, passer un antivol vélo à la disqueuse. En pique-niquant tant bien que mal dans cet environnement humide, je devine immédiatement que les enfants délurés qui s'y trouvent sont des louveteaux... Avec une louve qui, bien sûr, ne peut que m'en rappeller une autre... J'imagine que celle qui occupe mes pensées devait peut-ëtre mener ses groupes de la même façon, laissant les enfants courir sur l'herbe mouillée et dans les flaques avec leurs bottes... Je tente d'entrer à la cinémathèque avec mon billet «conciergerie», mais bien que celui-ci donne effectivement droit à la visite d'une part, et était donné gratuitement d'autre part, il faut tout de même faire plusieurs dizaines de mètres de queue pour l'échanger contre un autre ! Je préfère donc aller directement à la Cité des Sciences, où Benjamin Bayart fait une conférence (Thierry Stoher est dans l'assistance). Il y a des louveteaux au bord du canal(décidément !). La cité est magnifique sous la grisaille, ainsi que les arbres du Père Lachaise. Benjamin évoque la révolution de 1789 (décidément) dans sa conférence, dans laquelle on retrouve son humour, ses préoccupations et analyses habituels. Il évoque les rapprochements entre certaines choses qu'apporte Internet avec certains thèmes des campagnes des objecteurs de croissance, même s'il ne fait visiblement pas du tout partie de ces derniers. Je trouve qu'il a une vision trop idéale d'Internet, en décalage avec la réalité du comportement humain. J'ai un aperçu de ce dernier en constatant que la housse de mon Brompton (qui avait attiré des regards sympathiques lors de mon arrivée, il y a une sorte de sentiment d'appartenance à une même famille pour beaucoup de bromptonistes) a été volée :-( Le trajet de retour est galère entre les travaux, la nuit, le manque d'indications et les voitures beaucoup plus énervées que ce matin. Je n'avais pas réalisé la dernière fois que le passage par la place du colonel Fabien est ironique (Microkid's). En sortant du Potager du Marais, à exactement 11 mois de mes premiers échanges avec une certaine ex-louve, mon trajet ressemble beaucoup à celui qui fut le notre un certain 15 janvier... et le passage par le quartier Saint-Michel et l'exposition de propagande de la SNCF sur les grilles du Luxembourg à un certain 20 décembre (les photos concernaient à l'époque des vues spectaculaires de notre monde, nottamment de l'Asie)... Mais cette fois la ville est bien plus déserte et triste. Plein de véhicules occupent les voies autobus :-( Le TGV de nuit prend bel et bien la LGV, c'est bien ce qui m'avait semblé pour le Noël 2009 :-( Je cauchemarde que les autorités internationales ont autorisé les afghans à s'installer sur le territoire d'un peuple. Ceux-ci sont mécontents et d'autres camps s'en mèlent en déclenchant des hostilités. Des gens regardent les trainées parallèles, par deux, des engins aériens. Moi ça me terrorise. On se croirait dans le «Chateau Ambulant», «Dexter London»...Lundi 8 novembre :
J'ai l'impression que le train arrive avec un peu de retard, sous la pluie. Il y a un monde fou à descendre d'une ZTER arrivant de Morlaix peu avant 7 heures, dont une bonne dizaine de cyclistes, et autant de militaires (qu'un autobus vient chercher). Foule identique à chaque train arrivant de Landerneau toutes les dix minutes environ... Ça fait bizarre de refouler ces lieux à vélo. Le Y8245 «fret» circule le long du port, sous un magnifique ciel d'après-pluie comme on en trouve qu'en Bretagne. Les ouvriers s'affairent à la pose des rails du tramway. Ainsi que d'autres gens, ils remarquent mon Brompton (impossible d'être incognito avec ce compagnon (impossible d'être incognito avec ce compagnon)). Je vais feuilleter quelques BD à «Dialogues», c'est génial, un vrai salon de lecture ! J'aurais aussi pu aller à la Passerelle... Et oui, les choses à faire ne manque pas dans cette ville culturelle, quel contraste avec ma banlieue dortoir... que de commerces hétéroclites avec du charme ! Et comme les bagnolards conduisent tranquillement ! Je vais justement dans le quartier Saint-Martin, mais pour aller faire des réserves pour la semaine à la Biocoop. J'ai l'impression de voir notre ancienne professeure de sports de Jean-Marie Le Bris passer à la caisse... Puis, nouvelle mauvaise surprise Bromptonnienne: comme je le craignais aprés mes mésaventures dans les rues caillouteuses et défoncées par les travaux du tramway, le pneu avant est crevé... Alors que je grignote avant l'arrivée d'une averse au «Moulin blanc», la lumière est tout simplement incroyable sur la rade arc-en-ciel, nuage gris-noir, coin de ciel bleu qui crée une raie de lumière sur maisons et sur mer d'un bleu irréel... Je note tous les numéros de téléphone des vélocistes locaux en attendant de prendre possession de ma chambre à l'auberge de jeunesse, dont l'architecture m'évoque celle de l'ENSTB. Il faut toujours que ce genre de choses arrive au mauvais moment... Surtout que, alors que je n'avais rien à faire en début de journéee, c'est une horrible course depuis 15 heures. La réunion déstructurée (alors que je pensais ceci impossible, c'est encore pire qu'au festival de Douarnenez ! Il y a d'ailleurs pas mal de bénévoles en commun) des préposés aux vestiaires commence en retard (heureusement). Il y a une fille, un peu du style de Perrine, que j'ai l'impression d'avoir dé vu (peut-être à «Terre des merveilles» ?). Des marins étrangers sont paumés pour rejoindre le port en bus, et je les comprend ! Il n'y a plus de 15, ces derniers étant remplacés par un «3» sur deux ! Et il est effectivement impressionnant que tant d'arrêts soient équipés d'afficheurs de desserte, mais... encore faut-il que ceux-ci ne disent pas de bétises ! Je retourne me restaurer et me poser un peu à l'auberge de jeunesse (il faut préparer la journée très chargée de demain, en combinaison avec mes obligations de bénévole), oubliant que la soirée d'ouverture m'interressait... Je découvre que de toute façon, je n'aurais pu y entrer, la salle du grand théâtre (1000 places) ayant fait le plein. Vraiment dommage, car ça devait vraiment être un sacré truc. La séance était dédiée à Claude Chabrol.Compétition 5 :
Faute de séance inaugurale, je me réfugie au petit théâtre. Revoir pour la première fois après toutes ces années la décoration du festival accompagnée de l'inédite bande annonce annuelle me fait tout drôle. Le plus surprenant, en fait, est que je m'y sens toujours autant «en famille» et «chez moi», malgré le temps et la distance ! Comme si les moments importants de ma vie se résumaient à ces moments passés devant les écrans des festivals (ne faisant pourtant qu'environ deux semaines par an au maximum !), le reste du temps n'étant que de négligeables intermèdes.Tre Ore :
En cinémascope :-), mais sous-titres presque illisibles.Adieu Molitor :
Instant de parcours d'une minable petite frappe. Heureusement que c'est sous-titré en anglais car le son est incompréhensible.Ke ego gai mena :
Jolies vues de métro en cinémascope.Monsieur l'abbé :
C'est surtout le dernier témoignage qui dit tout ! J'avais déjà entendu ces monologues, peut-être sur France Inter ?Mardi 9 novembre :
J'ai un MAN, ça change des GX327 ! Il est beaucoup moins encombré à l'intérieur, c'est pratique pour le Brompton ! Les portes sont larges, coulissantes à l'arrière ! Dommage que les baies vitrées soient remplies d'affichages qui gachent la vue sur la superbe lumière (ciel noir au dessus d'immeubles éclairés en blanc). Le grand afficheur et la voix ne fonctionnent plus quand on contourne l'itinéraire normal en raison des travaux. Il y a plein de monde à la Biocoop à 10 heures et demie, et de superbes fruits et légumes (comme toujours dans cet établissement, un des pionniers, toujours intégre par rapport à la philosophie du bio, mais hélas très carniste), dommage que je ne doive acheter que des choses en boîte ! Les travaux du tram sont intenses sous la pluie et le vent. Je me sens étonament bien, la ville est bien moins opressante qu'Orléans. En emmenant in extremis (je n'y croyais plus ! Sinon c'était foutu pour la semaine à cause du jour ferié !) avant midi mon Brompton chez le seul vélociste (pile poil face à l'arrêt «Pilier Rouge», il aurait suffi qu'ils me disent ça par téléphone au lieu de tenter de me donner des repères visuels par rapport aux autres bâtiments !) ayant de quoi le remettre sur roues, je constate que les Citaro ont des emplacements pour vélo pliant :-) Les conducteurs sont sympas et ne vérifient pas systématiquement les titres de transport. Après le suculent repas au «Potager de mémé», qui accepte de s'arranger pour que ce soit végétalien avec gentillesse et bonne volonté, alors que c'est loin d'être évident, je débute mon premier poste de bénévole sur ce festival (nouvelle claque me rappellant comme je me suis éloigné de tout ce microcosme, car je n'y pense pas autrement, c'est juste quand je le redécouvre que je réalise ce que j'ai abandonné pour favoriser la proximité de Paris et du travail. Mais bon... quand je vivais ici, Paris me faisait cet effet quand j'y allais alors...).Compétition 1 :
Je m'absente quelques instants de mon poste pour assister au début de cette séance. La salle est remplie de jeunes qui font le doublage de la bande annonce. C'est devenu une tradition... mais si ça commence dè le début maintenant, qu'est-ce que ce sera à la fin ?L'an 2008 :
Met en évidence l'impact de la consommation de viande sur l'agriculture du tiers-monde !Bröderna Jaukka.
Turning.
Nowhere Boy :
«Les Studios» sont loin d'avoir la philosophie du «Club» de Douarnenez. Ils ne pensent qu'au fric. Ils diffusent même des bandes annonces ! Il y a celle de «Quartier Lointain», que je reconnais tout de suite grâce au thème, malgré l'énorme changement d'ambiance du fait de son adaptation dans un contexte français. Et enfin, le film... Des spectateurs disent à juste titre qu'il n'est plus courant de voir fumer comme cela dans un film ! Les acteurs ressemblent peu physiquement aux personnages réels, mais leur jeu permet largement de compenser cela. Les intonations vocales se rapprochent étonnament de celles de John. Malgré le fait que je connais déjà l'histoire, sachant exactement à quel moment les événements vont se produire, je suis ému d'assister à la naissance, dans un terreau si difficile, du groupe musical le plus influent du vingtième siécle. L'histoire est bien plus aride en réalité que comme elle est présentée habituellement, nottamment à destination des jeunes. Le cinéma allume la lumiè avant la fin du générique... À l'arrêt de bus du Quartz, un jeune homme bourré parle à tout le monde. On est bien à Brest ! Une fois de plus, les horaires Bibus semblent assez fantaisistes, les véhicules semblant être en avance. Le MAN qui me ramène a des allures de métro avec ses portes louvoyantes, alors qu'on file à toute allure dans la nuit. J'espère que le réparateur a réussi à remettre en ordre mon pneu de Brompton !10 novembre :
Je profite de la lumière exceptionnelle pour prendre quelques photos avant de prendre mes fonctions.Pour les Pitchounes :
J'arrive à m'absenter de mon poste pour rejoindre les quasi-1000 enfants afin de voir ce programme :-) Je suis surpris, alors que le thème est le Royaume-Uni, que Aardman ne soit pas à l'honneur.Flojtelos :
Au crayon feutre.Beau voyage :
J'ai dormi (pas facile de dormir à l'auberge dans la même chambre qu'un festivalier revenant de «Cocotte minute» en pleine nuit et un ronfleur)...Rybka :
Déja vu... Un enfant ne veut pas qu'on pêche un poisson. Il semble que ce soit une petite fille, contrairement à ce que je croyais.Cukas Laime :
La famille de cochons citadins repr&eaute;sente des humains pour critiquer le comportement de ces derniers. Mais dommage de s'être basé pour cela sur les camps de concentration et les comportements qu'ils induisent.Le Silence sous l'écorce :
Un peu Myazaki celui ci ! Il passe moins bien auprès des enfants. Une allégorie supplémentaire du jeu de la séduction.Wollmond :
Spéciste et illogique. Beatrice, collègue bénévole qui vient d'Allemagne, moins résistante que Tanja, était pescovore mais est redevenue omnivore depuis qu'elle est à Brest. Elle me dit que Morgane, très jolie bénévole, est V. Et c'est Danny qui s'occupe de la restauration ! Lumig qui est éducatrice spécialisée (décidément...) me permet de savoir que les collaborations entre structures sociales et associatives continuent !Panorama Bretagne :
Revenir dans une salle du multiplexe me rappelle une certaine soirée... Sauf que c'est tellement mal indiqué que je me trompe de séance. Les essais de projections en HDTV me mettent la puce à l'oreille, mais pas assez tôt pour que j'évite de rater le premier court de la séléction.En boîte :
Un certain Joel Le Gall est cité parmi les figurants !L'enfant do :
Des airs de Zabriskie Point (Julie Henry a une troublante ressemblance avec l'actrice de ce film). Ce court pourrait, on peut toujours réver, enlever toute envie de procréer.Cul de bouteille :
Le petit personnage semble être une référence à «Princesse Mononoké». Je sors ensuite, vu que je connais les deux films suivants. Un PR112 de la CAT va à Plougastel, avant que je monte dans un Citaro articulé de la 1/4 (L'immense intérieur est bondé) pour récupérer mon Brompton. Même les autobus les plus récents du réseau ont toujours de vieux composteurs mécaniques, pas d'écrans de tous les bords... Quel charme désuet... alors que sur le réseau TAO, les autobus un peu anciens, forcément moins hétéroclites qu'à Brest, sont gâchés par des équipements tape-à-l'oeil... Paradoxalement, c'est Bibus qui m'a fait découvrir les afficheurs, et autres caractéristiques d'un vrai grand réseau de bus. C'est bien qu'ils y soient restés fidèles, mais dommage qu'ils n'affichent pas l'heure. Le ciel est encore une fois magnifique quand j'ai le plaisir de redescendre (enfin) avec mon Brompton ! Et en plus, ça n'a couté qu'une bouchée de pain :-)Cocotte minute :
Project Alpha :
Un petit air de «Planète des singes»..363 :
Pas très clair, il faudrait le revoir pour comprendre.Pixels :
Des allusions aux ordinateurs et éditeurs de jeux vidéos des années 1980 et aux jeux correspondants. Que de souvenirs !Civilisation :
Heureusement que c'est sous-titré en anglais, car les paroles de la chansons des années 1940 sont incompréhensibles.Près d'ici.
Cucccarazza.
Tous les hommes s'appellent Robert :
Excellent film anti-chasse ! À diffuser !Enfermé dedans !
Vraiment très drôle.Muzorama.
3X3.
Le Syndrome du timide :
Bien vu !Leave Not A Cloud Behind :
Fait penser à «La Jetée».Lobster Club.
Espèces de patates :
Classe les pommes de terre à tort dans les légumes.Jeux pluriels.
Rubika :
Que se passerait-il si la Terre était un rubik's cube ?Babioles.
Micro-dortoir :
De typiques rêves d'enfants... J'interroge Morgane sur son végétarisme. Hélas, comme pour Virginie, la chef des bénévoles et Béatrice, il est surtout motivé par une question de goût. Et elle fume et a un petit copain :-/11 novembre :
J'en apprends plus sur mon collègue de chambre qui est venu assister, comme moi, au festival : il est du festival de Clermont-Ferrand. Il avait même postulé pour remplacer Erwan et Caroline et dans d'autres festivals. Il y a aussi deux femmes qui vont à la même séance que moi à l'arrêt de bus sous la pluie battante. Au moins deux autres festivaliers montent dans le Lion City articulé au cours du trajet.Compétion Européenne 2 :
Rita.
Half Term.
Grisberta.
Samariten.
Grand crus européens 1 :
Dans ma rangée des gens parlent du dernier festival de Douarnenez, qu'ils ont trouvé moins bon que d'habitude. La sélection est sous le signe des histoires tounant en boucle :Raak :
Pas sûr que tout soit cohérent.Vsichko za teb.
Je suis parti après ce dernier pour assister au programme suivant.Pôle sud :
Dans la file je suis mal à l'aise d'être derrière une famille dont le père frappe ses enfants. La séance est annoncée comme étant audio-décrite, pourtant mes collègues me diront ensuite qu'ils n'avaient eu aucune information à ce sujet. Par contre, les traducteurs LSF sont bien là.Comme un pingouin sans ascenseur.
No Pinguin's Land.
Lost and Found :
Graphismes et animations sublimes ! Bien sûr, ça ne tient pas debout, sauf si on considère qu'il s'agit d'un rêve du garçon. Puis on a le droit à un spectacle organisé par Océanopolis, une transmission depuis l'enclos des pingouins et la diffusion de la scène que nous avions vu être filmée l'autre soir : deux personnages déguisés sortant du Quartz. Il n'y a pas beaucoup d'animation à l'étage du Quartz cette année, juste une exposition sur le film «Lost and Found» et le pole sud. J'y vais juste quand le groupe de sourds est là, la traductrice interprétant l'anglais du making-of vers LSF. Dire qu'il y a six ans j'étais impressionnée par ce lieu, jeune animateur cyberespace faisant la connaissance de Michel Briand, et maintenant je suis sollicité par les gens, bénévole complétement à l'aise dans ces lieux, suivant la même évolution que pour les lieux du festival douarneniste...Animazing Brits :
Creature Comforts :
Bonne introduction avant de voir Nenette tout à l'heure !The Man With The Beautiful Eyes.
Intolerance :
Me fait toujours rire &après toutes ces visions, même en connaissant la toute fin de l'histoire. Sous-titres difficiles à lire.Jojo in the Stars :
Une sorte de mélange entre un Myazaki très noir et la cité des anges de Wim Wenders. Décidément, les anglais veulent sauver les terriens non-humains !Poor God.
Hilary.
Dog :
Détails incroyables dans les décors, même si mes collègues le trouvent gerbant et déprimant.Dreams and Desires : Family Ties.
Photograph Of Jesus.
Astronauts.
Rabbit :
Déja vu il y a quatre ans, tout comme le récit bordélique de mariage d'une grosse dame dans le style gallois par Joanna Quinn au-dessus.Programme France Télévisions :
Je croise un visage familier, je réalise qu'il s'agit de Roland N'Guyen. Gaël Naizet est venu avec son fan club !Eau forte :
Ce court-métrage est en format panoramique. Rare en vidéo !Nenette :
J'ai vraiment du mal à accepter les rires idiots de l'assistance devant le spectacle de cette pauvre orang-outang injustement emprisonée. Je me doutais que le film ne me plairait pas, mais pas qu'il faisait preuve d'un tel manque affligeant de réflexion.Quidam :
Heureusement un peu d'humour loufoque pour se changer les idées après un triste rappel du spécisme généralisé. À la fin, une jeune dit que «Eau Froide» était insupportable... Quelle génération de pudibondes, incapables de voir la vraie beauté. Quand je rentre à l'auberge, la cuisine est fermée :-( Il faudrait vraiment un service public de l'hébergement qui offre des solutions vraiment utilisables...Jeudi 12 novembre :
Rah, comme j'apprends in-extremis que je ne pourrais avoir accès aux services de l'auberge à midi, je dois préparer mon pique-nique de façon imprévue, ce qui me met en retard ! Au passage, en attendant mon Lion City, je vois un Agora Line et un GX 217 sur des lignes extérieures. Et comme tous les jours, un AGC... Les fréquences des «lianes» qui me semblaient bien autrefois m'apparaissent maintenant bien limites... Je me suis habitué à la capitale... Surtout que les véhicules font le plein et qu'on traverse des quartiers populaires vraiment vivants, avec un peu de personnalité (je n'aurais pas pensé dire cela un jour de Brest) ! Il y a plein de douarnenistes ce matin, dont monsieur Lecoursonnais. Les filles insistent pour que j'aille voir la fin de «vivement la retraite !».Fin de «Vivement la retraite !» :
Et vous sinon, ça va ?
Hurlement d'un poisson :
Avec une fille du genre que tous les mecs sensibles rêvent de rencontrer et une Z2N en livrée «Transilien berlingots». Rachelle feuillete ma liste de films.Fin de «Golden nineties» :
Where's the Money Ronnie ?
Au restaurant, la jeune bénévole devant moi demande un plat V et Caroline la vegane me fait un grand coucou :-) Apparition surnaturelle, improbable rémanence de mon passé, furtif rêve qui passe... Sorte de songe éveillé dans lequel se confondent Lisa, son affection, et les premières rencontres de jeunes bénévoles il y a plus de dix ans.Panorama animation 1 :
The Sick Boy and the Tree :
Hélas raté, à force de reprendre du rab au restaurant.Hinterland.
Benigni :
Les aiguilles de l'horloge du décor ne tournent pas !Vasco :
Horrible et rien compris (mais superbe fille !)...Une vie.
Chienne d'histoire :
Bah, ce n'est que, au moins, la troisième fois que je le vois...The Origins of Creatures.
Ohus :
Comme souvent, les sous-titres sont illisibles. Une séquence «Prince of Persia» !Sinna Mann :
À projeter aux enfants (un truc de plus pour les aider)...Tentations :
Quand je sors de la séance précédente, ça a déja commencé...A main nue.
Juliette :
Se termine en queue de poisson.Mémoires d'une jeune fille dérangée :
La séquence avec Marie-Christine Barrault ne dit que du vrai, mais comme l'ont dit des spectateurs, fait un peu trop «publicitaire».Aglaée.
Trois jeunes femmes amoureuses :
Un recueil de de fantasmes d'adolescent, du niveau d'un film érotique de bas étage, et qui, en plus, trouve acceptable le viol d'un mec par une fille avec l'assentiment de la salle.Midnight Show :
J'entre en cours de séance, ayant donc raté le ciné-concert sur des extraits de films, Angustia et Ofelia.36e sous-sol.
Epilógus.
Lester :
Cette parodie de film de vampire est hélas prévisible.The Last Breath.
Clonk.
Samedi 13 novembre :
Nous sommes quatre festivaliers à l'auberge. En fait, les deux femmes de l'autre jour y sont aussi. Elles sont du festival d'Annecy. Seul représentant des festivals bretons, je suis cerné :-) Avant d'entrer à ma séance, je conduis un espagnol à découvrir le festival via les «cocottes» ! Une fois de plus je joue le guide...Panorama animation 2 :
Jean-François :
Superbes décors.Old Fangs.
The Boy Who Wanted To Be A Lion :
Pourrait être un pamphlet contre l'oralisation des sourds. Les appareils existaient donc déja dans les années 1960 ?Tussilago.
Viliam.
Vovo.
Tord Och Tord.
Fröken Märkvärdig & Karriären.
Les rues sont désertes, mais «le potager de mémé» est toujours aussi blindé !Mines de Rien :
Le Bûcheron des mots :
On y retrouve les préoccupations de Serge Avedikian. Je ne sais pas de quelle source j'en avais eu connaissance, mais il était déjà dans ma base.Des enfants dans les arbres :
Ai dormi.Madagascar, carnet de voyage :
Beaux dessins !Just Like The Others :
Pas bien vu l'objet à la fin.Le petit dragon :
Avec un générique typique des années 1970/80. Discussion avec Beatrice, on va manger ensemble d'un repas V chacun. Une autre végétarienne (encore) est derrière nous (une jolie fille que j'avais déja remarqué). Noémie est épatée qu'il y ait plein de gens qu'elle connaisse dans «Dounouia la vie».Accross the Universe :
En cinémascope, ce film confirme la tradition comme quoi le long métrage de clôture du festival doit être un navet. En fait de comédie musicale, il s'agit plutôt d'une succession ` la «Forrest Gump» de clips vidéos dans des décors de carton-pâte sur fond musical des Beatles ré-interprétés à la mode Country Music gnan-gnan. Les seuls clins d'oeils humoristiques viennent de Jude, dont la voix et l'accent rappellent de façon surprenante ceux de John, quand il prononce des extraits de textes du groupe en pleine conversation, et des références à des films et à des épisodes de la carrière des Beatles. J'ai pressenti presque à chaque fois le démarrage des chansons, le contexte laissant peu de doute sur celle pouvant être choisie . Une belle part est faite à «Abbey Road» :-)Dimanche 14 novembre :
Après être retourné voir les films «Pitchounes» devant lesquels j'avais dormi, je rencontre une autre végétarienne au restaurant, et arrive à échanger quelques mots avec Caroline. Celle du restaurant est orinaire de Clery-st-André et a fui le bassin orléanais au raz des paquerettes pour s'installer sur la providentielle terre bretonne !Films primés 1 :
Muzicaa in sange :
Se passe dans un commerce situé dans un dépôt d'autobus.Bingo.
Des contes et des couleurs :
Derevo Detstva.
The Six Dollar Fifty Man :
En cinémascope, me rappelle les histoires d'enfants que je voyais en tant que très jeune festivalier.Valise :
Beaucoup apprécié des enfants qui claquent des mains pendant le générique.Anna Lovenstein.
Le noyau de mangue.
Juste quand je range mes affaires pour partir, Caroline passe. Elle me dit qu'elle ne vient plus au festival de Douarnenez suite aux crasses qui auraient été faites à Danny...Gouel ar filmou 34, Douarnenez :
Le thème principal est "l'Afrique du Sud". J'espère que ça ira au delà du remuage des vieilles histoires d'apartheid, qui imprégnait l'actualit&ecute;, une certaine mode colorée pour l'Afrique et mon mental lors des éditions du festival d'il y a presque quinze ans. La situation est encore plus déprimante, sans "bons" ni "méchants" clairement identifiés, ni solutions à ces problèmes liés au déclenchement d'une bétise infinie chez l'humain en manque de repères. C'est le premier festival pour Marjorie, faut-il y voir une coincidence ? Elle en a fait la publicité, nottament en assistant sur la thématique sexuelle, qui est celle qui l'interresse le plus, influençant ses choix de débats, associations à rencontrer et autres activités. C'est aussi le premier festival de Douarnenez pour mon Brompton !Vendredi 19 :
Curieux, après avoir remarqué mon Brompton, Erwan participe à la réunion des ouvreurs. Il n'a pourtant plus de responsabilités en ce domaine, et ne nous fait hélas pas de présentation des films comme il y a 10 ans... L'inauguration est décevante : pas de présentation des invités. L'adjointe «culture» du maire est huée par quelques personnes. Quelques discours sont toutefois bien envoyés, surtout celui d'Eric Premel, citant Steven Biko. Brigitte Mouchel, par contre, je la préfère à l'écrit (elle cite même Derrida) qu'à l'oral. Avec le couple Le Bleis dans l'assistance, c'est un festival évoquant mes révoltes adolescentes qui démarre timidement, bien loin de la splendeur que j'aurais pu imaginer à l'époque, si j'avais osé envisager qu'une édition puisse être consacrée à l'Afrique du sud, très médiatisé par rapport aux choix habituels de l'équipe. Je suis épaté par l'heure tardive à laquelle le soleil se couche en faisant un petit tour de Douarnenez en remontant à la maison avec Marjorie.Samedi 20 :
Comme d'habitude, c'est le bazar pour la première séance au Club, The Wooden Camera. Je retrouve ensuite Marjorie et maman sur la place pour déjeuner. Il y a Flo, Jean-Louis, Monique... qui interrogent les gens sur les relations entre générations pour le stand de Solidouarnités.Année bissextile :
Contrôle des entrées en compagnie de la superbe Charlène. En cinémascope, ce film est, plus qu'un portrait de la solitude, celui d'une femme correspondant au profil décrit dans «Ces femmes qui aiment trop». Que mon premier film mèle ce thème avec celui de la mort du pè est une nouvelle coincidence, comme «Rangoon» l'année dernière.Ouverture de Skin `Saint-Blaise :
Inauguration de la salle, le projecteur 35 milimètres loué pour l'occasion est sous surveillance... tout comme le Brompton jaune qu'un spectateur m'a confié.Tsotsi :
Le début semble irréel et caricatural, on dirait le clip de BAD de Michael Jackson ! Et comment le bébé survit-il ? Je vois dans ce film un hommage aux femmes, qui donnent le sentiment de vie à ce pauvre garçon.Une saison blanche et sèche :
Là encore, les premières images font penser à un clip de Michael Jackson, contrastat avec les images de la famille afrikane qui font publicité ! Un équivalent à Cry Freedom, qui mérite d'être vu juste avant ce dernier comme introduction à la réalité du régime et de ce que fut le massacre des écoliers, la torture, le racisme et l'ignorance. La scène où un employé fait irruption dans la salle de torture me rappelle quelque chose, mais ` quelle occasion l'aurais-je vue ?Dimanche 21 :
L'envol :
J'ai dormi devant ce conte.Disgrace :
Très étrange, avec des non-dits, une lesbienne ayant une mauvaise image d'elle, de beaux paysages en cinémascope contrastant avec la noirceur totale... Le thème du viol correctif est abordé, mais pas celui du SIDA qui y est intraséquement lié. Le personnage principal parle typiquement comme un professeur anglophone ! Ils ont l'habitude de garer leur bagnole de façon génante, est-ce un trait marquant de l'Afrique du sud ?Mapantsula :
Une esthétique de série télévisée des années 1980.Lundi 22 :
France
Inter parle du concert-hommage à Franz Fanon !The gods must be crazy :
La séance fait le plein. C'est le gros bazar car nous n'avons aucune instruction particulière sur la façon de gérer le fait qu'elle est gratuite. En plus, la copie de Tsotsi est introuvable pour tout à l'heure. La projection est en version française, avec ces voix et musiques qui ont tant bercé mon enfance ! L'après-midi je vais voir les expositions aux halles avec Marjorie. J'ouvre «Venus Noir» à 23 heures. Des sourds se font avoir : ils sont venus après avoir lu «sous-titrage partiel» dans le catalogue. Je dois rester jusqu'` près de deux heures du matin garder le cinéma !Mardi 23 :
À midi, à l'occasion des décevants abandons de charges contre DSK (qui n'empêcheront pas les médias de continuer à le suivre à la trace pour nous livrer tous ses étas d'âme. C'est sans doute plus divertissant que la poursuite de la catastrophe nucléaire japonaise et les leçons qui en découlent), discussion sur les facteurs conditionnant les femmes dans leurs choix de compagnons et des déterminismes intervenant dès les premiers instants par l'éducation dans l'enfance.The Wooden Camera :
Plutôt naïf, même si dur et émouvant aussi. Aperçu de l'influence qu'ont les filles sur le destin des gars, surtout quand celles-ci sont inconséquentes (et jolies et charmantes en même temps !). Les talents de cinéaste du jeune Madiba sont impressionnants, touchant à l'abstrait et même atteignant un quasi-professionnalisme quand il capte Estelle.Ouverture de Noces Ephémères :
Conflit avec des personnes qui arrivent de Brest en retard (car on ne peut plus faire rentrer en cours de séance cette année). Est-ce à cause du changement de tablier du "Pont de Recouvrance" qui a lieu ce jour ? Je constate que Charlène s'en va avant moi, qui suis pourtant «numéro 2», alors qu'elle est «numéro 1», c'est le monde à l'envers ! En tentant ma chance pour «The Burning» et «André Brank», je suis assis à coté de Denis Goldeberg qui parle avec des femmes. Les gens qui vont et viennent autour de la médiathèque-port-musée, touristes, n'ont pas la moindre d'idée de qui est ce vieux monsieur dans cette petite ville au bout du monde ! Il me fait un chaleureux au-revoir dans la grisaille venteuse, avant que le débat de la place fasse la promotion de la mutilation des penis pour lutter contre le SIDA. Il y a plein de vélos, pliants compris. L'autre jour j'ai vu Gwénolé Stephan, et je constate que les deux filles de Luc Morvan sont de plus en plus impliquées.Cry Freedom :
La chanson de Peter Gabriel n'y est pas, mais son ambiance plane sur les vibrants chants et ambiances. Le texte français ne retranscrit pas toute la subtilité des choses dites. Le discours de Biko me fait vibrer, j'ai envie d'applaudir. Il peut s'appliquer aussi à la condition féminine, à celle des non-humains... Ça dépasse tout ce que je pouvais imaginer sur lui et sur les belles pensées pouvant naître dans ce genre de lutte contre l'oppression, d'après quelques bribes glanées sur lui et sur Alekos Panagolis, quand j'étais adolescent. Cristi parle comme lui, avec la même douce assurance. Et encore un 11 septembre... C'était un altruiste, Marjorie percevrait-elle que je suis de la même trempe ?Mercredi 24 :
Je retourne voir Lumumba avec Marjorie. Il est quand même moins didactique que Cry Freedom et les paroles ne sont pas toutes faciles à comprendre, entre les différents accents (belge...) et le son de l'amphitéâtre. La scène finale est-elle inspirée du dernier couplet de Biko, de Peter Gabriel ?Jeudi 25 :
C'est le grand jour pour maman et Eric à la cuisine ! Presque toute la famille (y compris Christine et Marjorie) s'y met, et il y a quand même du retard, on manque de matières premières... Je n'ose pas photographier les invités sud-africains avec leurs plateaux V. En tous cas c'est délicieux, c'est le repas le consistant et gouteux de la semaine, sans commune mesure avec ce qui est fait habituellement sur la place !Séance Bretagne :
Dans la foule qui se presse pour la séance «Bretagne», je discute avec Kristel, ancienne chef des ouvreurs du comportement de Caroline. À un autre moment, je discuterais aussi avec Charlène et la projectionniste du «Midnight Show» du dernier festival de Brest ;-)Le Quidam :
Re-visionage avec plaisir.Le vivier :
On dirait que c'est tourné dans la même demeure qu'un autre film de Paris-Brest (présenté ici-même lors d'une précédente édition, avec une mémé ne voulant pas partir de chez elle, passant la nuit à écouter de vieilles cassettes sur les marches).Dans la ville rouge :
Dommage que l'image soit si mauvaise et désyncronisée du son... Par contre, Nolwen Corbel se mettant au blues, ça gère ! C'est plein de connaissances, dont Jean-Louis, Jacques... Déjà la fin de cette journée depuis si longtemps préparée :
Après le repas végétarien du soir (320 biryanis), on écoute Trio Charles Kely qui nous gratifie de quelques passages de batterie et de basses sympathiques ! Puis Canal Ty Zef nous montre à la cuisine ce midi, avec même la recette des sandwichs «south africake» aux couleurs du drapeau extraite de «Alternatives végétariennes» ! Le tout avec sous-titrage pour sourds, alors que la pancarte humoristique indiquant l'emplacement des traductrices a disparu ! Miracle en Alabama :
Les sous-titres sont illisibles. Ça doit être encore moins supportable pour les nombreux spectateurs sourds, qui ne pouvaient même pas tenter de comprendre l'Anglais ! Le fait que le film ne se passe pas «dans la tête» d'Helen le rend sans doute moins fort que le livre que j'ai lu il y a tellement longtemps (décidément, ce festival est une sorte de réunion de causes qui m'ont marqué dès l'enfance. Celui-ci est décevant, se consacrant trop sur l'apartheid et ne nous immergeant pas vraiment dans l'Afrique du sud). De toute façon il ne se consacre que sur une période bien précise : l'apprentissage embryonnaire d'Helen auprès d'Annie, dans une ambiance criarde.Vendredi 26 :
Un festivalier sourd complimente mon Brompton.Plus jamais peur :
Ce documentaire manque d'explications.Nothing but the Truth :
J'ai une des dernières places, tout à l'avant.Soirée
Pendant le journal de Canal Ty Zef, je suis cerné par des signeurs&nbps;:-) Je suis toujours épaté par l'auto-dérision dont le festival est capable, avec un directeur qui n'est pas le dernier à rire des bétises racontées :-D Je découvre l'existence de la LSI. Pourquoi rester embourbé dans la LSF, alors ? Je n'ai vraiment pas le courage d'attendre le concert de slam de signes, annoncé pour minuit. Je fais bien de ne pas rester car je vais devoir accompagner Marjorie à l'autocar de 7 h 45 demain.Samedi 27 :
Impossible de rentrer pour Amandla. Le bouche à oreille a fait son effet, des gens, dont Nolwen Korbell, arrivant 45 minutes avant ! En ouvrant la séance bretonne de 18 heures, je suis remarqué par la peintre que maman connaît et qui avait eu un article dans Télérama.Sonar ar glav :
Bizarre, j'ai l'impression d'avoir déja vu la scène finale où il joue avec la barre à gauche sur la pellicule. À ce propos, on dirait que c'est une mauvaise numérisation d'après film pellicule.Jon face aux vents :
Je ne suis sorti de mon sommeil qu'au moment où des centaines de rennes tombent dans l'eau quand la glace se dérobe sous leurs pattes.Hi-Jack Stories :
La présence de ce film au festival me semble un peu superflue. Il y en a eu d'autres qui traitaient du sujet et qui auraient mérité d'être rediffusés. L'un des seuls intérêts du film est la pilosité naturelle d'une des actrices.Trente cinquième festival de cinéma minoritaire de Douarnenez :
Nous éions dans le bain assez tôt en raison des coups de main donnés, rénions préparatoires et autres expériences culinaires pendant la semaine du 13 août. Dès cette date, les prémices d'installation ont déjà lieu sur la place.Vendredi 17 :
À 15 heures 30, les derniers préparatifs de la place ont lieu avec frénésie sur la place. Je remarque avec effroi que la cabine téléphonique et ses tubes pouvant servir à accrocher les vélos se sont volatilisés :-( Comme c'est le cas depuis plusieurs années, l'inauguration est bien sombre et banale, les seuls moments forts sont pour moi les dénonciations par l'équipe des prétendues « crises comme étant de la manipulation.Séance inaugurale :Vacas
Catastrophe ! Les projections au Club, salle nouvellement équipée en tout numérique, s'annoncent mal ! L'image est métallique, saccadée, le son est dédoublé et désynchronisé de l'image, ça plante... Monsieur Le Moal est assis derrière nous.Samedi 18 :
Erwan explique au type du « K » comment Daoulagad faisait des séances cinéma dans les voitures des deux principales artères ferrées de la région. Je revois mon « journaliste initiateur » du Kezako, qui revient au festival pour la première fois depuis tout ce temps ! Anne Jardin est éclopée. Des spectateurs occasionels, de passage, remarquent le changement de politique du cinéma. Pour ma part, je remarque la disparition de la pancarte « Noël Roquevert » et l'utilisation des véritables affiches sur le fronton. Le soir, à l'extérieur, de grandes affiches ont été collées, ainsi que le Kezako de ce jour. J'espère que les suivants seront distribués comme avant. Douarnenez a récupéré un fourgon-minibus du réseau Mistral (Toulon). Quel plaisir de voir «Land and Freedom » sur pellicule au Club à 18 heures, malgrè la présence furtive d'un objet dans le champ au début.Dimanche 19 :
Brasil somos nós :
J'ai dormi durant ce film saoûlant de paroles et de mouvements, dans lequel il y a un scientifique qui ressemble à Monsieur Cloître. En sortant, la mer est d'un bleu intense ! Guy le Fur rentre au K à 16 heures 30, alors que je suis consterné que les possesseurs de cartes permanentes soient contraints de prendre un ticket sur les séances non-CNC. Je retrouve Marjorie sur la place, où la traduction en LSF des annonces faites par Erwan est un peu laborieuse, surtout pour des noms de films comme «Société lozerienne ». Après avoir été appelé pour des histoires d'organisation du secteur des ouvreurs, je vais voir « La mystérieuse disparition de Robert Ebb », retrouvant maman et Fabien. Je ne peux pas rester pour « L'enfer vert des bretons », ni au débat sur les indignés, devant me rendre à la MJC pour ouvrir la séance gratuite « François Tosquelles », à laquelle se rendent Marjorie, Nadine, l'ancien chef des ouvreurs... La mer est desormais d'un gris mat et métallique. On doit refuser du monde. J'ai hélas la confirmation que le Kezako ne sera plus que sous forme d'affiches :-( Entre le départ pris pour lancer la séance et le débat qui suivra, je me dis qu'il est peu probable que nous puissions retrouver maman sur la place. Nous y arriverons pourtant, alors qu'elle occupe une table entière avec son équipe d'amis et de cuisiniers !Lundi 20 :
Je n'arrive pas à me reveiller pour me rendre à la palabre sur la folie ou même au film «El Bola » qui finalement m'aurait bien tenté. Une toute jeune fille, Isis, aidant à la cuisine, est végétarienne ! Guy le Fur semble, lui, ne pas pouvoir se passer de sa bidoche. Richard Stallman n'aurait pas renié la distribution des recettes sur les plateaux.Vie et mort d'un espace en trois actes [no-res] :
J'ai dormi devant ce film en « Creative Commons » (décidement, c'est la journée, même si le critère « non-commercial » n'en fait pas une licence absolument libre) tourné de 2010 à décembre 2011 qui m'évoque « Paysages manufacturés ».Squat, la ville est à nous :
Qualité horrible, digne de celle d'un téléphone cellulaire... Mais quelle contestation ancienne de la part des jeunes barcelonais ! Ça me rappelle l'energie ressentie dans mes premiers festivals. Puis, à la maison, j'accueille Magalie qui arrive. Sur la place, au repas V du soir, on retrouve plein de monde : Catherine et ses enfants, Nathalie, Yoran, Sarah Flo... Le ciel est indescriptible de beauté alors que je discute avec cette dernière. Deux clowns se font poursuivre par des enfants.Mardi 21 :
Le présentateur de « BETWEEN THE LINES » nous confirme que la politique d'Arte est d'utiliser des titres plus explicites en allemand qu'en français. Je fais rentrer les Quelennec et Nadine à « LOS LUNES AL SOL », alors que l'ouvreuse Fanny Bugnon, végétarienne, ressemblant à Jessica da Costa, me dit qu'un groupe de feministes pro-exploitation sexuelle ont violemment perturbé les rencontres de la veille sur ce thème.Séance de films courts bretons d'animation :
On s'y retrouve tous, sauf Magalie.Tempête dans une chambre àcoucher :
Plutôt hard !Petits joueurs :
Encore un exemple de ce qu'on peut faire avec de simples jouets !Tati Ramitsu :
Assez bas de gamme, inspiré, semble t-il, par « Itchi&nbs;et Scratchy show ».Intervention orale :
Delphine Priet-Mahéo est interrogée par Erwan et le public sur les techniques et l'industrie de l'animation. Toute intimidée (comme moi dans cette même situation, en ces lieux il y a une vingtaine d'années) et rigolarde.Th´ et gaufrettes :
Décidemment, on reste dans le thème des expropriations !Son Indochine.
Mercredi 22 :
Ciné-concert Balle de Laine :
Sophie, la projectionniste, est en colère car Christian veut baisser sa rémun&eacutre;ration. On est loin de la chaleur humaine qu'il distillait il y a quelques années :-( L'entrée se fait par groupe de 30, les adorables gamins du mini-festival apprennent la langue des signes en attendant la seconde représentation. Au K à 14 heures, débat avec Fanny Bugnon sur l'esclavage sexuel de nouveau, alimenté par l'autre ouvreuse. Elle me fait découvrir l'argument de la dé-criminalisation du viol en réponse à l'argument du choix de travail. En allant aux expositions avec Marjorie sous un ciel magnifique, je vois une 405 GR en état d'origine de la fin des années 1980 et une Fiat Tipo blanche en superbe état. On assiste au transfert forcé de chèvres d'un enclos à l'autre des Plomarc'h. Il y a d'adorables bébés cochons. L'un détale en hurlant lorsqu'il se fait électrocuter le nez en venant voir un petit garçon. On débat ensuite de ce qu'il faudrait dire à haute voix pour promouvoir le végétarisme dans ces situations. Les panoramas sont sublimes, avec ces maisons colorées au détour de ruelles devant l'eau d'un bleu profond et dense et la verdure des côtes qui nous encerclent. A l'intérieur, on a le droit à une lecture de textes accompagnée de notes au saxophone. La lumière reste allumée à l'étage de la médiathèque alors qu'il est fermé le soir :-(Jeudi 23 :
Les aventures de Don Quichotte :
En ouvrant la séance, je signale à un sourd que le film ne lui sera pas compréhensible. Il me remercie et me dit qu'il faudrait une traduction en langue des signes pour les enfants. Il me félicite pour mon badge « J'aime les animaux, mais pas dans mon assiette ». Je ne vais pas voir ce film qui me tente pour filer à « Les Fagor et les Brandt », qui aurait pu être mieux construit. Fanny ne reste pas au débat, je la retrouve avec tout le monde pour le repas à la maison (maman l'a invitée, inspirée pour cela par Fabien et moi).Séance festival de Cans :
Après un documentaire d'un quart d'heure sur ce festival encore plus déjanté que celui de Douarnenez (plusieurs films y ayant été présentés sont programmées dans cette trente-cinquième édition), Mr Bear (sympathique film de genre), O Xigante, Estereoscopía, Percebeiros et Puerto Del Sonido (Banda Crebinsky manqua à l'appel ! Mais il faut dire que beacoup sortirent après Percebeiros), un gamin non cadré qui ne tient pas en place et qui n'avait rien à faire devant ces films pour adultes fait sonner mon antivol Xena.Ouverture de XXY :
Lola Pay (soeur de Charlene ?) m'interroge sur le végétarisme. Un enfant de Kermarron me crie qu'il adore mon vélo. Eric est arrivé à la maison.Séance supplémentaire « François Tosquelles »
J'apprends sur le tard qu'il y a encore du ramdam chez les ouvreurs, et que suite à des évictions on manque de personnel. Fabien, qui est donc revenu de Quimper, propose de me remplacer au K (au détriment de moments passés avec Mélina et sa soeur ?) afin que j'ouvre la séance supplémentaire « François Tosquelles » à la place. Entre les regards sur mon Brompton et les saluts des bénévoles, je me crois Marty sur son skate et écoutant THE POWER OF LOVE au début de Retour Vers Le Futur ! Un fourgon « Aides » circule. J'ai l'autorisation de regarder ces films dans lesquels il est difficile d'échapper aux cigarettes. Un des malades du premier film me fait penser au figurant qu'on remarque le plus sur des images reconstituant la libération des camps nazis. Le second est de la radio filmée, dont les paroles difficiles à comprendre sont remplies de gros mots. Daumezon avait fait partie des inventeurs du terme mal choisi de « psychologie institutionnelle » !Vendredi 24
L'ambiance est morose chez notre équipe de cuisine au réveil, on dirait qu'ils vont passer un examen ! Il y a un peu de monde dans les Tudbus. Une de mes collègues attend dans le sens inverse du mien. Après avoir passé les jolis jardins du boulevard Richepin, on double le GX317 positionné en permanence près de la MJC (pour le mini-festival ?).Son Indochine
Jean-François Le Corre (monsieur «Vivement Lundi ») donne comme références des éléments que j'avais déja sentis lors de la première vision de ce film qui me fait penser à la BD « Kenya » : « Un homme est mort », « Le petit dragon » (choses découvertes au festival de Brest !), l'Algérie et ses véterans.Mille jours à Saïgon :
Marcelino y passe t-il deux, ou trois années ? Ils parlent superbement bien anglais et français, bien mieux que moi même ! Je ferais des rêves angoissants la nuit qui suivra...Samedi 25
Après l'ouverture de la séance supplémentaire de « Les Chemins de la Mémoire » au K, qui n'attire qu'une vingtaine de personnes, je rejoins la table AVF tenue sur le marché par maman, Nikol (qui présentait des tartares d'algues de sa création), Marjorie et Fabien, avec la divine mousse au chocolat au tofu soyeux faite par Magalie. On fait deux adh´sions ! Les qui passent sont souvent des festivaliers, vivant principalement hors de Douarnenez (forte représentation de Rennes... il y a même ma collègue vue à Ploaré la veille, de... Grenoble ! sans autocar pour prendre son Quimper-Lyon demain matin :-( ). On prépare le sandwich (qui semble délicieux) pour Magalie, je vais le confier à Fannie à la tente « organisation » avant de remonter manger à toute vitesse le délicieux repas confectionné par Eric, avec une boîte géante de tartinade Tartex apportée par Nikol et la mousse au chocolat. Après avoir préparé, toujours en urgence, les cadeaux pour Jacqueline Kernaleguen, une des deux nouvelles adhérentes, qui doit m'apporter son Relevé d'Identité Bancaire à la MJC, où j'ouvre « Lucio », qui, comme Brasil somo nós, est curieusement construit et va hyper vite, avec des sous-titres illisibles.La bistrotière.
Entrée du personnel :
Refus manifeste de parler des non-humains :-( Le documentaire est assis entre deux chaises : si le but était de dénoncer l'aliénation provoquée par le travail à la chaîne, les souffrances physiques, pourquoi s'être limité aux abattoirs ? Sinon, si le but était de parler du contexte spécifique de ceux-ci, pourquoi alors évacuer la question du meurtre et des conséquences psychologiques engendrées par celui-ci ? Beaucoup de gens quittent la salle alors que défilent les images de cadavres. Celles-ci sont pourtant très gentillettes en comparaison de celles prises secrétement par les associations anti-spécistes. J'avais envie de leur crier que s'ils n'assument pas cette réalité, qui existe parce qu'ils délèguent lâchement ce sale boulot, ils devraient mettre en cause leur responsabilité dans ce génocide légal. Malgré l'évidence de la dissonance cognitive des employés, les meneurs du débat (les réalisateurs et Erwan) refusent de laisser s'installer la question du carnisme. Un restaurateur à qui maman avait donné « le guide des chefs » intervient pour dénoncer le gaspillage de viande. Et décidément, les débats de ce film sont à chaque fois houleux : nos interventions vont être mal prises lors de celui qui suivra la diffusion du film aux Carmes presque un an plus tard lors de sa sortie officielle, la réalisatrice et la dame du cinéma se comportant de façon odieuse.Gouel Ar Filmoù 2013 :
Très mobilisé par la mise en place des nouveaux modem-routeur et ordinateur portable de ma mère (peut-être que Vivien Moreau, curieuse coincidence, nage dans le même genre de problématiques), je n'ai vraiment pas la tête dans le festival cette année ! Et il semble que je ne sois pas le seul, car l'organisation est, à mon grand désarroi, calamiteuse cette année (si ce n'est la bonne idée d'avoir adossé un récapitulatif des diffusions de films à la grille). Pourtant, comme souvent, plein de programmes de télévision et radio sont en rapport avec les thèmes du festival. La diffusion de la série "MacGyver" peut aussi passer pour une coincidence car j'ai un fort souvenir de présence des roms dans certains épisodes. Marie Prigent, jeune bénévole plutôt discrète il y a quelques éditions, est de nouveau ouvreuse cette année. Elle a changé physiquement et semble s'être épanouie.Samedi 24 août 2013 :
Palabre sur la diversité tsigane :
Le mot "gitan" viendrait de "égyptien", qui était souvent employé pour désigner ces peuples, avec "sarrasin", etc.Vision de "Si je veux&nbp;siffler, je siffle" :
Premier film en 35MM que je vois depuis des mois. Même si la caméra est à l'épaule, ça fait du bien ! La fille ressemble à Lina. Dramatiquement, quelques semaines plus tard une histoire similaire se produira réellement, avec un violeur d'enfant assassinant sa psy.Vision de "LANN VRAZ" :
Bof. Le passage au DCP aprè le 35 n'aide pas à y voir autre chose qu'un téléfilm... Gwen ne donne pas l'impression d'avoir passé cinq ans en Argentine. Mark ressemble à Jean-Jacques Goldman.Vision de "Policier, adjectif" :C'est Eric qui était attiré par ce film, dans lequel un Cristi mange du pain à chaque bouchée et essaye de philosopher. Pourquoi n'a t-il pas écrit anonymement à la famille pour la prévenir de ce qui se tramait ?Ouverture de "Poligono S&urcirc;r, Séville :cotéSud" :
Indisponible faute d'accord sur le paiement des droits, remplacé par Bambi, au grand regret de quelques festivaliers qui considèrent que c'est le meilleur film de la sélection.Dimanche 25 août 2013 :
Palabre "Histoire de Coray et de l'internement" :
RAYMOND GURÊME, le dernier survivant vient témoigner.Ouverture de "La paludiè+Vies métalliques" :
Mylène Sauloy est contente de payer son entrée plein pot pour soutenir le festival. Après que j'ai gardé le hall de l'auditorium, en sortant on discute de cinéma roumain.Lundi :
Vision de "Caravane 55" :
Super dénonciation des clichés et de la répression envers les roms. La spectatrice à coté de moi est en larmes. La réalisatrice n'a même pas pris la peine de se renseigner sur le nombre d'habitants d'Achères, ville qui résiste magnifiquement contre le pouvoir opressif et défent des idées progressistes époustouflantes. La suite devrait s'intituler "Six rue Lénine", mais elle est refusée par les chaînes de télévision.Vision de "Vidéogrammes d'une révolution" :
Incompréhensible montage de vidéos d'une qualité déplorable montrant des gens inconnus pour les non-roumains et rendant limite malade. Dire que j'ai raté l'unique diffusion du "dernier été de la Boyita" car je devais ouvrir celui-ci...Repas avec groupe de végétaliens :
Parmi eux se trouve un veganextremiste, Simon, qui connaît le site du "Mouvement Vegan". Il pense que Cristi exagère. Il ne croit pas si bien dire, car au même moment il passe son été enfermé chez lui à se faire détester de tout le milieu sur Internet. Je les quitte rapidement pour voir Picnic.Picnic :
hélas pour rien car je dois sortir de la salle au bout d'une demi-heure à cause des mouvements de caméras. Dommage, il y avait plein de tramways et l'histoire semblait sympa.Vision de "Gypsy Caravan" :
En voyant mon t-shirt AVF, une dame félicite l'équipe du délicieux repas de ce soir, alors que maman est sans doute justement à l'honneur dans le journal de "Canal Ty Zef" au même moment. Dans le film, Johnny Depp prend une vibrante défense des roms.Mardi :
Pourquoi les sourds ont-ils des difficultés à l'écrit ?
Stand AVF au village des associations.
Vision de "Les Lendemains"
Liza Guillamot est très impliquée sur ce film comme une autre l'était sur un film au titre proche, également un premier long-métrage de réalisatrice, mais là c'est Marine Blanken la chef décoratrice.Mercredi :
Tourné en janvier 2010, en mauvais numérique. Liza était désolée que le son soit décalé. Éric et Magalie ont discuté avec la réalisatrice après la séance alors que Fabrice Bertin rentrait dans la salle sur son fauteuil.Vision de "Lupa" :
Mal filmé, pas assez d'images par seconde. On dirait que la copine a ses aisselles partiellement naturelles. Visa 133 175.Vision de "Pascaline et Clara" :
Avec un message relatif aux épilations incohérentes dans les films !Ouverture de "The Angry Inch" :
La musique et l'accent anglais ont l'air d'être biens.Jeudi :
Vision de "Les voix d'El Sayed".
Rapide cours de LSF avec Magalie.
Vision de "Orchids my Intersex adventure" :
Première diffusion de la version intégrale en france. Les noms et prénoms de la réalisatrice, PHOEBE HART, sont pré-déstinés !Re-vision de "Au delà du silence" :
Le personnel du "K" est toujours aussi antipathique. La place est transformée en marché avec caravane et étal de gourmandises, mais toujours pas de place vélo. Sylvie Testud, tout jeune, ne ressemble pas à l'actrice qui joue son rôle enfant. Laure, la plus experte des quatorze interprètes du festival, a servi de traductrice lors du tournage en 1994 car le film eest en allemand (langues signées et orales), Emmanuelle Laborit française, le père états-unien. C'est le principal film avec expression en langue des signes que Magalie (il lui donnera un goût prononcé pour la clarinette Klezmer) et moi connaissions et nous pensions bien sûr à celui-ci quand nous avions proposé le thème des sourds à Erwann il y a une dizaine d'années.Débat "trans et intersexes" :
Complet (photos prises) ! Cet intérêt pour le sujet est émouvant, ainsi que la convergence des luttes, il est même suggéré que sourds et intersexes pourraient lutter ensemble. Les deux minorités se comprennent et réalisent que ce que dit l'une s'applique à l'autre. Entre "Orchids my Intersex adventure" et ceci, je retrouve enfin les émotions fortes des meilleures éditions. Un jeune de Toulouse ressemblant à Michael "hamster" Herinx intervient, une dame contre l'orthodentie... on pourrait ajouter aux mutilations et normes imposées ayant été abordées la circonscision, l'épilation, les vaccins...Ouverture de "Bambi" :
À la séance précédente (Just the Wind, et ce n'est pas la seule dans ce cas), il a fallu refouler cent personnes. Cette fois encore, c'est la panique, les deux cents personnes rentrent d'un bloc et le film, présenté par Bambi en personne, commence avec 23 minutes de retard.Vendredi 30 août 2013 :
Vision de "Swing"
L'intervenant dit que la qualité de la pelicule n'est pas exceptionnelle, face à la magnificience du numérique. Que nenni ! C'est là au contraire une superbe image 35 milimètres cinémascope :-)Ouverture de "Felicia plus que tout" :
Quand je descends, je vois qu'il y a une foule monstre au "K" pour "Cígan", la queue allant jusqu'au garage PSA Belbeoc'h. Christian confie que le sujet principal de l'année prochaine sera "les peuples d'Indonésie" et que le très apprécié"L'acte de tuer" y repassera.Vision de "Diagnostiquer la différence" :Sous-titre faits par le militant ressemblant à hamster, avec une horrible syntaxe anti-sexiste et bourrés de fautes.Vision partielle de "Latcho Drom" :
À chaque fois que ce titre était lancé dans les différents discours et discussions au fil des éditions, j'imaginais un film très noir sur des ghettos, de peuples oprimés... un peu tout l'inverse de ce qu'il est réellement, en cinémascope ! Est-ce le même vieux violoniste que dans "Gyspsy Caravan" ? Même si je suis sorti au bout d'une heure, c'est une journée très "Tony Gatlif" !Samedi 31 août 2013
Émouvantes expositions
Avec un passage par la magnifique vue sur la baie depuis les Plomarc'h avec différents tons de bleus et verts.Vision partielle de Both :
Le film est en anglais non-traduit, mal filmé (comme une série B) et de mauvaise qualité vidéo.Bout débat après "Entre les mots" :
Quelques questions techniques nécessaires sur les hormones, la réalité des reconstructions (elles sont uniquement plastiques, on ne recrée pas de glandes !) sont posées. Certains, hélas, rigolent. Dommage, je travaille ensuite à l'auditorium alors que les sourds et signeurs arrivent en masse pour "Avec nos yeux" dans une ambiance de jubilation qui fait oublier que le festival touche à sa fin :'-(Dernière ouverture :"Sonya et sa famille + Pretty Dyana + Montreurs d'ours tsiganes" :
Yves le Bleis et sa femme sont dans la file. Je trouvais bizarre de ne pas les avoir vus cette année, c'est donc chose faite. Ils ont vu quelques films et me demandent des nouvelles.Retour dimanche :
Le ventre noué de fatigue et de tristesse après un bout de nuit à débattre informatique et genre (il ne doit pas y avoir beaucoup de familles à être convaincues de la nécessité d'abolir celui-ci !). Il y a quelques festivaliers dans l'autocar peu rempli, Paolo et mon ex-collègue ouvreuse sont sur le quai à l'hôpital, accompagnant une autre festivalière. Le guichet routier est ouvert à Quimper, incroyable ! Même si l'affluence dans le train est un peu moins impressionnante qu'à l'habitude (conséquence des nouveaux horaires ?), il faut toutefois faire un déclassement pour qu'il y ait de la place pour tout le monde. Le nombre de trains est impressionnant, surtout à partir de Redon. Nous sommmes bloqué par des incendies après Savenay. Après une petite demi-heure, nous repartons à 200 km/h ! Il y a de magnifiques veaux et vaches blancs, une pancarte "travaillez à 2km du périph" sur un immeuble de Chantenay. Comme à l'aller, le train pour Bordeaux est à coté du notre. Essaient-ils de faire passer la pilule de la grande diminution des Bordeaux-Quimper sans rupture (ceux de nuit ayant disparu depuis longtemps) ?
Ensuite pendant plusieurs nuits, je rêve de bénévolat au festival et d'impossibilité de communication si o supprimait brusquement la notion de genre.Trente septième festival de Douarnenez :
Vendredi 22 Août 2014 :
Fanny Bugnon et moi ouvrons Jalahan au lieu d'assister à la réunion du secteur des entrées, bizarrement sise à la médiathèque de façon peu conviale à un horaire tardif.Samedi 23 Août 2014 :
Ouverture de Papouan Voices :
Encodage numérique pourri.Vision de "Le Pays des Sourds" :
Ce documentaire, originellement sur pellicule, est une sorte de "Cultures Signes" en france, 23 ans avant. Il a le même défaut que ce dernier, à savoir de manquer un peu d'explications. Très dur, évoquant un peu l'émotion après "Orchid" l'année dernière. Dommage que Nicolas Philibert n'ai pas pu venir, surtout que Laetitia Morvan ne répond aux questions que des choses dites et redites à quiquonque s'interresse à la question. L'inclinaison de l'image du retroprojecteur n'est pas parfaitement positionnée.
Ouverture de "Les Voix Volées + Comment nous avons construit le métro de Moscou" :
Pour cette première séance du "grand cru Bretagne", l'entrée du Club est un vrai hall de gare dans lequel le public demande toutes sortes de choses plus ou moins liés au festival et à "Toile d'essai", les organisateurs et les projectionnistes débordés font le point sur l'état de disponibilité et de préparation des copies pour l'intense semaine de diffusion quasi-continue qui est entamée depuis 18 heures, Kim, la caissière, qui ressemble à Clémentine Griveau et a les aisselles en mode "début de repousse engagé" se démène dans le fonctionnement très artisanal du secteur. La cabine de projection est une usine dont on verrait presque la fumée sortir du cerveau du projectionniste et de la chaîne de multiples copies, montages et préparatifs divers simultanés. Avant de laisser mon collègue, qui en avait vraiment envie, voir "Les Voix Volées", j'en aperçois le début, filmé à Brest. Nous apprendrons plus tard que le lieu fut choisi par hasard. Nous échangeons les rôles pour que je vois le documentaire sur le métro, présenté par Erwan. Le thème du travail me donne un peu l'impression de revivre la projection de "Entré du personnel". Je n'ai ensuite hélas pas le temps d'aller à "Figures d'enfance + Anaïs s'en va-t-en guerre". Il paraît que ce dernier est visible sur Youtube :-/Ouverture de Tinpis Run :
Dommage que je doive rester garder l'entrée, j'aurais bien aimé voir ce qu'il donne en projection 35 millimètres.Dimanche
Ouverture de "Water and Romi" + "Dongeng Kancil tentang untuk Kemerdekaan".
Vision de "Nicole et Felix" :
La salle est, sans surprise, comble. In ne manque que René Vautier dans le public de ce film présenté pour la première fois, y compris pour les interressés et qui passe très vite.
Je retrouve ensuite Marjorie et Fabien sur la place, avant d'aller au débat "Emploi, cultures et territoires en Bretagne", assez mal nommé.
Ouverture de "De stand van de Zon" :
Quelques personnes sortent du fait de l'image hachée du DVD pourri.
Vision de "Feuille sur un oreiller" :
Le présentateur, BASTIAN MEIRESONNE, est rigolo, a un débit très élevé, et dit que nous avons de la chance de voir la copie 35 millimètres qui a été utilisée pour la projection au festival de Cannes en 1998 ! C'est dingue, il demande notre indulgence pour les défauts alors que c'est un milliard de fois meilleur que du DCP...
Lundi 25 AOÛT :
"Le Massacre de Santa Cruz" est archi-complet, on rajoute même des chaises pour l'équipe et une dame venant de Landerneau ayant eu du mal à trouver la salle (l'auditorium du musée-médiathèque). Je passe ensuite au stand AVF, qui plait bien aux sourds, dont la table d'information est juste à coté. Je remonte ensuite en autobus sous un véritable déluge, en constatant qu'il existe une liaison Douarnenez-Locronan estivale non documentée.
Ouverture puis vision en famille et avec Fanny et Élodie de "La petite casserole d'Anatole" +"Les murs de poussière"" + "HikiKomori" :
On découvre qu'une des membres de l'équipe des ouvreurs est quasi-fruitatiste ! Il y a des liens inattendus entre ces trois films. Le premier a le son en echo :-{ Le second me fait penser à "La maison en petits cubes" (qui passera, je ne le sais pas encore, l'année prochaine), Princesse Mononoké et beaucoup d'autres choses. Le début évoque de récents événements de la vie de Marjorie (décidément, cette séance est bien pour elle !) Le troisième est de la radio filmée, mais où la grisaille tokyoite, amplifiée par le numérique, tient une grande place, ce que certains spectacteurs ont bien relevé.
Vision d'une partie de "The act of killing" :
La qualité n'est pas trop horrible pour du DCP.
Ouverture et vision de "Balibo" :
M'évoque "Cry Freedom" et autres grosses productions.
26 Août 2014 :
Ouverture de Stori Tumbuna : an Ancestor's Tale :
J'aide aussi les sourds qui vont au café-signes, certains achètent même des places de cinéma, croyant que l'accès est payant ! Je conseille à Marjorie d'y aller au moment où elle passe par là pour visiter l'exposition de photos de Carlos Michaud "UN SOURD CHEZ LES PAPOUS". Dommage que je n'ai pas pris de photo de la mer, qui est d'un bleu magnifiquement profond, une fois mon service effectué. Les nuages arrivent ensuite.
Vision de An dianar a rog ac'hanon + Du grain àmoudre :
Le montage du premier, qui est en cinémascope :-), s'est achevé une semaine avant cette avant-première. Même Nolwenn ne l'avait pas vu. Dommage que les choses écrites en Breton ne soient pas traduites, en tous cas il semble bien que le plat préparé par le restaurateur soit végétalien. Le second est de la réalisatrice de "Rosalie s'en va" et "L'Enfant Do", que je suis censé avoir vu deux fois d'après le contenu de la page que vous lisez en ce moment. En cinémascope aussi :-), avec un scénario aussi prévisible que celui du précédent. Heureusement que maman ne soit pas venue à la séance (sur bouche à oreilles de l'équipe du festival, elle comptait voir An dianar a rog ac'hanon) car il remue bien trop de choses, et de façon fort réaliste.
Ouverture de "Shape of the Moon" :
Ce second volet de la trilogie de Leonard Retel Helmrich fait salle comble dans le monoplexe "Le Club". L'expression est de Anig :-) Quant à Sophie, la projectionniste, elle dit à voix basse "tout ça pour un DVD", sous l'effet de la colère de ne pas avoir mieux à présenter au public.
Vision de "Les grandes marées" et Filmradiofilm :
Après un pique-nique sous la pluie et un petit aperçu de l'exposition "La Fleur de l'Âge", je constate que le réalisateur du premier semble être un nerd et a un drôle d'humour : tout carniste qu'il est, est-il sérieux quand il dit des choses comme "nous étions tous bénévoles" en souriant ? Pas mal de flou dans l'image du second. Le tournage s'est déroulé sur quatre jours et hélas, suite à la mort de François Christopher, le réalisateur abandonne l'idée de faire des plans de la maison de la radio à la façon "Radio France : 24 heures sur 24" de Serge Moati et Denis Chaloyard. Un des travaileurs ressemble à Fabien Berger.
Mercredi :
Ouverture de la rencontre avec Max Stahl :
Je croise Jean-Louis au niveau du cimetière où mémé est entérée, sous la pluie. Une traductrice LSF prend l'autocar pour Quimper.
Ouverture de Salto Mortale.
Ouverture de Geronimo :
Pour cette avant-première de Tony Gatlif, on remplit la salle pile-poil, à la place près et in extremis, sans refuser un seul spectateur !
Jeudi 28 AOÛT :
Vision de "Le Garçon et le monde :
Pas mal de cafouillages au niveau de la gestion de l'affluence et des places réservées aux enfants. Le film me rappelle les motifs mureaux du début des années 1990s, et, comme "la maison de poussière", évoque Ghibli, The Wall d'Alan Parker (dont les illustrations animées sont de Gerald Scarfe, non ?)... J'ai dormi.
Ouverture de "Dieu et satan" :
Après le traditionnel gâteau-sandwich scandinave AVF, je discute avec le caissier, Loig. Il utilise une Debian Mint en Breton sur son ordinateur portable.
Vision de Post Partum :
Produit en 2012, sorti en Belgique et au Luxembourg, mais boycotté en france.
Ouverture de "Spartacus et Cassandra" :
En présence de toute la famille, tregrave;s enthousiaste, épatée par le succès (malgré un intérêt artistique contesté par certains, on doit refuser quelque chose comme une soixantaine de personnes) et très désireuse de communiquer sa sensibilité sous le plafond du Club, digne d'un plateau d'Armagetron.
Vendredi 29 Août :
Vision du début de "Tante Hilda" :
S'il n'y avait le format cinémascope et la musique pinkfloydienne, la première scène pourrait être issue d'une série pour enfants, genre "Spirou et Fantasio". Dommage que Hilda soit épilée.
Ouverture de Wariazone.
Ouverture et vision de "Le complexe de la Salamandre :
Le résumé est raccoleur par rapport à la réalité de ce documentaire qui me confirme la fumisterie de l'art dit "contemporain" et le gâchis de ressources qu'il implique. J'avais reconnu le son du X73500. Une version différente de 52 minutes a étéréalisée. Depuis le premier entretien filmé, de Septembre 2012, l'exposition n'a toujours pas eu lieu.
Ouverture de "The Land Beneath the Fog" à 23 heures, pfiou !:
Fanny propose que le prochain festival soiot consacré aux Schtroumpfs. Du coup, délire avec elle, la caissière qui ressemble à Clémentine Griveau, le projectionniste et Bastian MEIRESONNE.
Samedi 30 Ao&urcirc;t:
Ouverture de "Blind pig who wants to fly.
Et sans surprise, "First Contact", présenté par Edwy Plenel et le réalisateur, fait le plein. Dans la file et sur le chemin du retour, je discute avec le journaliste qui m'avait initié au Kezako et découvre qu'il est flexitarien depuis 25 ans et il est surpris que beaucoup de bénévoles le soient, et n'avait pas remarqué l'existence des repas V depuis toutes ces années ! Un des sourds de la plonge m'observe quand je détache mon Brompton.
Vision de "Les chevalières de la table ronde":
Film de Marie Hélia fait sur une commande du Planning Famililal, passée lors de ce même festival il y a trois ans. Il est dommage que le coté impur de la consommation de chair animale ait été écarté par une des intervenantes, alors que c'est assez juste. J'avais reconnu les Plomarc'h ;-) Le montage n'a pas été fait selon les volontés de Marie :-(
Ouverture et vision de "Madame X" aprè de nouveaux délires sur les Schtroumpfs avec la même équipe qu'hier.
Conclusion :
Comme depuis plusieurs années, pas de présence des autres festivals bretons que sont "Les trois continents" et "film court de Brest" et je n'ai même pas vu Jean-François Vial.38 VET GOUEL AR FILMOÙ :
Mauvaise nouvelle, j'ouvre presque tout le temps au K... il fallait bien que ça arrive après tant d'années au Club... ça s'ajoute au fait que j'ai l'esprit préoccupé :-( Je remarque toutefois que "La maison en petits cubes", que j'avais évoqué ici-même après la vision de "Les murs de poussière", est au programme cette année. Les sous-titres seront fantaisistes dans beaucoup de films. À ce propos, je ne verrai aucune référence à Dune MK.Inauguration :
Encore une fois, Orléans est cité comme mauvais exemple :-p Discours enflammé et apprécié de Jean-Michel Le Boulanger. Yann annonce que les musiques seront plus dansantes que l'année dernière (personnellement je ne peux guère me prononcer sur le sujet).Samedi 22 :
Palabre "Représentation de l'Indien au cinéma".
Ouverture de "Impunité" :
Je vois sortir Jean-Michel Le Boulanger sans avoir souvenir de l'avoir fait entrer.Vision de "Solo un cargador" et de "Metaal et melancholià" :
Ai dormi pendant le premier.OUverture de Los Hongos.
Ouverture de los colores de la montaña :
Extase de constater que les aisselles de la caissière qui ressemble à Clementine a las aisselles naturelles cette année :-)))Dimanche 23 :
Ouverture de Revolución + "Le sang du condor".
Ouverture de "Las niñas Quispe" :
Grosses tensions du fait du manque de place et du manque de diplomatie de Yann Moutel.
Vision de 1636 +"Cousins comme cochon" :
J'ai eu la toute dernière place de l'auditorium, à coté de Simon le végane ! Apparemment, d'après Erwann, la disponibilité des réalisateurs est un critère pour les combinaisons de films par séance. Il y a d'abord une présentation de films produits en Bretagne ces dernières années, je les ai presque tous vus :-) L'exposition ayant inspiré 1636 a aussi eu lieu à Orléans ! Magalie pense que les flous sont dus au manque de talent et d'adresse, alors que pour moi ils sont clairement voulus. Le film sur les cochons, contrairement au résumé qui en est fait, ne traite pas à fond la question de l'image du cochon mais est plutôt un plaidoyer pro-élevage-bio. Je crois que le Stéphane du camp de concentration "bio" de cochons est celui de "Sortir du nucléaire Cornouaille" ! On tracte les spectateurs, lors de leur sortie, sous la pluie. Marjorie et Magalie sont énervées des propos anti-V de jocelyne porcher repris pendant le débat. Maman ne peut s'empêcher de passer par là... Très tard dans la nuit, je découvre que ce qui me fait m'arracher les cheveux au sujet du numériseur de documents de la maison depuis des jours était dû à un problème de câble :-/
Lundi 24 Août 2015 :
Vision de la séance "INA Atlantique" :
Le réalisateur de "Cousins comme cochons" est là, assis devant moi. Erwann annonce la fermeture de la place en raison de la météo, thème justement présent dans les trois exceptionnels films de la séance. Jolies adolescentes en bikini avec aisselles naturelles d'une époque d'insouciance à jamais révolue dans "La plage de Monsieur Hulot" :-)))
Ouverture de "Las pequenas voces.
Ouverture de "Noslatia, la belleza".
Arrivée de Nikol à la maison.
Mardi 25 Août :
Je vais sur le stand AVF à Alternatiba. Magalie et Marjorie n'ont pas pu rentrer à la séance des courts-métrages "Bel-Air", qui aurait été subitement réservée par des groupes.
Ouverture de "Opération Correa" :
Le directeur, Yann Stephant, se montre excessivement négatif dans sa présentation du film, tout en partageant la critique des médias qui y est faite. Et surtout, personne n'était informé de la présence en introduction de "J'ai mal à ma dette", ce qui a créé une situation de panique. Le second volet serait fait et proposé au prochain festival de Biarritz. Dans le débat, le gouvernement Correa est qualifié d'extrème-droite, d'emprisonneur. Il accorde l'asile à Julian Assange mais espionne Internet. Un jeune équatorien nuance ces propos. Je continue la discussion sur Correa, les médias et les prétendus journalistes qui y interviennent avec trois personnes que je conduis à Alternatiba. Unanime déception devant le niveau pitoyable de yvon levaï et impressions plus positives envers Mme Quin et surtout, celui du figaro. Pendant le ramassage progressif des stands, je vais discuter avec la dame qui tient l'exposition sur l'informatique libre, une habituée et pilier du "village du libre" de la fête de l'humanité.
Ouverture de Marmato :
Séance de mise au point entre Virginie et Yann Moutel...
Ouverture de Sabogal :
À cause de celle-ci, j'étais juste pour aller voir "Kirri-nij en toull-karr" + "Le dernier continent" et pour participer à la vélorution avec les alternatibiens :-(
Mercredi 26 Août :
La mouette et le chat :
Assez anti-spéciste, sur une musique très Peter Gabriellienne de David Rhodes, enregistrée à Real World.
Distribution de tracts à la sortie de "Saigneurs" par Marjorie :
Échanges de quelques sympathies avec Erwan. Les "coups de coeur Longueur d'ondes" contiennent "Tuer" ! Décidemment...
Ouverture de "Territoire de la liberté" :
Quelques personnes sortent, déçues par ce film qui se résumerait à de la beuverie.
Ouverture de "La tierra y la sombra" :
Je lis l'article du Kezako sur Marjorie/l'AVF.
Vision de "Patrick nu dans la mer", "la céramiste" :
Le terme "ciné-chorégraphie" aurait été inventé par Eric Premel pour cette série de portraits par Thierry Salvert et Cécile Borne dont je ne me souviens plus du nom.
Ouverture de Much loved :
Pour y assurer mon rôle, je n'ai pu voir que le début de "Les veilleuses de chagrins" qui était pourtant celui que je voulais vraiment voir dans la séance ci-dessus, suite à l'article du Kezako. En le quittant précipitamment, je vois une Mercedes break portant un autocollant "BE GREEN FUCK A VEGETARIAN" :-(
Jeudi 27 Août :
Ouverture et vision de"Le sang du condor + Revolución" :
Ai dormi.
Ouverture de NN (salle 1) et Maidan (salle 2) :
Pas génial d'ouvrir deux films avec une seule équipe. La signalétique sur la grille et l'entrée du cinéma est confuse.
La semaine est passée à une vitesse folle, et comme l'année dernière, une partie des films proposés en avant-première pendant celle-ci fera l'actualité cinématographique de la rentrée. Il y a aussi une exposition sur les Incas du Perou aux musée du quai Branly.
Vendredi 28 Août 2015 :
Dommage, je ne vais pas voir Fausta alors que d'après maman il est génial.
Ouverture de "the look of silence" :
Yann Moutel porte un t-shirt Ho Chi Min :-o Je vais voir les expositions. Celles-ci, accompagnées des commentaires de certains visiteurs, sont déprimantes :-( et me font un peu mesurer à quel point j'ai raté beaucoup de choses cette année. Sympathique concert sur la place (Tito del Monte ? effectivement, ils m'évoquent Jim Murple Memorial).
Sangre de mi sangre :
Il y a même des gens qui viennent avec leur chaise pliante pour faire la queue ! Je suis à coté des Griveau. Quelques spectateurs partent en cours de film. À la fin, ma voisine, après avoir notamment été horrifiée par le massacre des agneaux terrorisés, dit qu'elle a beaucoup aimé, que ça montre les conditions des abattoirs de là-bas (alors que c'est pourtant exactement la même chose en Europe) et que ça donnait envie de ne plus manger de viande !
Ouverture de "El verano de los peces veladores :
Je découvre à cette occasion que ma partenaire bénévole a les aisselles naturelles :-) Malgré mon appui et celui de Fanny Pihary, Yann refoule Gabriela Chihuailaf afin de finir enfin par lui donner un ticket. Bizarre, le film "Patagonie, les couleurs de la discorde" figure dans l'index du catalogue mais nulle part ailleurs.
Samedi :
Vision d'une partie de "Calle Santa Fe" :
Ai dormi.
Ouverture de "El Abrazo de la Serpiente" :
Christine de "Toile d'essai" discoure sur mes "Vegetarian Shoes" puis je croise mon parrain Bernard au retour.
Vision de Paraiso :
Film curieusement un peu asiatique, avec la même difficulté à différencier les personnages. Ces derniers sont bien différents de ceux de "L'h&eaccute;ritier de l'inca" alors que les lieux sont les mêmes. Une scène de poussin devant un restaurant m'évoque le film semblant être un "Mister Boo" de la fin des années 1990s sur lequel mes parents étaient tombés sur Arte (Si quelqu'un a une idée de ce que ça peut &ecitre;tre, qu'il me le dise).
Vision en famille de "La Muerte de Jaime Roldós".
Abonnement à la cinémathèque de Bercy :
Je ne relaterai ici que très peu de mes activités à la cinémathèque (qui occuperont pourtant une grande partie de mon temps libre à partir de la rentrée 2015, date de la prise de ce fameux abonnement, motivée notamment par la rétrospective "Philippe Faucon" dont le film Fatima a fait sensation il y a quelques semaines au festival) car :- ce serait matériellement impossible (` moins d'y consacrer un site Web complet et l'intégralité du peu de vie qui me reste hors des murs de celle-ci)
- ce ne serait pas tellement dans le sujet de cette page. À ce propos, le simple fait de m'y être abonné est une entorse à mes convictions, la programmation de celle-ci n'étant principalement militante que sur un dogme : tout montrer, sans distinction ni aucun jugement. Mais dans les faits, bien sû, comme dans tout bon cinéma "art et essai" ou lors des meilleures périodes d'Arte, les programmes interrogent quand même énormément nos sociétés. J'ai décidé de le faire après avoir constaté deux choses dans les programmes que j'y avais pris au fil du temps :
- C'est le dernier endroit où il est possible de voir des films sur pellicule, notamment tous ces classiques qui manquent cruellement à ma culture ;
- le prix de l'abonnement est tellement interressant qu'il est impossible d'y résister !
J'évite les films vraiment les pires, mais je dois avouer qu'il est bien difficile de résister à certaines sirènes, sans compter que ma sensibilité diminue.WILL HUNTING :
Première vision le 14 MAI 2016 en SALLE HENRI LANGLOIS :
- Le rapport d'image ressemble à du 1, 85 ;
- Le son est bon, surtout les basses durant le générique, de Dany Elfman ;
- Robin Williams me fait toujours penser à Phil Collins ;
- Treize ans après un grand jour, plus la pelicule du film et mon émotion coulent, plus je pense qu'il aura sa place parmi mes préférés, tout en me demandant qui me rappelle la jeune femme chérie de Will (l'ancienne V du secrétariat de l'UFR 10 de philo ?) ;
- Dommage qu'il y ait une scène spéciste totalement inutile :(
- Inversement d'autres choses auraient mérité d'être mieux expliquées ;
- Un certain nombre d'allusions exigent un esprit vif pour être comprises ;
- À la fin il y a le logo d'Europe 2 ;
- Bien sûr, comme le scénario est écrit par des hommes (Ben Aflek et Matt Daemon), la séduction homme/femme est idéalisée, les techniques de drague et de maintien de la tension sont fort mauvaises !
- Will ressemble tellement à Marjorie que, sur la passerelle au-dessus de la Seine je réfléchis à cette idée qui m'opsède depuis le milieu du film : il faut absolument qu'elle le voie. Faut-il l'emprunter dans une médiathèque ? Mais il y a mieux : chose pas trè courante, le film repasse une troisième fois. Le mieux serait donc de se rendre à celle-ci, quitte &agrace; ce que je lui offre les coûts financiers.
Vision avec Marjorie le SAMEDI 28 MAI 2016 en SALLE HENRI LANGLOIS :
Finalement les choses se combinent incroyablement bien, quitte à annuler ma participation à l'opération "des hommes osent le fer" de Zeromacho Orléans : j'ai justement des entrées gratuites pour le salon Naturally offertes par Futaine chez qui j'ai des achats à faire, suggérés par Marjorie (depuis toutes ces années je ne voyais même pas que des têtes de lit étaient au catalogue), et il y a trois conférences qui m'interressent ce jour ! Nous sommes donc devant les portes dans la fraîcheur quelques minutes avant l'ouverture, faisons un tour rapide des stands, assistons à "De viandard à végane", "Les graines germées" par Meli-jo qui nous épate. Après moult recherches nous trouvons de justesse un discret stand de restauration rapide végétalienne. Nous ne restons ensuite pas à la conférence sur les ondes, faisons nos achats puis rejoignons Cluny en tramway + bus où j'ai repéré un endroit où Marjorie pourra enfin changer ses billets taiwanais. Lorsque l'agent répond "oui" à la question, j'ai l'impression d'être le personnage qui obtient son cadeau à la fin du film Duets :-))) Entorse au rêve, la commission retenue ne sera pas négligeable... Nous rejoignons ensuite la cinémathèque avec le 24 et allons voir le seul Myazaki disponible en visionnage à la demande à la médiathèque de celle-ci et que je n'avais toujours pas vu : "Le château de&nbs;Cagliostro", puis, pour couronner cette journé de rêve digne de celles que je vivais autrefois dans cette ville, vient enfin le chef d'oeuvre tant attendu :
- Marjorie me montre la dame des jeux de casse-tête du salon "Respire Le Mans" 2015 qui est dans le coin des caisses :-o
- Il faudrait le voir avec des sous-titres anglais.
- Marjorie a trouvé à qui me fait penser l'actrice : à Emmanuelle Cerepes !
CONFÉRENCE CHRÉTIEN ET L'INVENTION DE L'HYPERGONAR LES PREMI&EGRAVE;RES ANNÉES DU CINÉMASCOPE le 3 JUIN 2016 :
FRANÇOISE LE GUET TULLY :
La qualité des vieux films et photos est incroyable. Les premières images panoramiques à être montrées au monde (en Hypergonar, futur cinémascope) montrent Paris !
JEAN-PIERRE VERSCHEURE :
- Il nous repasse l'extrait du film de Sean Pen qui me rappelait quelque chose, avec l'enfant qui voit une fillette se faire tuer dans la neige et un flic moustachu qui commence l'enquète six heures avant le début de sa retraite et les effets de flare.
- Il se répète, ça ressemble aux deux précédentes conférences que j'ai vu de lui, en moins bien... il dit même qu'il faudrait faire une conférence sur l'espace scénique de chaque procédé, alors qu'il le fit (ce fut la première que je vis) ;
- Toujours des détails techniques abordés trop vite et succintement que je ne comprends pas bien ;
- Il est toujours emerveillé par les possibilités de diffusion de la salle Henri Langlois, dont les bordures motorisées peuvent délimiter une image dont le rapport est proche de 2,8 !
39VET Gouel ar Filmoù :
Vendredi 19 :
Je me demandais justement pourquoi le festival du cinéma minoritaire de Douarnenez serait épargné par l'état d'urgence... et bien très mauvaise nouvelle : les sacs sont interdits en grande partie et les bénévoles vont devoir contrôler leur contenu.
Inauguration :
Le maire de Douarnenez est plus décalé qu'il ne l'a jamais été !
Vision de "Aller vers le soleil" :
Séance inaugurale payante :-( Le présentateur annonce une "vraie séance de cinéma" car en copie 35 MM :-) Elle fut presque sauvée de la destruction. Bonne musique, des ellipses.Samedi 20 :
Ouverture et vision de "Sans retour possible" :
Ça aurait été largement mieux en radio. Exécution d'animaux non-humains sous des pretextes religieux.
Tentative de vision de "La fin des Ottomans" puis Bakur:
Séances plus que complètes. Il n'y a paq que le nombre de spectateurs à augmenter visiblement chaque année, celui des vélos et aisselles naturelles aussi.Dimanche 21 Août 2016 :
Vision de "Il était une fois en Anatolie" :
En numérique contrairement à ce qui était annoncé sur le catalogue :-( Les policiers roulent au GPL :-o
Ouverture de "Mercenaires".
"Un été sans eau" est remplacé par "La fin des Ottomans" :
Du 35 MM à la MJC, je trouvais ça bizarre aussi... Quelle barbarie dans l'histoire racontée par ce documentaire en deux parties que j'ai donc finalement pu voir...
Ouverture de "Gúlistan, terre de roses" :
Presque cent personnes n'ont pas pu rentrer...Lundi 22 Août :
Ouverture de "Tout en haut du monde" :
Je vois Mme Zanaki !
Tentative d'aller vor&nbp;Ekûmenopolis :
Même des personnes présentes 40 minutes avant n'ont pas pu rentrer... Deux dames m'interrogent sur le végétarisme.
Ouverture de "Paotred al Loc'h" + "Le veau, la vache et le territoire" :
Katell est entrée de justesse avec deux enfants.
Fin du débat :
Sur la place je vois Caroline, l'ex-bénévole que j'avais vu pour la dernière fois il y a près de six ans au festival de Brest. Elle me trouble toujours, n'arrête pas de boire des coups et de jouer joyeusement avec un enfant, exposant à la vue de tous ses aisselles naturelles (tout comme celles de Christine de "Toile d'essai", de bien des bénévoles... dont une toute jeune qui irradie en robe) alors que des horreurs sont décrites par les intervenants.Mardi 23 Août :
Tentative de voir "Nulle part en France" + "Les corps interdits" + "Nowhere Line" puis "Sur le chemin de l'école" :
Trop de monde. En tenant ma chance pour la seconde, je croise Lorna qui me dit que la première de ces séances était plombante. L'après-midi c'est la chaleur qui est faite de ce metal quand je vais aider sur le stand de l'Association Végétarienne de france. Une dame noire nous dit que son fils est V, dommage que l'on ait pas plus discuté. Caroline Troin, aux aisselles naturelles (mais dont la tête a perdu il y a longtemps son toit de chaume), pique plein des saucisses V et dit à ses collègues "elles sont végétariennes" !
Ouverture de "Souffler plus fort que la mer":
La nouvelle caissière semble me draguer. Il y a une fourgonnette France 3 avec une énorme antenne parabolique, sans doute émettrice et semblant diffuser un sifflement désagréable. J'ai l'impression curieuse que cette édition est de nouveau couverte par les médias. Le bruit aigu s'arrête lors du repliage, très long, dommage que je n'ai pas vu celui de l'antenne en entier.
Ouverture et vision de "Gúlistan, terre de roses" :
On fait entrer Caroline l'ex-bénévole, elle se souvient de moi. La caissière ressemble à celle de tout à l'heure mais cette dernière est bel et bien dans la file des spectateurs, dont les premiers étaient même assis en cercle devant les portes. Malgrè un format cinémascope (avec un problème léger de trapèze) et une combattante ressemblant à Kim l'ex-caissière aux aisselles naturelles, le film est chiant.
Séance INA Atlantique :
Les catalogues sont épuisés ! Les spectateurs qui rient et font des commentaires à tort et à travers couvrent certaines paroles.La révolte des agriculteurs bretons :
Incroyable comme ce reportage de 1961 pourrait presque passer maintenant sans modification. Erwan le dira en conclusion de la séance.Saint-Brieuc : la longue grève :
Idem... ces mouvements et actions ne datent pas d'aujourd'hui malgrè ce que le pouvoir tente de faire croire, accompagné du bras armé de la repression, passant même au-dessus de la justice.Gauchistes ou révolutionnaires :
Erwan ne surfe pas sur la mort de Michel Rocard lors de sa présentation, dans lequel il apparait comme un révolutionnaire, un hommage plus impertinent que ceux diffusés sur les médias !Plogoff, le nucléaire contesté.
Plogoff.
Ouverture et vision de "Ma vie de Courgette" :
Le temps orageux du début du film correspond à la réalité ! Un nourisson dans les spectateurs. À la fin débat avec les enfants sur la provenance du surnom "Courgette".
Ouverture de "Mon enfant":
Décalage d'environ une minute entre les sous-titres et le reste. Dans le hall France 3 enregistre une entrevue avec l'intention de faire croire qu'elle est en direct.
Vision de "La plage" + "La forêt sacrée" :
La plage :
Son mauvais (le bruit de la mer semble hyper compressé), un seul plan séquence à Beg Meil ! Les repérages ont été longs. 18 prises ont été faites avant la bonne. Symbolise ce que nous ne voulons pas voir.La forêt sacrée :
Heureusement qu'il y a la séquence de questions/réponses après avec la trè jolie productrice de "Vivement Lundi !" pour expliquer toutes les choses éludées par le film. Les stratégies militantes contre les mutilations sexuelles me rappellent les oppositions entre différentes stratégies pour la lutte contre le carnisme.Jeudi :
Justement, Simon, qui ne s'arrange pas, bien au contraire, ne tire pas cette conclusion de "la forêt sacrée". La boîte des menus est placée trop discrétement et le sandwich scandinave un peu moins subtil (toutefois épuisé en quelques minutes).
"Le troupeau" (ouverture)
Un bricolage a été fait pour ajouter des sous-titres électroniques, trop peu lisibles.
Vision de "I love them all"/"Je les aime tous" :
Yann Moutel ronchonne quand il sait qu'il y aura un débat entre les deux films (le second est "Exotica, Erotica etc..."). Le début du film (qui aurait dû faire 45 minutes mais France 3 a imposé la limite des trente) est un peu gaché par les basses venant de la fin du film en salle 2 (probablement "Peter et Elliott le dragon".
Vision des films bretons d'animation :
Une jeune femme en robe aux aisselles naturelles :-)Le colocataire :
Par la réalisatrice de "thé et gaufrettes". Inspiré d'un film de polanski, il est fait sous TV Paint, avec une brosse "Criterium" créée exprès. Visa 143 255, avec un chat :-)"D'Ombres et d'Ailes".
"Le réveur éveillé" :
Ce documentaire sur Laguionie est dédié à Bruno Le Floc'h et commence en train avec le X2144.
Remake, Remix, Rip-off :
Sur Blu-ray, on y voit un magnétoscope Betamax Sony, me fait penser à "Madame X".Vendredi 26 Août :
Ouverture de Kûpek :
Une spectatrice aux aisselles naturelles.
Ouverture de "Tu tournes en rond et tu es dévoré par le feu" et "L'archipel des âmes en peine" :
Marjorie a détesté le premier film (référence à Syd Barett ?), maman et elle ont adoré le second.Samedi 27 Août 2016 :
Suite armoricaine :
Passé ici-même pour son lancement commercial en Mars. Stefan Moal y est figurant. On dirait presque que ça se passe partiellement au même endroit que "le rêveur éveillé". Tout ceci s'ajoute au fait que la réalisatrice soit une vieille amie du festival qui la soutient depuis le départ. Des ressemblances avec "les lendemains" aussi. Le débat qui suit est houleux. L'actrice m'évoque Tanja. Une séance supplémentaire de "Crossing the bridge" avait été annoncée, elle est bien sûr annulée !
Ouverture de "Aller vers le soleil".
Vision de "Sur le chemin de l'école" :
Tourné apparemment pendant l'année scolaire 2007-2008 alors que moi aussi j'étais soumis au résultat d'un concours. Ça permet de finir le festival sur une note d'espoir enfantine. La journée avait aussi commencé sur ce thème, mais à un âge oû les choses me semblent fichues.Vendredi trois Mars 2017 : "Conférence : 1927-2017 : Anniversaire du « Chanteur de jazz » (1927), triomphe du Vitaphone par Jean-Pierre Verscheure" :
- On croise et double plein de trains dont deux Corails en même temps !
- Je vais continuer de consulter les articles numérisés sur Gremlins à la médiathèque et y découvre que :
- Pierre&nbs;Murat avait déjà la mauvaise habitude de révéler les fins de films, dont celle de celui-ci !
- Frank Marshall et Kathleen Kennedy sont mariés et vivent modestement comparativement à leur carrière (déjà à l'époque) ;
- Spielberg y ferait une apparition ;
- Le roman révéle que les mogwais sont une création génétique extra-terrestre ;
- En 1925 seules Fox et Warner s'interressent au son.
- "Western Electric" est la première à fournir un système : lecture de disques synchronisés avec le film, son photographié.
- Vers 1928, Photophone de RKO.
- Après la catastrophe de 1929, Rockfeller qui possède déjà "Western Electric" se trouve propriétaire de RCA et du coup les concurrents vont s'imbriquer.
- Vision d'un Fatty Arbuckle qui parle de l'inventeur d'un produit rendant incassable la porcelaine, en anglais, sous-titré en français et néerlandais ;
- Vision d'un Mickey en anglais non sous-titré dans lequel il mendie un 24 Décembre avec Pluto ;
- Vision d'un Buny de 1957 en copie Technicolor par imbibition ;
- Une petite centaine de systèmes sonores est recensée ;
"LE CAS PINOCHET" 2 FÉVRIER 2018 :
Reflets blanc-gris un peu surnaturels sur la Seine très haute. Ce n'est qu'au cours de la présentation que je réalise que le film est de PATRICIO GUZMÁN, le réalisateur de "Nostalgie de la lumière" et &le bouton de nacre" (que ma voisine de gauche semble avoir adoré) ! Et il est présent ! Je l'imaginais jeune et bien moins connu... La Seine très haute dans la nuit, affleurant presque les berges, fait comme un miroir d'eau.
(PINKY) L'HERITAGE DE LA CHAIR VENDREDI 14 DÉCEMBRE 2018:
Problèmes et coincidences dans ce très bon film anti-raciste d'Elia Kazan :
- Comme souvent, le résumé révèle trop de choses ;
- L'actrice choisie ne ressemble pas du tout à une afro-américaine mais plutôt à une personne du nord de l'Europe : Miou-Miou, Björk, Lisa Mazé... Coincidences, son compagnon est un quasi-sosie de Huey Lewis , il y a une scène de tribunal peu avant le final commençant par des accusations similaires à celles qui seront faites à Selma dans "dancer in the dark" ;
- Sa valise est clairement vide lors de son arrivée chez sa grand-mère au début ;
- On dirait qu'elle a une tâche sur la robe quand elle court en larmes au début ;
- On devine les couleurs, en particulier sur la couverture typique en motifs carrés ;
- La locomotive au début porterait le numéro 140 ?
- La scène avec cette dernière et quelques autres évoquent "back to the future/retour vers le futur" et d'autres films états-uniens ;
- Les vieilles dames ne font pas 80 ans ;
- Licence d'exploitation : 73731 ?
- Sous-titres ajoutés informatiquement.
LA LIGNE GENERALE de SERGUEI M. EISENSTENnbsp;ET GRIGORI ALEXANDROV JEUDI 10 JANVIER 2019 :
Introduction :
Le travail d'écriture de ce film très peu projeté, car censuré pour être trop ou pas assez communiste selon le lieu alors que débute au même moment la parution de "Tintin chez les soviets" dans "le petit vingtième", s'étend de 1924 1929. Staline exige que celui-ci suive les évolutions de ses obsessions dont il croit devoir se servir pour se maintenir au pouvoir, mais au final ce ne sera pas sufisamment fait à son goût. On peut lire un nom sonnant "Europe de l'ouest" au générique : Edouard Tissé.Mon ressenti :
- Je n'ai pas compris le texte d'introduction ;
- Sans surprise, j'ai dormi devant ce film muet ayant une durée plus proche des deux heures que des 95 minutes annoncées ;
- L'actrice principale ressemble à Élodie Vieille-Blanchard ;
- Aisselles naturelles, liées à la richesse, la volupté...
- Liens avec une autre thémathique simultannée de la cinémathèque : le spécisme ;
- Pendant toute la séance il y a des bruits d'idiotphones :-(
- Des gens rentrent et font du bruit à la fin de séance, apparemment avec la bénédiction du personnel de la cinémathèque :-(
Explications post-projection de Stéphane Bouquet et Bernard Benoliel :
- Bernard pense encore au parallèle entre jardin d'Eden et communisme.
- Dans la ligné de sa conférence sur Jean Renoir, il renchérit sur les allusions sexuelles du film, prenant la suite de Stéphane ;
- Les cochons sont filmés comme s'ils se précipitaient joyeusement vers l'abattoir, ce qui ne déplairait pas à jocelyne porcher, décidément à l'honneur en ce moment, dont ça alimenterait les délires. En tous cas Bernard, lui, n'est pas dupe, étant longuement tordu de rire par cette vision utopique et idyllique des choses. Stéphane dit "agence 24" au lieu de L214 ! Il parle du film "la grève" (est-il tiré du livre ?) en y voyant un parallèle entre les conditions humaines et non-humaines totalement opposé à l'état d'esprit de "LA LIGNE GENERALE". Serguei sera d'ailleurs déçu que l'effet ne fonctionne pas, les spectateurs étant à l'époque habitués à voir les animaux souffrir ;